FRBNFM-169 Histoire de la famille Verdin
4 frères Verdin (sur 5) ont été mobilisés. Maurice est décédé pendant la guerre ; Louis, Edmond et Ernest ont survécu.
3 photographies avec mentions manuscrites.
CONTRIBUTOR
Maurice Athenol
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRBNFM-294 Correspondance de la famille Sérézat
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2 cartes postales envoyées en 1917 || Carte postale adressée à mon arrière-grand-père paternel, le sergent Pierre Sérézat, alors en convalescence à l'hôpital de Dinan. Carte postale adressée par Louis Sérézat à son père Pierre alors en convalescence à l'hôpital de Dinan.
FRBNFM- 040 Histoire d'une famille lorraine frontalière pendant la Grande Guerre
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- Un carnet de notes manuscrites d'aout 1914 - Une carte postale donnée suite à une souscription pour un monument à la mémoire des prisonniers morts au camp de Grafenwôhr - Une carte postale envoyée par la mère du soldat Thirion prisonnier en Allemagne - Un dessin d'un juif polonais réalisé à Vilnius sur du papier toilette dans un camp de prisonniers || La famille de Mme Thirion habitait en Lorraine. Une partie de sa famille (maternelle) était donc allemande depuis 1870 et l'autre partie de sa famille (paternelle) était française alors qu'elles habitent à quelques kilomètres de distance. Le père de Mme Thirion, Emile Thirion, a fait son service militaire en 1910 et a donc été mobilisé en août 1914 en tant que caporal d'infanterie. Il tient un journal de bord en août 1914, jusqu'au 25 août 1914, jour où il est blessé dans la forêt de Pierrepont au bras car la balle qui l'a touché a été détournée par une médaille religieuse. Fait prisonnier fin août 1914, il est conduit au camp de Kassel puis en mai 1916 à Vilnius où il doit effectuer des travaux forcés. Mathématicien et physicien de profession, il obtient de devenir géomètre pour un tracé de route et réussit à s'échapper. Repris, il est tenu prisonnier à Graffenworth en Bavière à partir de mars 1917. Il est transféré dans un camp à Bayreuth de mai 1918 à janvier 1919. De retour en France à Châlons le 26 février 1919, il est libéré de ses obligations militaires en juillet 1919 à Bar le Duc. Le père de Mme Thirion a donc été prisonnier français en Allemagne, son grand père maternel de nationalité allemande (mais lorrain)a été tué par les français et son grand oncle de nationalité allemande s'est échappé du front de Flandre mais est arrêté par les soldats britanniques pour suspicion d'espionnage au service des Allemands.
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