Philibert Calais à 22 ans | sur le front de Champagne en 1917.
Photographies représentant Philibert Calais à 22 ans, sur le front de Champagne en 1917. Avant de devenir Aspirant, il était 2ème cannonier au 11ème régiment d'Artillerie à pied près de Prosnes.
CONTRIBUTOR
Archives Municipales de Sète
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LANGUAGE
fra
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2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAM34200-018 Philibert CALAIS
3 Items
Philibert CALAIS est né à Sète le 25 juin 1894 et décédé à Sète le 3 janvier 1972. Il est le père du contributeur Jean CALAIS. Il faisait partie du 11ème régiment d'artillerie et a fait la guerre de 1917 à 1918 sur le front de Champagne. Cannonier puis Aspirant, il ne sera pas démobilisé en 1918 et exercera jusqu'en 1919 la fonction de secrétaire du sous-préfet de Thionville en Lorraine. Démobilisé en 1919, il revient à Sète où il exercera la profession d'avocat sous le nom de CALAIS-AULOY. Il sera à nouveau mobilisé pendant la deuxième guerre mondiale. Le père du contributeur a beaucoup parlé de la guerre à son fils. Dans les années 50, il l'a amené sur les lieux où il avait fait la guerre notamment à Prosnes (Champagne). || Photographies représentant Philibert Calais à 22 ans, sur le front de Champagne en 1917. Photographie d'une « Saucisse » : Ballon d'observation de la guerre 14-18 Lettres de Philibert Calais écrites de 1917 à 1918.
Gabrielle AULOY | tante maternelle de Philibert CALAIS
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Portrait de Gabrielle AULOY, infirmière à Souilly près de verdun.
FRAD034-123 Joseph Méaude sur le front de Champagne | avril 1916
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Grand père maternel du contributeur Nicole Capelle, Méaude Joseph, nait en 1879 à St Martin de l'Asseguilli (Morbillan). , résidant à Lorient, il est mobilisé en 1914 lieutenant au 62e régiment d'infanterie de Lorient. Marié avec Marie Allio, Méaude a 2 filles de 8 et 5 ans, plus une fille qui naitra en janvier 1915. il est envoyé en Champagne, probablement au front de Verdun où il est responsable d'un quartier général. Il décède au front le 23 avril 1916, un obus tombe sur son QG. Son corps n'a jamais été retrouvé car un second obus est tombé à la suite sur le QG. Symboliquement, Méaude Joseph est enterré au fort de Douaumont. Toutefois, il n'y a pas eu d'obsèques. La grand-mère est restée veuve. La mère du contributeur a souffert de la mort de son père, alors âgée de 7 ans, qui en gardait un souvenir d'une personne extraordinaire et très aimante envers ses filles. Un cousin du Joseph Méaude, du même régiment, a ramené la montre ainsi qu'un bijou du soldat défunt. La grand-mère les a ensuite transmis au contributeur. La disparition de Joseph Méaude fut un grand bouleversement au sein de la famille. Joseph Méaude a ensuite reçu la légion d'honneur à titre posthume, ses filles ont ainsi pu faire des études à l'école de la Légion d'honneur d'Ecouen. || - Photographie prise avant son départ, en uniforme - Documents post guerre lors de la remise de la légion d'honneur, la mère du contributeur remplace sa mère. - Cartes postales de Verdun achetées par la grand-mère lors de ses démarches pour retrouver le corps de son mari.