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FRAD087_079. Le second fils Chénieux | Henri | est parti à la guerre.

Henri Chénieux, né en 1890 à Balledent (Haute-Vienne), frère de Léon, est mobilisé le 3 août 1914 et envoyé aux armées le 23 septembre 1914. Il appartient au 20e Régiment de Dragons (20e RD), régiment de cavalerie, stationné à Limoges et recrutant en majorité des hommes venus du grand Centre, soit, le Limousin, la Charente et la Dordogne. Ce régiment a notamment participé aux combats de la Mortagne, d'Artois, d'Alsace, des monts de Flandres, à la bataille de l'Ourcq. Henri a combattu notamment à Montmirail dans la Marne en 1915. Evacué malade le 16 janvier 1918, il réintègre l'armée le 30 janvier et est démobilisé le 7 août 1919. Henri a reçu une citation pour avoir sauvé un gradé.
Deux photographies le représentant, l'une à cheval, l'autre en groupe.

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M. Guy Chasseneuil et sa fille.

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LANGUAGE

und

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1

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Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/96eef516e8c3f735a5d269d07122043e

Date

1919-08-08
1914-09-03

Type

Story

Language

und

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914-09-03

End

1919-08-08

Language

mul

Agent

Henri Chénieux | europeana19141918:agent/6148a8023bfb9e67d2df3b60b60240f3
M. Guy Chasseneuil et sa fille. | europeana19141918:agent/96eef516e8c3f735a5d269d07122043e

Created

2019-09-11T08:15:26.568Z
2020-02-25T08:12:49.517Z
2020-02-25T08:12:49.518Z
2014-02-03 09:17:39 UTC
2014-02-03 09:34:30 UTC

Provenance

FRAD087

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_13079

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FRAD087_079. Le cadet des Chénieux | Gustave | est mort au combat.

1 Item

Une photographie et une carte postale (correspondance). || Gustave, Jean Chénieux est né en 1895 à Balledent (Haute-Vienne). Il est le troisième fils de Léonard et Eliza Lefort. Il est agriculteur à Balledent. Bien que faisant partie de la classe 1915, il est incorporé le 17 décembre 1914 au sein du 20e Régiment d'infanterie. Ce régiment, majoritairement constitué de Gascons, fut renforcé par l'arrivée de braves limousins et de soldats de la Marche qui constituaient la classe 1915. D'autres régions d'origine (Bretons) vinrent gonfler les effectifs du régiment jusqu'en 1918. L'histoire du 20e RI se confond avec l'histoire même de la guerre: Ardennes, Meuse, Marne, Champagne, Artois, Verdun, Oise. Lorsque Gustave Chénieux intègre le 20e RI, les troupes sont en Champagne-Perthes et la guerre prend une forme nouvelle, celle de la guerre des tranchées. Gustave Chénieux a donc vécu ces combats et lorsqu'il passe, le 20 avril 1915, au 220e Régiment d'infanterie Territoriale, il ne sait pas encore qu'il va y laisser la vie un an plus tard. En avril 1915, le régiment est dans le secteur de Lamorville (Meuse) où la violence des feux de l'artillerie et des mitrailleuses ennemies est à son comble. Gustave Chénieux y survit. Mais en mars 1916, lorsque les troupes arrivent dans le secteur du Mort-Homme et de Béthincourt (Meuse), sur le front nord de Verdun, les Allemands déclenchent une attaque formidable. Déjà, en février, le Général en chef avait donné ordre de défendre la place et de ne pas battre en retraite sous peine d'être traduit en Conseil de guerre. Donc les hommes sont là, dans les tranchées, à répondre à chaque offensive allemande. Le 4 mars, les allemands ont ordre de se préparer à de nouveaux combats afin de s'emparer de Verdun. La région est bordée de petits monts, dont Mort-Homme et la Côte-de-l'Oie, défenses naturelles âprement disputées par les deux camps. Les troupes françaises, en nombre inférieure et enlisées dans des marécages tentent de résister sur la Côte-de-l'Oie. Le 7 mars 1916, nouveau bombardement, nouvel assaut par la plaine couverte de neige. Les allemands s'emparent de la Côte-de-l'Oie mais échouent devant la Mort-Homme. Gustave Chénieux est déclaré mort à la Côte-de-l'Oie, le 7 mars 1916, par jugement déclaratif de décès rendu par le Tribunal de Bellac (Haute-Vienne) le 17 novembre 1921.

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FRAD087_079. Léon Chénieux et ses frères sont partis à la guerre.

1 Item

La famille Chénieux réside au Planchon sur la commune de Balledent (Haute-Vienne). Léonard et Marie Lefort, cultivateurs ont trois fils, Léon (1888), Henri (1890), Gustave (1895) ainsi qu'une fille, Marie (Lydie) (1886). Léon, forgeron et maréchal ferrant de profession, est marié et père d'une fillette née en 1913 (mère de M. Chasseneuil, déposant). Mobilisé le 3 août 1914, il part aux armées le 13. Il intègre le 52e Régiment d'artillerie puis le 221e d'artillerie en 1917. Léon sera démobilisé le 2 mars 1919. || Photos, livret militaire, fascicule de mobilisation, livret sur le 221e Régiment d'Artillerie de campagne, carnet d'adresse de ses frères d'armes, cartes postales et portraits de ses frères d'armes, et nombreux objets (galon de maréchal ferrant, médaillon de mobilisation, plaque de coffre de cantine, trousse d'artificier en cuir, cartouchière, douille d'obus ciselée, sabot de cheval (encrier), couteau à cran d'arrêt en aluminium, encrier, clefs pour dévisser les obus, visière en laiton).

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Henri Chénieux à cheval.

1 Item

Front || Photographie du soldat Henri Chénieux à cheval. Il appartient au 20e Régiment de dragons, régiment de cavalerie.

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