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FRAD034-016 Jean DESCOUS | Agriculteur héraultais parti au front

Jean DESCOUS est le cousin de la belle-mère de la contributrice. Il habite à Villespassans dans l'Hérault avec sa famille. Tous sont agriculteurs et son père est également maréchal-ferrant. Il part au front où il correspond avec sa famille. Il revient indemne de la guerre et reprend son métier d'agriculteur.
cartes postales : correspondance entre le poilu et sa soeur

01 - Lettre du frère du poilu
Villespassans
Letter
02 - Carte postale du poilu pour ses parents

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CONTRIBUTOR

Annie BOIT

DATE

-

LANGUAGE

fra

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2

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/fb078be4e0ec0b5b0d067dfe9db41f81

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Jean DESCOUS | europeana19141918:agent/a6bf63074679235bc1306c6ab3632c75
Annie BOIT | europeana19141918:agent/fb078be4e0ec0b5b0d067dfe9db41f81

Created

2019-09-11T08:48:10.679Z
2020-02-25T09:10:13.077Z
2013-11-13 09:51:47 UTC
2016-06-21 12:24:15 UTC
1916-01-31
2016-06-21 12:26:25 UTC

Provenance

FRAD034

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_8256

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FRAD034-119 Aimé VIRENQUE | un Héraultais au front

6 Items

Aimé VIRENQUE a transmis un ensemble de documents composé de 6 cahiers de prescriptions, rapports, notes, ordres et décisions (7 septembre 1914- 5 juillet 1915) et d'un album de cartes postales patriotiques contenant notamment des cartes adressées à sa fille Jeanne. L'album comprend en outre des cartes postales adressées à Aimé Virenque par sa fille Jeanne, des cartes postales adressées à la famille Chauvet (de Tressan) et des cartes photos prises par Aimé Virenque. L'ensemble de ces documents a été numérisé par les Archives départementales de l'Hérault et peut être consulté en ligne sur le site pierresvives.herault.fr sous la cote 36 PRI. || Aimé Virenque, originaire du Pouget (Hérault) où il naît en 1867 est d'abord sous-lieutenant de réserve. Il s'engage dans l'armée au moment de la mobilisation et devient capitaine au 6ème bataillon, 122ème régiment d'infanterie territoriale. Le 122e régiment d'infanterie territoriale (122e RIT) est stationné à Ollioules (Var, Provences-Alpes-Côte-d'Azur).C'était une personne discrète qui s'exprimait peu sur la guerre.Il a rédigé et prononcé le discours d’inauguration du monument au mort du Pouget. || || Postcard || 01 - Carte postale d'une jeune fille à son père, Aimé VIRENQUE, soldat sur le front (1916) || Women || Home Front || Front || || 01 - Carte postale d'une jeune fille à son père, Aimé VIRENQUE, soldat sur le front (1916) || Home Front || Back || Women || Postcard || || Diary || Recruitment and Conscription || 02 - Carnet de notes du poilu Aimé Virenque, extrait d'un rapport et des notes du commandant (10 octobre 1914) || Home Front || Front || || Front || Home Front || Diary || Recruitment and Conscription || 02 - Carnet de notes du poilu Aimé Virenque, extrait d'un rapport et des notes du commandant (10 octobre 1914) || || Home Front || Recruitment and Conscription || 03 - Carnet de notes du poilu Aimé Virenque, emploi du temps pour la journée du 16 juin 1915 || Diary || Front || || 04 - Poème de Jeanne, fille du soldat Aimé Virenque || Women || Front || Propaganda || Poem || Home Front

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FRAD043_014 Louis Aimé Virat | un fils parti au front

1 Item

Photographie envoyée dans le courrier du 20 mars 1915 à ses parents montrant le sergent Louis Gabriel Aimé Virat allumant sa pipe(légende de la lettre : ma photo en train d'allumer la bouffarde sans se faire un brin de bile, photo tirée à 1500m des Boches). Photographie envoyée dans le courrier du 4 février 1915 à ses parents montrant le sergent Louis Gabriel Aimé Virat au poste d'observation à côté d'une mitrailleuse en batterie. Photographie envoyée dans le courrier du 4 février 1915 à ses parents montrant une entrée de boyau conduisant aux tranchées. Lettre de Louis Gabriel Aimé Virat à ses parents des 4, 12 et 16 janvier 1915, du 4 février 1915 et du 20 mars 1915. || Né en 1892, Louis Gabriel Aimé Virat est parti au service militaire à la fin de l'année 1913. Toujours sous les drapeaux à l'été 1914, Aimé Virat évoque dans ses lettres, dès le 28 juillet 1914, la situation explosive en Europe, gardant malgré tout l'espoir de ne pas partir au combat. C'est le 1er août 1914, qu'il annonce le départ prochain à ses parents. Après avoir traversé la France , au bout de 26 heures de chemin de fer, il arrive au front. Le 12 novembre 1914, il est en Belgique. Le 10 décembre 1914, il est à proximité d'un village romain. Formé en tant que mitrailleur au 92ème régiment d'infanterie de Clermont-Ferrand, il a combattu en tant que tel. Il sera tué d'une balle à la tête le 3 mai 1915, à Beuvraignes, dans la Somme. Son képi, remis avec ses affaires personnelles à la famille, en portait la trace. Sur le tombeau de famille à Brioude, une plaque lui rend hommage. Les documents présentés et détenus par Mme Marie-Thérèse Sentenat sur son grand-oncle sont une série de photographies, une centaine de lettres signées d'Aimé à ses parents et à son frère et quelques courriers de ses camarades et d'une institutrice, Melle Rita Gros. Aimé Virat évoque dans ses lettres son quotidien au front. Soumises à la censure, dont le soldat avait pleinement connaissance par l'évocation permanente dans ses écrits et des sanctions qu'il encourait en cas d'infraction à ce devoir de réserve. Les sujets abordés sont souvent d'ordre matériel, il réclame à ses parents de lui envoyer des colis de toutes sortes : bandes molletières, souliers, gilet, chemises, écharpes, foulards, un pantalon bleu pour couvrir le rouge (fin octobre 1914) mais aussi des produits pharmaceutiques dont des pastilles Valda et Vichy, de l'eau de Cologne, des vivres (viande, fromage, charcuterie, chocolat) et divers objets qu'il qualifie d'utiles ( montre, rasoir, blaireau, porte-plume, briquet...). Ses demandes sont très précises et insistantes au fil des lettres si l'envoi n'a pas été fait. Mais ses lettres sont aussi le moyen pour lui d'exprimer la vie des tranchées et la dureté des combats, voire leur extrême violence. Ainsi, il s'estime privilégié d'être mitrailleur car il n'a pas à donner l'assaut (citation de la lettre du 12 janvier 1915 : pas d'assaut à pousser car c'est terrible quand il faut se piquer les uns les autres). Il fait également référence au feu meurtrier de l'artillerie auquel il est difficile d'échapper. Il parle de ses camarades de Brioude blessés ou prisonniers et de ses connaissances familiales et de voisinage. Il explique aussi les modalités de promotion. Ses lettres sont illustrées par des photographies prises sur le front, de lui, de ses camarades et de son environnement. Sa lettre du 16 janvier 1915 est remarquable par le fait qu'il explique à son frère Louis ce qu'est la guerre. Ce dernier lui avait exprimé son admiration et qu'il souhaitait détenir un souvenir pris à l’ennemi.

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FRAD034-171 - Martin Peyras | parti au front à 44 ans

4 Items

- Cartes postales adressées à sa mère, épouse, ses filles, grand-père paternel - Certificat de remerciement à sa femme qui a apporté 400 fr. d'or || Martin Peyras est le grand-père maternel du contributeur Robert Oustric. Martin naît le 31 mai 1872 près de St-Pons-de-Thomières, Brassac. Il habite Sauvian où il achète une épicerie avec sa mère, puis est mobilisé en 1914 alors âgé de 44 ans. Il sera au front de Belgique, puis dans le Nord de la France (Arras). Il devient Caporal. En 1917, Martin perd son épouse, il obtient une permission mais arrivé à Béziers, il manquait une autorisation et Martin a du retourner au front pour compléter les autorisations. Sa femme décède entre temps. Ses filles (12 et 14 ans) sont placées en pension religieuse. Il revient de la guerre en 1918 sans jamais avoir été blessé. Il vend son épicerie et devient régisseur dans la propriété où sa mère est nourrice. Il décède le 17 novembre 1957 Martin Peyras était un homme discret, généreux, de bon conseil. Lors d'alertes en 39-45, il restait sur le trottoir quand les allemands ordonnaient d'aller se réfugier dans les tranchées creusées dans les vignes. Martin donnait des conseils de gestion des vignes dans sa correspondance, et donnait des conseil de vie à ses filles. Martin a également reçu une décoration militaire. Motivation du contributeur : intérêt du contributeur pour l'histoire de la première guerre et volonté de faire partager pour l'histoire commune. || || 01 - Photo de groupe sur lesquelles apparaît Robert Ostric || Guerre mondiale (1914-1918) || Remembrance || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Photograph || || Women || Guerre mondiale (1914-1918) -- Finances || Official document || Guerre mondiale (1914-1918) || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || 02 - Certificat de versement d'or || Remembrance || || 03 - Photos de dégâts de guerre || Guerre mondiale (1914-1918) || Photograph || Guerre mondiale (1914-1918) -- Belgique || Belgique || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Femmes || Letter || Guerre mondiale (1914-1918) || Remembrance || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Guerre mondiale (1914-1918) -- Belgique || 04 - Correspondances du poilu à son épouse || Women || Trench Life

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