FRBMBX-034 Les familles Primard et Gachet de l'Isère dans la guerre
Trois photographies de trois régiments, Fanfare de cavalerie, 109e territorial et chasseurs alpins dont deux cartes postales rédigées au verso
J'ai conservé les photographies éditées en cartes postales des familles de mon épouse, les Primard et les Gachet originaires de l'Isère.A chaque soldat son régiment : un chasseur alpin au grand béret, un grand-oncle musicien trompettiste photographié avec la fanfare d'un régiment de cavalerie, un autre aîeul Philippe Gachet appartenant au 109e régiment d'infanterie territoriale ( ils portent les képis est-ce avant l'arrivée des casques dans les uniformes ? )
CONTRIBUTOR
Daniel Peytoud
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD034-215 Les familles héraultaise Bataille-Theulé dans la tourmente de la guerre
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Cette histoire évoque le sort de plusieurs soldats, membres d'une même famille, originaires du village d'Aumelas dans l'Hérault, pendant la durée de la Première Guerre mondiale. Principalement, il est question d'Albert Bataille, puis de son frère Louis Bataille, de deux frères de Léa Bataille, la femme d'Albert, Stanislas et Aimé Theulé ainsi que de Marius Theulé, mari de la soeur d'Albert. Albert Bataille est un paysan modeste né à Aumelas le 13 avril 1878. Il est marié à Léa et père de trois filles, Esther, Elise et Claire. Il appartient au 122ème régiment territorial d'infanterie de la 5ème compagnie, puis au 331ème régiment d'infanterie de la 2ème compagnie, escadron du train. Stanislas Theulé, l'un des frères de Léa Bataille, est prêtre, caporal infirmier au 281ème régiment d'infanterie. Il est tué en 1915. Léa Bataille a un autre frère mobilisé, Aimé Bataille, mais aucune autre information n'est connue à son sujet. Albert Bataille est en compagnie de son frère Louis Bataille, caporal, autant dans le 122ème régiment territorial d'infanterie qu'au 331ème régiment d'infanterie de la 2ème compagnie. Enfin, Marius Theulé, probablement le mari d'une soeur d'Albert Bataille, est caporal au 341ème régiment d'infanterie de la 18ème compagnie. D'après les éléments donnés par le contributeur, ce dernier est mort à la guerre. || le corpus documentaire concernant cette famille est très riche. Il se compose des livrets militaires d'Albert Bataille et de Stanislas Theulé, du carnet de route d'Albert Bataille pour la période 1914-1917, du carnet de notes de Stanislas Theulé, d'un très important ensemble de cartes postales envoyées ou reçues par les soldats Bataille et Theulé, reflet des échanges avec leurs proches à l'arrière pendant toute la période de la guerre (mère, épouses, filles, soeurs, amis...), d'une correspondance relative au décès de Stanislas Theulé (juillet-septembre 1915). || || Trench Life || A signaler dans cet extrait : il est question d'un échange de messages transmis par l'intermédiaire d'un chat entre les soldats allemands et français (septembre-octobre 1915). || 01 - Extrait du carnet de route du soldat Albert Bataille (septembre-octobre 1915) || Diary || Front || || Front || Trench Life || A signaler dans cet extrait : il est question d'un échange de messages par l'intermédiaire d'un chat entre soldats allemands et français (septembre-octobre 1915). || Diary || 01 - Extrait du carnet de route du soldat Albert Bataille (septembre-octobre 1915) || || Chelles || Back || Albert BATAILLE || Postcard || 02 - Carte postale du soldat Albert Bataille à sa famille (2 juin 1915) || Trench Life || || Postcard || Back || 03 - Carte postale du soldat Albert Bataille à sa famille (7 novembre 1915) || Remembrance || Albert BATAILLE || Trench Life || || Postcard || 04 - Carte postale du soldat Albert Bataille à sa famille (8 mai 1916) || Back || Albert BATAILLE || Remembrance || Trench Life || || Front || Trench Life || 05 - Carte postale du soldat Albert Bataille à sa famille (6 avril 1916) || Albert BATAILLE || Remembrance || Postcard
FRAD055_016 Les familles Fert et Gredt dans la guerre.
