Sabotier dans la Nièvre, Edmond Devenon appartient au 227e régiment d'infanterie. Il a fait trois ans de service avant la guerre. En 1914, son casernement est à Dijon (Cote-d'Or). Il est à la disposition du 8e corps d'armée. Il est durant trois ans au front. Blessé, il est soigné dans un hôpital de Franche-Comté (Besançon). Il est réformé temporairement le 20 janvier 1917 et définitivement en 1920. Edmond Devenon s'était marié avant la guerre avec Julienne, Françoise Porrot. Leur fille, Rose, est née le 24 janvier 1915 à La Collancelle (Nièvre). En 1919, il vient avec sa fammile s'installer à Vitry-sur-Seine (Seine). Il devint ouvrier à la maison Defforges, entreprise vitriote de transformation du gypse. Il aura quatre autres enfants. || Cartes postales : correspondance. Photographies. Carte du combattant. || || Edouard Devenon est au deuxième rang au milieu. || Front || Edouard Devenon || || Dernier convoi de blessés allemands quitant Saint-Dié (Vosges) || Bléssés || Front || Postcard || || Etat-major allemand/Général Von Soden/Comte de Bulow || Saint-Dié. Etat-Major allemand devant l'hôtel Terminus. || Postcard || || Postcard || Prisonnier || Saint-Dié avant l'occupation allemande. Prisonniers. || || Bérnécourt après le bombardement. || Bombardement || Postcard || || Carte postale Le trèfle des aliés. || Front || Letter || Alliés

Au moment de la mobilisation, Edmond Jules VINOIS résidait avec sa femme et sa fille, Madeleine de 4 ans à Anzin (Nord). Il était couvreur. Il reçut plusieurs prix de tir (Vase de Sèvres, prix président de la République). Il appartenait au 91ème régiment d'infanterie, 10ème compagnie. Il combattit lors de l'hiver 1914/15 en Argonne. Il n'a pas pu correspondre avec sa famille. Car sa femme et sa fille furent déplacées à Mesnil en Mayenne mais il ignorait leur adresse. Sa femme apprendra la disparition de son mari un an après son décès. Il fut blessé au genou par un éclat d'obus. Il resta dix heures seul blessé, perdit beaucoup de sang. C'est lors de l'appel que ses camarades se rendirent compte que le soldat VINOIS manquait. Ils retournèrent le chercher. Il arriva à l'hôpital militaire très affaibli. Ce fut un jeune médecin militaire qui s'occupa de lui. Ils prirent la décision de ne pas lui couper la jambe. Peut-être qu'Edmond VINOIS à cause de son métier s'opposa à l'amputation de sa jambe. Malheureusement la gangrène apparut et il décéda le 20 août 1915 à Ligny. Il fut inhumé dans le carré militaire du cimetière d'Anzin. Edmond VINOIS était mon grand-père. C'était un homme bon , gentil. Il était très protecteur avec sa soeur Julia de 4 ans, sa cadette. || Lettres d'Edmond Vinois à sa soeur (1915), photographies, cartes postales.

1 courrier proposant l'inscription d'Hélie Edmond sur Livre d'Or des Héros de la Guerre 14-18. La famille ne fera pas la démarche. || Fils de Jules Hélie et de Célestine Dupont, Edmond Hélie est né le 9 octobre 1881 à Versainville dans le Calvados. Il est journalier avant la guerre et durant son service militaire, il est dispensé après moins d'un an, au titre de l'article 21 fils unique de veuve. Il est mobilisé en août 1914 et le 14 juillet 1915 il rejoint le 131e régiment d'infanterie. Il meurt à l'âge de 20 ans, le 6 octobre 1916 à Cerisy Gailly dans la Somme, à l'hôpital d'évacuation 15, tué par un éclat de shrapnel, reçu à Rancourt dans le Somme le 4 août 1916. || || Hélie Edmond || Hélie Edmond-Proposition d'inscription au Livre d'Or des Héros de la Guerre || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Multiple