FRBNFM-028 Partis à deux | revenu seul
L'histoire de deux frères, Antoine Durand et Marc Durand, racontée au travers de deux photographies. Marc et Antoine ont été mobilisés dans le même régiment, le 64e régiment territorial d'infanterie basé dans le Jura. Peu avant la permission de Marc en août 1917, Antoine lui confie un objet personnel à remettre à sa femme Cécile car il a un mauvais pressentiment.
Marc fut tué par un éclat d'obus reçu le 22 août 1917 pendant la permission d'Antoine.
Les deux frères étaient très proches et se soutenaient l'un l'autre pendant les moments difficiles.
Ils avaient épousé les deux soeurs Besson.
deux photographies
CONTRIBUTOR
Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand 1
DATE
-
LANGUAGE
fra
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1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Nous partimes trois | un seul revint.
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Citation à l'ordre de l'infanterie Médaille de la Victoire Médaille du combattant Carte de combattant Cartes postales avec photos des trois frères Louis Barthélémy, Camille et Alfred Tessier Correspondances diverses Carte de correspondance du camp de prisonniers de Darmstadt Cartes postales des bombardements près de Nancy || Ce titre est l'exacte citation que mon père, Louis Barthélémy TESSIER répétait souvent au cours des discussions familiales sur cette guerre qui l'avait tant marquée. Lui, en était revenu, après avoir souffert en première ligne sur le front de l'est. Ses deux frères Camille et Alfred eux, avaient rejoint le cortège funèbre des sacrifiés de cette boucherie ignoble dont les survivants avaient juré que ce serait la der des der. Louis Barthélémy s'est battu a Verdun, blessé, il fut rapatrié à l'arrière à Saint Dizier en janvier 1915 puis envoyé au sanatorium de Lay Saint Christophe près de Nancy en juillet 1915. Il se battit au Chemin des Dames et fit preuve d'héroïsme en transmettant des ordres sous un déluge de fer et de feu. Pour celà il fut cité à l'ordre de l'Infanterie Divisionnaire pour sa bravoure et son mépris du danger.
FRAD087_079. Léon Chénieux et ses frères sont partis à la guerre.
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La famille Chénieux réside au Planchon sur la commune de Balledent (Haute-Vienne). Léonard et Marie Lefort, cultivateurs ont trois fils, Léon (1888), Henri (1890), Gustave (1895) ainsi qu'une fille, Marie (Lydie) (1886). Léon, forgeron et maréchal ferrant de profession, est marié et père d'une fillette née en 1913 (mère de M. Chasseneuil, déposant). Mobilisé le 3 août 1914, il part aux armées le 13. Il intègre le 52e Régiment d'artillerie puis le 221e d'artillerie en 1917. Léon sera démobilisé le 2 mars 1919. || Photos, livret militaire, fascicule de mobilisation, livret sur le 221e Régiment d'Artillerie de campagne, carnet d'adresse de ses frères d'armes, cartes postales et portraits de ses frères d'armes, et nombreux objets (galon de maréchal ferrant, médaillon de mobilisation, plaque de coffre de cantine, trousse d'artificier en cuir, cartouchière, douille d'obus ciselée, sabot de cheval (encrier), couteau à cran d'arrêt en aluminium, encrier, clefs pour dévisser les obus, visière en laiton).
Quatre ans pour la Patrie! mais revenu vivant !
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Mon père Joseph LEBRE ,jeune agriculteur de 19ans ,au mas de Beaume, Estourel de la commune de Rosières en Ardèche, est parti appelé sous les drapeaux le 9 avril 1915; affecté dans les chasseurs alpins pour des manoeuvres de formation,il a été ensuite au front dans la Somme. Le 3 octobre 1916 parti en patrouille de reconnaissance il a pris des éclats d'obus dans la tête,après un convalescence, il a eu une permission de 15 jours en Ardèche. Reparti au front il sera fait prisonnier par les Allemands 3 juin 1917 Crâonne à trois heure du matin après un bombardement qui a duré 2 jours;cinquante soldats du 24 BCA seront fait prisonniers ,ils n'avaient pas été relevés en ligne depuis 10 jours et un nuit! Après des conditions difficiles de prisonniers (sous alimentation, travaux pénibles, il sera affecté en Westphalie,ou des prisonniers de toutes nations sont là: Français,Anglais,Russes,Belges,Roumains,Portugais,Sénégalais,Marocains ainsi que toues les troupes d'Afrique.... Il sera après,affecté au camp de Klein Witenberg(Saxe)ou il fallait travailler dur en n'étant pas très bien nourris.La seule consolation sont le courrier et les colis(parfois ouverts,interceptés ,reçus non complets ou tardivement ) de la famille.Il gardera le moral en écrivant son vécu jours après jours,en sculptant des petits objets(bagues en aluminium ect.. Il ne sera libéré que le 15 janvier 1919 ou il retrouve sa famille au mas de Beaume || