BERNARD
Photographie de soldats du 24ème, non datée : il s'agit soit de soldats du 24ème Bataillon de chasseurs à Pied (casernement à Villefranche), de la 29ème Division d'Infanterie de NICE 15ème Corps d'Armée; soit du 24ème R.I. On distingue sur la manche gauche de certains hommes un insigne en forme de lyre ou de métronome, j'ignore si cela a un rapport avec la musique, mais on pourrait s'y tromper! Portrait de Monsieur BERNARD: c'est un soldat du 92ème R.I. (Clermont-Ferrand) de la 26ème Division d'Infanterie. Là encore, je n'ai pas pu dater la photo; il se peut qu'elle ait été prise avant la Guerre de 1914.
CONTRIBUTOR
Ribes Magali
DATE
1900 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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BERNARD
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Photographie non datée: Soldats du 24ème R.I. ou bien du Bataillon de Chasseurs à pied (casernement à Villafranche), de la29ème Division d'Infanterie de Nice??
Jean Bernard
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Une photo de mon grand-père Jean BERNARD né le 10 février 1889 à Chambon sur Voueize (23) décédé le 29 avril 1936 à Courbevoie. Il a été soldat durant la Grande Guerre, dans la Cavalerie me semble-t-il. || Un photographie en soldat et sa dernière carte de combattant délivrée le 20 mai 1936 par le Comité départemental de la Seine
FRAD083_028_Alexis Bernard
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Gustave fabre est né le 21 mars 1882 au Val. Il travaille dans le négoce en bestiaux de son père. Sensible à la musique, il participe à la fanfare du Val. Il combat sur le front occidental (notamment en Belgique et dans l'Oise). Il est blessé en mars 1915 et évacué dans un hôpital de l'arrière, à Compiègne puis à Deauville et Trouville, où il participe à l'animation musicale. En 1916, il obtient une relève en Indochine, où il participe activement à la musique tandis que son activité militaire est réduite. Il décédera d'une maladie en Indochine le 17 juin 1918. Tout au long de la guerre, sur le front occidental puis dans les colonies, il ne cesse d'écrire à son épouse Marceline Luquet (1200 lettres environ), épousée en 1913. || La personne s'est présentée avec un trieur contenant les 1200 lettres constituant la correspondance de Gustave Fabre avec sa famille et surtout son épouse Marceline Luquet (1913-1918).