Front || Le portrait de Raymond Granboulan en uniforme, deux médailles sont épinglées sur sa poitrine, il est coiffé d'un Képi militaire. Cette photo est fixée sur un carton souple qui encadre le portrait. Dans l'angle gauche on peut lire au crayon papier 1916

C'est l'histoire de notre grand-oncle. Frère aîné de notre grand-mère maternelle, Marie Granboulan. Fils d'instituteur à Toulouse, il a fait ses études militaire à Saint-Cyr. Il était capitaine en 1914. Il avait trois enfants avant de partir à la guerre et un dernier est né après la guerre. Il a terminé sa carrière comme général des Armées. || 1- 1 carte postale : GUERRE 1914 - Soldat traversant l'Yser en éclaireur. Courrier envoyé par le capitaine Granboulan à sa famille le 28 janvier 1915. 2- 1 portrait de Raymond Granboulan en uniforme, deux médailles sont épinglées à son uniforme, il est coiffé d'un képi militaire. 3- 1 photographie de Raymond Granboulan qui pose debout. Il est habillé d'une veste d'uniforme avec des galons aux manches, une paire de gants dans sa main droite. Un pantalon de velours côtelé rentré dans des guêtres en cuir. L'arrière plan est un décor de studio photo représentant les premières marches d'un escalier dans un parc. Une dédicace à sa soeur dans le coin en bas à droite, datée du 23 janvier 1915. 4- 1 photographie sous forme de carte postale envoyée à sa soeur en 1914, Raymond Granboulan avec ses zouaves. 5- 1 photographie sous forme de carte postale, prise à l'école de Villariès(Haute-Garonne). L'épouse et les enfants de Raymond Granboulan chez sa soeur Marie Granboulan, institutrice, elle-même représentée avec ses enfants. 6- 2 lettres de Raymond Granboulan adressées à son épouse et à ses enfants. L'une manuscrite sur papier à lettre datée du 15 novembre 1914, l'autre sur page de cahier d'école datée du 13 décembre 1914. Ces courriers relatent des souvenirs vécus par Raymond Granboulan en particulier une attaque le 11 novembre 1914, une autre sur la rive gauche de l'Yser en décembre 1914.

Photo de la famille BOUËT : debout de gauche à droite : Valentine, Olga et Simone BOUËT assis : Eugénie PESAS et Ernest BOUËT