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Papiers de Sophie GERMAIN. — Recueil de dissertations et problèmes mathématiques et physiques. Français 9115

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http://data.europeana.eu/organization/1482250000002112001

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Source

Bibliothèque nationale de France. Département des manuscrits. Français 9115

Language

fra
fre

Identifier

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90724875
Bibliothèque nationale de France. Département des manuscrits. Français 9115

Country

France

DatasetName

9200519_Ag_BnF_Gallica_typedoc_manuscrits

Language

fr

Created

2016-11-28T12:50:27.880Z
2022-06-01T14:06:40.431014Z
2022-06-01T14:06:40.431478Z
1801-1900

Record ID

/9200519/ark__12148_btv1b90724875

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Correspondance de Sophie GERMAIN.

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Lettres de Delambre, Joseph Fourier, Sophie Germain, Lagrange, Lalande et G. Libri. || Numérisation effectuée à partir d'un document de substitution : R 111689.

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FRAD087_007-Correspondance et papiers de Pierre Ballot et Pierre Bac

1 Item

Histoire de Pierre Ballot, racontée par sa petite-fille. Pierre Ballot, né à Verneuil-sur-Vienne (Haute-Vienne), habitait Limoges lorsque la guerre fut déclarée. Pierre Ballot, né en 1869, était au moment du déclenchement de la guerre dans la réserve de l'armée territoriale. il fut affecté au service de la garde des voies de communication (GVC) de Beauvais, qu'il rejoignit le 17 mai 1915. Il fut ensuite successivement mis à la disposition du général en chef (12 octobre 1916), affecté à la 111e batterie du 10e régiment d'artillerie à pied (12 octobre 1916) puis à la 104e batterie de ce régiment (25 février 1917), et enfin détaché comme cultivateur (16 mai 1917). Il écrivit durant la guerre à sa famille et notamment à son fils, âgé d'une quinzaine d'années au début du conflit. Le beau-frère de Pierre Ballot, Pierre Bac, était pour sa part brigadier colombophile. Il prit part à l'ensemble de la campagne contre l'Allemagne, du 15 août 1914 au 25 février 1919. Pierre Bac écrivit de nombreuses cartes et lettres à sa famille durant le conflit. Comme son beau-frère Pierre Ballot, il évoque dans ses courriers son quotidien au front, les combats contre les Allemands, et demande des nouvelles de sa famille. || Documents relatifs à Pierre Ballot et Pierre Bac : livret militaire, attestation de retraite du combattant, carte de combattant, carte d'identité, correspondance de 1914 à 1919, journal de tranchées l'Echo des Gourbis

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FRAD087_089-Correspondance et papiers de Jean Mariaux

1 Item

Jean Mariaux, né en 1893 à Angoulême, était le fils d'Eugène Mariaux, militaire de carrière qui fut après la Première guerre mondiale commandant militaire de la Chambre des députés puis gouverneur des Invalides. Sa mère, Odette Vigneron, mourut jeune, de la tuberculose. Jean Mariaux fit des études de droit et était docteur à 23 ans. Mobilisé au début de la Grande Guerre, il suivit un cours d'élève officier aspirant. Il fut nommé aspirant et incorporé au 20e régiment d'artillerie. Il rédigea son testament avant de partir au combat, le 3 août 1914. Durant le conflit, Jean Mariaux écrivit de nombreuses cartes et lettres à son père Eugène Mariaux, alors lieutenant-colonel, qui participait également au conflit, ainsi qu'à M. Vigneron, d'Angoulême, son grand-père maternel, qui l'avait élevé ; il y évoque sa vie quotidienne au front. Jean Mariaux fut tué le 20 juin 1915 à la ferme de Berthonval (commune de Mont-Saint-Eloi, Pas-de-Calais). Il fut cité à l'ordre du corps d'armée. Il avait écrit ce même jour à son grand-père une carte dans laquelle il le remerciait de l'envoi d'un colis et lui relatait une attaque allemande. Jean Mariaux est inhumé dans le cimetière d'Ecoivres (Pas-de-Calais). Un service funèbre, au cours duquel fut prononcée une allocution de l'archiprêtre de la cathédrale d'Angoulême, fut célébré en sa mémoire en la cathédrale d'Angoulême le 5 juillet 1915. || Correspondance de Jean Mariaux avec son père, Eugène Mariaux, et avec son grand-père, M. Vigneron ; lettres et documents relatifs au décès de Jean Mariaux ; photographie de Jean Mariaux ; photographie de sa tombe ; testament ; allocution funèbre prononcée en sa mémoire.

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