Henri GUERIN 1914/1919
Vous allez découvrir la correspondance d’Henri Eugène Guérin, soldat, caporal, sergent, puis adjudant au 2me régiment de tirailleurs marocains, combattant de la guerre 1914/1919.
J’ai écrit sciemment 1919 car la guerre ne s’est pas arrêtée pour tout le monde le 11 Novembre 1918, jour de l’armistice.
Les troupes françaises retournées au Maroc attendaient la signature du traité de Versailles(*), suppression définitive des possessions Allemandes au Maroc, dans l’espoir tant attendu de démobilisation. ......
lire ensuite comment les rescapés de la marne ne retournerons pas chez eux mais seront envoyés via Bordeaux se battre et mourir au Maroc en 1919...
personne n'en parle.
lire la suite sur:
http://paslierguerin.perso.sfr.fr/
correspondances lors de la bataille de la marne, oise puis la guerre au Maroc de 1918 à 1919
Memoir
Henri GUERIN
CONTRIBUTOR
Paslier Christian
DATE
1917-05-06 - 1919-08-29
LANGUAGE
fra
ITEMS
32
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD071-135 Henri GUERIN | un Saône-et-Loirien en Orient (1915-1919)
4 Items
Récit de Richard LAMARRE sur Henri GUERIN, son grand-père maternel. Quelles traces d’Henri Guérin restent-t-il aujourd’hui ? Cinq années de correspondances rédigées pour la plupart depuis l’Orient entre 1915 et 1919 à destination de ses parents et de sa sœur, cultivateurs à Chânes (Sâone-et-Loire), ainsi que quelques photographies qu’il leur avait transmis. Incorporé au 6ème régiment mixte d’infanterie coloniale, Henri Guérin embarque depuis Toulon pour l’Orient début mars 1915 à bord de La Lorraine. Après des escales à Bizerte et Alexandrie, Henri arrive aux Dardanelles courant avril. Blessé au cou à Koum-Kaleh (Turquie) le 25 avril, on le retrouve, dans les mois suivants, occupé à différents travaux (déchargement de bateaux, cantonnier…) dans les îles Lemnos et Ténédos. Enterré vivant par suite de l’explosion d’une mine le 15 octobre, il s’en sort avec plus de peur que de mal. En fin d’année 1915, Henri, devenu caporal, est hospitalisé pour furonculose. Présent dans la région de Salonique et de Monastir (Macédoine) en 1916, Henri participe à de nombreux combats dans les tranchées contre les Turcs et les Bulgares et évoque de manière récurrente souffrir des conditions climatiques ainsi que de mauvais ravitaillements. Rapatrié en France début juin 1917, il devient instructeur au camp militaire de la Valbonne (Ain). En juillet 1918, nommé sergent, Henri est instructeur au camp militaire des troupes coloniales de Fréjus-Saint-Raphaël. De retour à Salonique début novembre 1918, il reste en Orient jusqu’à sa démobilisation le 2 octobre 1919 puis se retire à Chânes (Saône-et-Loire). On signalera que les écrits d’Henri font référence à plusieurs reprises aux tirailleurs sénégalais, qu’il a particulièrement côtoyé, et évoque son nouveau rôle de chef de culture en 1919. || || Photograph || Photographie où l’on retrouve Henri GUERIN, au centre, entouré de soldats sénégalais (sans date). || || Letter || Lettre d’Henri GUERIN à ses parents et à sa sœur datée du 19/04/1915 dans laquelle il parle de la censure des lettres des soldats. || || Lettre d’Henri GUERIN à ses parents et à sa sœur datée du 17/10/1915 dans laquelle il raconte avoir été enterré vivant par une mine deux jours auparavant. || Letter || || Letter || Lettre d’Henri GUERIN à ses parents datée du 08/02/1919 dans laquelle il évoque son nouveau rôle de chef de culture ainsi qu’un « mauvais tour » joué à un tirailleur sénégalais.
FRBMLY-31 Henri Couturier | soldat 1914-1919
1 Item
Photo-carte représentant Henri Couturier à cheval. Un livret militaire. Un certificat de bonne conduite. Une citation à l'ordre de la nation. Un cahier de chants patriotiques. || Mon père, Henri Couturier, a fait son service militaire à partir de 1911. Il avait terminé son service quand la guerre a été déclarée. Il a donc été mobilisé tout de suite. Il était au 26e Dragons. Il avait un cheval. Il a été blessé à la tête le 28 janvier 1916 par des éclats d'obus et il a été hospitalisé. Un de ses camarades hospitalisé ayant refusé d'aller à la messe, a été renvoyé prématurément au front. Mon père en a été affecté et a rejeté en bloc toute religion. Il repart ensuite au front. Après l'armistice, il défile à cheval sur les Champs-Elysées. Il est libéré le 15 juillet 1919. Après la guerre, Henri Couturier épousa Anaïs Marpaud (1899-1976). Celle-ci a tenu pendant la guerre un cahier de chants patriotiques.