FRAD078-0104_02 Georges Léonce Friboulet | caporal au 24e territorial
Mon grand-père paternel, Georges Léonce Friboulet, est né à Octeville-sur-Mer (Normandie, aujourd’hui Seine-Maritime) en 1880 et mort en 1948 à Yvetot (Seine-Maritime). Il devient apprenti en 1898 et travaille dans un magasin de chaussures en 1908.
Il était caporal au 24e territorial. Il avait 34 ans à la mobilisation en 1914. Il a été formé dans la vente de chaussures et, en 1914, il possédait un magasin à Yvetot. Quand il a été mobilisé, il avait deux enfants en bas âge dont mon père, Georges Friboulet (né en 1910), et Roger (né en 1908). Sa femme Hélène tient la maison et le magasin pendant toute la guerre. Il est mobilisé dans le nord de la France. Il n’a jamais été au combat, il était en arrière ligne dans les magasins d’armes.
J'ai hérité ces photographies de mon père, qui conservait de nombreux albums.
2 photographies noir et blanc
CONTRIBUTOR
Jean-Edouard Friboulet
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Photographie de Georges Léonce Friboulet
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Photographie en pied noir et blanc, datée de 1915 (mon grand-père était en permission).
FRAD078-082 Jean Peries | caporal-tambour
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Ces documents sont des archives familiales. Ce sont des documents de mon grand-père maternel. Il était originaire de Toulouse. Il a été blessé et gazé durant la guerre et comme c’était un homme taquin, il nous parlait des religieuses qui l'avaient soigné de façon malicieuse. Il était présent au Chemin des Dames. Il parlait beaucoup de ses camarades de régiment : il était très lié avec un certain « Tanis », son frère d’armes. Il avait eu son certificat d’études. C’était un homme très bon. Il a eu un certificat de bonne conduite pendant la guerre et a été nommé caporal-tambour le 23 mars 1919. || 4 photographies-cartes postales noir et blanc. 1 clairon || || Front || Remembrance || Photographie-carte postale; Jean Peries était tambour-major, c’est le personnage à droite sur la photo, au premier plan. || Photograph || Jean Peries || Champagne et Verdun || Jean Peries, tambour-major || || Remembrance || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Jean Chambart || Postcard || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental || Other || Jean Chambart, l’arrière grand-père || Front || Photographie-carte postale noir et blanc, recto-verso. || Français || Patois toulousain || || Remembrance || Back || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Jean Chambart, l’arrière grand-père || Postcard || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental || Jean Chambart || || Front || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Remembrance || Photographie-carte postale d'un cousin à cheval. || Un cousin à cheval || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental || Postcard || || Remembrance || Un cousin à cheval || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Back || Postcard || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental || || Champagne et Verdun || Remembrance || Le clairon de mon grand-père || Memorabilia || Clairon de mon grand-père, il a sonné l'armistice avec en Champagne. Les différentes campagnes sont inscrites sur le côté du clairon. || Jean Peries
Pierre BERNIER | un territorial au front
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Photographie de Pierre Bernier, sergent au 72e RIT, 1915. 10 photographies extraites de l’album de Pierre Bernier, vers 1916. 10 correspondances sur cartes postales de Pierre Bernier à son épouse et à ses enfants en 1914, 1915 et 1917. Gobelet gravé au nom de son épouse Marie, 1916. || Pierre Bernier est né le 15 octobre 1877 à Beaulieu-sur-Layon (Maine-et-Loire). Il effectue son service militaire au 131ème régiment d’infanterie en novembre 1898 et est libéré avec le grade de sergent en septembre 1901. A la déclaration de guerre d’août 1914, il quitte sa ferme de Beaulieu et rejoint le 72e régiment territorial d’infanterie de Cholet qui part le 11 août pour le camp retranché de Paris. En 1915, le régiment stationne dans la Somme et l’Oise, en 1916, il opère dans le secteur de Verdun et l’Aisne. En novembre 1917, Pierre Bernier quitte le 72e RIT pour le 40e RIT qui est affecté à la garde de gares dans la région de Saint-Dizier. Il est démobilisé le 7 janvier 1919.