FRAD-048-033 Un sergent du 52e RI
Marcel Séverac, né en 1892 à Robiac dans le Gard, appartient à la classe 1912 : à la mobilisation, il est versé en tant que sergent au 52e régiment d'infanterie. IL est gazé lors de la bataille de Verdun.
Citation de Marcel Séverac à l'ordre du 52e RI
Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental
Guerre mondiale (1914-1918) -- Guerre de tranchées
Official document
Guerre mondiale (1914-1918) -- Histoire des unités
On remarquera qu'il porte la fourragère du régiment.
Photograph
Front
Recruitment and Conscription
Marcel Séverac, sergent au 52e RI
Guerre mondiale (1914-1918) -- Aspect social
Jean et Marcel pensant à leur père
Guerre mondiale (1914-1918) -- Femmes
Souvenir du 14 juillet 1917. Retour au front
Guerre mondiale (1914-1918) -- Transport
Marcel Séverac avec son escouade (?)
Gas Warfare
44.167109,4.1603020000000015
Attestation du sous-lieutenant Emile Chauzal
CONTRIBUTOR
Monsieur SEVERAC
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
6
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD-048- 023 Une guerre des plumes
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Quelques cartes sont adressées à une cousine du contributeur (?), Mme Bazaine, présidente de l'Union des Françaises Protestantes à Genève. Il y a par ailleurs une intéressante collection de caricatures et de dessins humoristiques ou de propagande. || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Caricatures et dessins humoristiques || Pas de parade ! || Guerre mondiale (1914-1918) -- Atrocités || Une caricature faisant référence aux atrocités allemandes. || || Faire-part de l'Empire allemand || Front || || Front || Photograph || Guerre mondiale (1914-1918) -- Réfugiés || Refugees || 46.1983922,6.142296100000067 || Evacués français à Genève
Louis TROVASLET | un soldat du 135ème RI
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Photographie de Louis Trovaslet en uniforme et de son épouse Marie, 1915. Photographie de Marie Trovaslet, ouvrière chez Bessonneau en tenue de travail, 1915. 4 carnets de guerre de Louis Trovaslet du 2 août 1914 au 15 mars 1919. Carte du combattant n° 1546 de Louis Trovaslet, 1934. Carte d’adhésion à la Fédération Nationale des Anciens Combattants, 1935. || Louis Trovaslet est né le 24 août 1884 à Vergonnes (Maine-et-Loire). De novembre 1904 à juillet 1907, il effectue son service militaire au 151ème régiment d’infanterie. Il exerce la profession de typographe à Angers. A la déclaration de guerre d’août 1914, il est rappelé et rejoint le 135ème RI au front le 27 août à Novion-Porcien (Ardennes). Il est blessé par éclat d’obus au visage le 9 septembre à la Fère-Champenoise, ferme Sainte-Sophie. Évacué à Tulle, il est finalement soigné à Angers et retrouve le 6 janvier 1915 le 135ème RI qui combat dans les tranchées des Flandres à Ypres. Louis Trovaslet est de tous les combats de son régiment. Il est nommé caporal-fourrier le 14 mai 1917. Il est blessé et cité pour la seconde fois le 21 juin 1918 « a toujours donné au cours de sa longue présence au régiment l’exemple du devoir. Pendant les combats du 11 juin 1918 à Méry (Oise), s’est crânement porté à l’attaque, a été blessé alors qu’il communiquait les ordres de son commandant de compagnie sous un violent tir de barrage ». Il est évacué sur l’ambulance 2/152 à Maignelay (Oise). Sa blessure à la main est soignée à Tours par mécanothérapie. Début novembre 1918, il rejoint sa compagnie à Hannapes (Aisne) près de Saint-Quentin alors que le régiment s’apprête à poursuivre les troupes allemandes en retraite. Le 11 novembre, il note dans son journal de guerre « Grand-Bois, cessation des hostilités, pipe de satisfaction dans le pré près du moulin ». Il est démobilisé le 17 mars 1919 et retrouve son épouse Marie, ouvrière d’usine chez Bessonneau qui durant toute la guerre a travaillé pour la Défense nationale.
Louis MICHELET | un soldat du 125ème RI blessé cinq fois.
1 Item
Louis Michelet est né le 11 mai 1889 à Cossé d’Anjou (Maine-et-Loire). Il est boulanger à Chemillé (Maine-et-Loire) lorsqu’il est appelé au service militaire au 125ème régiment d’infanterie de Poitiers d’octobre 1910 à septembre 1912. En août 1914, il est mobilisé au 125ème RI et fait toutes les campagnes du régiment. Il est blessé cinq fois : le 24 octobre 1914 à Poelcapelle (Belgique), blessure au genou droit par éclats d’obus ; le 26 octobre 1915 à Bully-les-Mines (Pas-de-Calais), blessure au front par éclat d’obus ; le 28 novembre 1916 évacué pour pieds gelés à Morval (Somme) ; commotion par éclatement d’obus et plaie au crâne le 14 mai 1918 à Grivesnes (Somme) ; intoxiqué le 10 septembre 1918 à Artemps (Aisne). Il est cité à l’ordre du régiment le 7 novembre 1916 : « brave soldat d’un moral élevé malgré la douleur d’une blessure accidentelle a gardé son poste de combat et a suivi ses camarades à l’attaque du 1er novembre 1916 ». Après plus de 4 ans de guerre et avoir plusieurs fois frôlé la mort, il est démobilisé le 28 juillet 1919. || Photographie d’un groupe de soldats du 125ème RI, 1915. Correspondance familiale du 30 décembre 1914 au 10 juin 1918.