FRAD071-026 Claude Maxime CADOT (1886-1965) | de Baudrières (Saône-et-Loire)
Une cuillère à soupe salvatrice\n Une carte postale envoyée par Léontine Cadot, son épouse
Une carte postale écrite par Claude Maxime Cadot envoyée à son épouse
Récit de Mmes Barraut et Gudefin sur leur grand-père maternel Claude Maxime CADOT (1886-1965). Mobilisé le 4 août 1914, blessé le 2 août 1917 au chemin des Dames, il était sur le front en même temps que son frère plus jeune (né en 1896). Il devint caporal le 15 juin 1918.
Il était marié avant de partir à la guerre et avait une fille, Blanche, née en 1912.
A son retour, il évoquait la guerre car sa famille l’interrogeait, notamment en voyant ses médailles. Il était agriculteur à Baudrières.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de Saône-et-Loire 2
DATE
1914 - 1919
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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03_Carte postale envoyée par Claude Maxime Cadot
1 Item
Carte postale représentant un champ de choux avec des bébés de soldats « graines de poilus », cette carte est envoyée par Maxime CADOT indiquant « y a-t-il beaucoup de choux à Saugy cette année ? ». Saugy est un hameau dela commune de Baudrières. En fait, Maxime aura une seule fille Blanche, née en 1912.
Cuillère qui a épargné Claude Maxime Cadot
1 Item
01_Cuillère : quand on a tiré sur Claude Maxime Cadot le 2 août 1917 au Chemin des Dames, sa cuillère était dans sa musette, et la balle a ricoché sur la cuillère (l'impact est visible sur la cuillère), donc elle l’a protégé et lui a sans doute sauvé la vie. Ensuite, ce jour-là, le soldat Noël Charlot (originaire du Jura) l’a transporté sur son dos pour l'aider. Ils sont restés amis toute leur vie. Aujourd’hui encore, l’amitié perdure entre les petits enfants et les retrouvailles sont l’occasion de reparler des grands parents.
FRAD071-017 Jean-Baptiste CANILLOT | originaire de Saône-et-Loire
1 Item
Photographie de Jean Baptiste Canillot (1915) avec un écrit au verso Livret militaire de Jean-Baptiste Canillot Photographie de novembre 1918 où le peloton défile à Mulhouse || Récit de Mme Duval, sur son père Jean-Baptiste Canillot. Il a rejoint son régiment du 12e Hussard à Gray (Haute-Saône) en 1913. A son retour, il a parlé de Verdun et du chemin des Dames. Il avait un frère. Lors du conflit, ils se sont croisés par hasard (ils ne faisaient pas partie du même régiment) : ils se sont juste fait signe de la main et ne se sont jamais revus ensuite, l’un d'eux étant décédé pendant la guerre. Jean-Baptiste écrivait très régulièrement à ses parents et à ses sœurs. Il a fait un an d’occupation à Aix-la-Chapelle puis fut démobilisé à la caserne Joubert (Mâcon, Saône-et-Loire) en 1919. Il est revenu à Mâcon et est entré à la PLM (Paris Lyon Méditerrannée), intégrée par la suite à la SNCF. Vingt ans après, il faisait encore des cauchemars sur le conflit.