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Ensemble de documents concernant Gabriel Fert, grand-père maternel de la contributrice : livret militaire, documents officiels (concernant notamment sa blessure de 1916, des permissions pour travaux agricoles, des laissez-passer...), photographies, correspondance reçue et envoyée, portefeuille avec les documents qui s'y trouvaient qui lui aurait sauvé la vie en faisant ricocher une balle. Documents de la famille Varnerot (famille de l'épouse de Gabriel Fert) : photos et courrier de Lucien Varnerot, lettre de sa mère, carte postale avec correspondance de Marthe Lombart, cousine germaine de Lucien, depuis l'hôpital de Givet où elle était infirmière. Photographies de combattants de cette famille : Henri et Gustave Giron, cousins de Gabriel Fert, et de Henri Gredt, grand-père paternel de la contributrice. Quatre cartes postales montrant les dégâts subis par l'église de Girauvoisin pendant la guerre. || Gabriel Fert, grand-père maternel de la contributrice, est mobilisé le 2 août 1914. Maréchal des logis, il est d'abord dans un régiment de dragons puis dans un régiment de chasseurs et enfin il sert dans l'infanterie. Agent de liaison, il est blessé par plusieurs éclats d'obus le 15 août 1916 à la côte 304 (secteur de Verdun). Il gardera des séquelles de ces blessures sa vie durant et recevra pour cela une pension d'invalidité. Il est démobilisé le 26 février 1919. Les documents apportés par sa petite fille permettent de retracer le parcours de ce poilu, depuis sa mobilisation jusqu'à la fin de la guerre. On y trouve quelques photographies personnelles, sont livret militaire, des papiers concernant sa blessure de 1916 (certificats médicaux, pensions..., les cartes envoyées à son épouse, Henriette, sa fille, Jeannette, et ses parents ainsi que les lettres qui lui ont été écrites par un ami parisien, M. Bouillon. Gabriel Fert a aussi transmis dans ses papiers son carnet dans lequel on trouve une partie de sa correspondance (des brouillons sûrement) ainsi que des otes de travail (état des effectifs, du matériel...) inscrites au crayon durant la guerre. Enfin, sa fille et sa petite fille ont également conservé religieusement, le portefeuille qu'il portait lorsqu'il a été blessé et qui l'aurait protégé et faisant ricocher une balle. Une note explicative laissée par sa fille entoure le portefeuille dans lequel se trouvent encore les documents qui s'y trouvaient alors : des billets, des photos personnelles.... tous marqués par la force de l'impact et certains tâchés de son sang. La contributrice a aussi conservé les papiers de la famille Varnerot et notamment les photographies et une lettre de Lucien Varnerot à sa sœur mariée à Gabriel Fert. Lucien Varnerot est tué à Marchéville le 8 avril 1915, dans les combats des Eparges. On trouve également dans ces papiers une lettre de Marthe Lombart, cousine germaine de Lucien Varnerot, infirmière à l'hôpital de Givet (Ardennes) et dont on raconte qu'elle faisait passer, dans cette zone sous occupation allemande, des messages français dans son chignon.
FRAD048_008 Deux familles dans la guerre
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Les documents remis concernent deux familles, les Gaillard de Mende qui tiennent le Café de la Caille et les Vincent épiciers à Ispagnac. On a relevé les lettres de : - Adrien Vincent, né le 19 octobre 1894 à Ispagnac, caporal au 156e RI, mort suite à des blessures de guerre le 26 octobre 1918. - Gaston Vincent, né le 2 décembre 1896 à Ispagnac, soldat de 2e classe, tué le 1er août 1917 à Vacherainville dans la Meuse. - Jules Gaillard, sergent fourrier au 35e RI. || || Eastern Front || Letter || Le petit Louis à son oncle Adrien Vincent || || Home Front || Carte postale propagandiste || Front || Propaganda