Couverture du journal de Maurice Gandois.
Journal de 53 pages, rédigé par Adolphe-Maurice Gandois, du jour de son départ en 1915, au jour de sa blessure par éclat d'obus, en octobre 1916. Il y relate le quotidien d'un combattant au front. Conditions auxquelles tout soldat doit s'adapter: le froid, la pluie, la nourriture, le couchage, le bruit, les obus, la peur, les blessures, la mort, mais aussi, les petits moments d'éclaircie, lorsque les civils vous ouvrent leur porte et vous réconfortent en vous offrant du bon vin, accompagné par le sourire des deux filles Choumard jolies brunes de la famille d'accueil!
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Haute-Vienne
1
DATE
1915 - 1916-10
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Page du journal de Maurice Gandois.
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Journal de Maurice Gandois, dans lequel il raconte le quotidien de la vie dans les tranchées et ici, le moyen technique de se réchauffer les pieds, lorsque les soldats, couchés sur une paillasse de paille, jouent avec les couvertures, afin de trouver la meilleures solution à leur de froid.
FRAD087_073. Le journal d'Adolphe Maurice Gandois.
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Adolphe-Maurice Gandois est né le 21 juillet 1897 à Peyrilhac (Haute-Vienne). De la classe 1917, il se présente comme engagé volontaire pour la durée de la guerre, à la mairie de Limoges, le 4 mars 1915. Maurice (nom d'usage) est à ce moment là garçon de salle. Il intègre le 52e Régiment d'artillerie comme soldat de 2ème classe. Le 13 septembre 1915, il est canonnier conducteur puis passe au 101 Régiment d'artillerie le 17 décembre 1915. Le 26 octobre 1916, il est évacué pour une blessure par éclat d'obus à l'avant bras gauche à Soyécourt (Somme), lors d'une reconnaissance de position de batterie. Il fait preuve à ce moment là, d'un calme exemplaire. Il est alors reconnu comme jeune brigadier d'un dévouement absolu et d'un courage remarquable. Suite à ses blessures, et à la gêne que cela occasionne, la commission de réforme réunie à Angoulême le 6 mai 1918, l'enverra au 313e Régiment d'Artillerie. Il est nommé maréchal des Logis fourrier, le 27 février 1919 et est démobilisé le 16 septembre 1919. Il recevra la Croix de guerre, un diplôme d'honneur et la médaille de bronze, offerts par le Ministre de la Guerre. Adolphe-Maurice Gandois a tenu un journal de 53 pages, du jour de son départ en 1915, au jour de sa blessure par éclat d'obus, en octobre 1916. Il y relate le quotidien d'un combattant au front. Conditions auxquelles tout soldat doit s'adapter: le froid, la pluie, la nourriture, le couchage, le bruit, les obus, la peur, les blessures, la mort, mais aussi, les petits moments d'éclaircie, lorsque les civils vous ouvrent leur porte et vous réconfortent en vous offrant du bon vin, accompagné par le sourire d'Angèle et Marthe, les deux filles jolies brunes, de Monsieur Choumard, marchand de vin! || Journal de Maurice Gandois relatant les évènements qu'il a vécus, de son départ de Chasseneuil (Charente) au front.
Maurice Gandois raconte les circonstances de sa blessure.
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Journal tenu par Maurice Gandois, du jour de son départ de Chasseneuil (Charente), jusqu'à sa blessure en octobre 1916 à Soyécourt (Somme). Maurice Gandois relate les conditions de vie et de combats dans les tranchées, au fil des mouvements de troupes. Ici, il s'agit de l'éclat d'obus qui l'a blessé au bras gauche.