Cuillère qui a épargné Claude Maxime Cadot
01_Cuillère : quand on a tiré sur Claude Maxime Cadot le 2 août 1917 au Chemin des Dames, sa cuillère était dans sa musette, et la balle a ricoché sur la cuillère (l'impact est visible sur la cuillère), donc elle l’a protégé et lui a sans doute sauvé la vie. Ensuite, ce jour-là, le soldat Noël Charlot (originaire du Jura) l’a transporté sur son dos pour l'aider. Ils sont restés amis toute leur vie. Aujourd’hui encore, l’amitié perdure entre les petits enfants et les retrouvailles sont l’occasion de reparler des grands parents.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de Saône-et-Loire 2
DATE
1917
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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03_Carte postale envoyée par Claude Maxime Cadot
1 Item
Carte postale représentant un champ de choux avec des bébés de soldats « graines de poilus », cette carte est envoyée par Maxime CADOT indiquant « y a-t-il beaucoup de choux à Saugy cette année ? ». Saugy est un hameau dela commune de Baudrières. En fait, Maxime aura une seule fille Blanche, née en 1912.
FRAD071-026 Claude Maxime CADOT (1886-1965) | de Baudrières (Saône-et-Loire)
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Une cuillère à soupe salvatrice\n Une carte postale envoyée par Léontine Cadot, son épouse Une carte postale écrite par Claude Maxime Cadot envoyée à son épouse || Récit de Mmes Barraut et Gudefin sur leur grand-père maternel Claude Maxime CADOT (1886-1965). Mobilisé le 4 août 1914, blessé le 2 août 1917 au chemin des Dames, il était sur le front en même temps que son frère plus jeune (né en 1896). Il devint caporal le 15 juin 1918. Il était marié avant de partir à la guerre et avait une fille, Blanche, née en 1912. A son retour, il évoquait la guerre car sa famille l’interrogeait, notamment en voyant ses médailles. Il était agriculteur à Baudrières.
Henri-Jacques Cadot | Rappelé à 45 ans
2 Items
Photo et documents militaires officiels || Tout est parti de l’ordre n° 1143, lettre de félicitations adressée par le Lieutenant-Colonel Giraud à tous les membres de la Compagnie de Génie d’Etapes F/1 (1er Régiment du Génie) et trouvée dans les documents militaires de mon grand-père Henri-Louis Cadot. Pourquoi honorer la vaillance d’Henri-Louis lors de la bataille de la Somme de juillet 1916 alors qu’ à cette date il était en route vers le 143ème Régiment du Génie sur la rive gauche de la Meuse ainsi qu’en témoignent son Carnet de Route et le Journal des Marches et Opérations du 143ème RI. S’agissait-il d’une confusion, d’une homonymie ? Je n’arrivais pas à comprendre comment Henri-Louis Cadot avait pu combattre comme sapeur dans un régiment du Génie tout en étant dans le même temps agent de liaison au sein d’un régiment d’Infanterie à deux cents kilomètres de là. La solution inattendue de l’énigme est venue plus tard lorsque j’ai reçu les matricules militaires d’Henri-Louis et de son père Henri-Jacques Cadot. En 1915 alors que le premier venait d’être incorporé, son père Henri-Jacques était rappelé sous les drapeaux à l’âge de quarante-cinq ans et envoyé au front. Et c’est à lui que s’adressaient les félicitations qui m’avaient si longtemps intrigué. || || Mon arrière grand-père Henri-Jacques Cadot || Mon arrière grand-père Henri-Jacques Cadot a été rappelé sous les drapeaux le 16 avril 1915, à l'âge de 45 ans. Il était père de 3 enfants. Son fils aîné, Henri-Louis, avait été mobilisé quelques jours plus tôt, le 8 avril 1915. Il est photographié ici dans son uniforme du 1er Régiment du Génie. || Henri-Jacques Cadot || Photograph || || Official document || Ordre n° 1143, lettre de félicitations personnalisée adressée par le Lieutenant-Colonel Giraud à tous les membres de la Compagnie de Génie d’Etapes F/1 (1er Régiment du Génie). || Henri-Jacques Cadot