Mon grand-père | Louis Chanteloube | reprise d'un poème de Victor-Hugo
Reprise d'un poème de Victor Hugo extrait de La légende des Siècles. Ce poème exprime la mécontentement des anciens combattants vis à vis de la déconsidération dont ils faisaient l'objet. Ce poème a été écrit et dédicacé par L. Girard, compagnon d'arme de Louis Chanteloube : A mon camarade de combat, à mon ami Chanteloube qui a prouvé sur les champs de bataille ce qu'il était. En toute confraternité d'armes.
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Archives départementales de la Haute-Loire
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fra
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1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
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Mon grand-père | Louis Chanteloube | briquet à amadou
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Le briquet à mèche d'amadou, également appelé briquet des poilus, ne requière ni essence, ni gaz. Son fonctionnement est simple : un système de pierre à silex (intégrée au briquet) permet d’allumer la mèche qui a été trempée dans du salpêtre, du chromate de plomb ou de l'oxyde de manganèse. Il suffit ensuite de souffler légèrement sur cette dernière pour l’activer. Un capuchon (manquant à celui-ci) appliqué sur le bout de la mèche permettait d'éteindre l'incandescence. Ce briquet permettait au soldat de ne pas être repéré par l'ennemi lors de son allumage.
Mon grand-père | Louis Chanteloube | recette culinaire et fiscale
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Pastiche d'une recette de cuisine intitulée Le soufflet aux cheveux blancs manifestant le désintérêt général existant à cette époque vis à vis de la situation des anciens combattants de la Première Guerre mondiale. Ce poème a été écrit par un ancien compagnon d'arme de Louis Chanteloube, Léo Bachelet. En 1948, lors du congrès de l'Union fédérale des Anciens Combattants, nait un désaccord entre le le ministre des Anciens Combattants, François Mitterand, et les membres de l'Union au sujet de l'attribution de la carte du combattant. Trois ans plus tard, Antoine Pinay déclare que des pensions d'anciens combattants sont attribuées à des gens dont le luxe est parfois insolent. En 1954, le décret-loi Laniel supprime la retraite du combattant jusqu'à 65 ans. Le discrédit des anciens combattants se poursuit au cours des années suivantes et atteint son paroxysme en 1958 lorsque le Général de Gaulle, par son ordonnance du 30 décembre 1958, tente de supprimer le ministère des Anciens combattants. La réaction est immédiate : 100.000 manifestants descendent dans les rues parisiennes et la décision est prise de ne plus participer aux cérémonies officielles. Malgré le rétablissement en 1961 de la retraite à 65 ans pour les combattants de 1914-1918, les liens unissant le Général de Gaulle et le monde ancien combattant seront distendus pour de nombreuses années.
Mon grand-père paternel | Louis MEUNIER.
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Photographie de mon grand-père paternel, Louis MEUNIER.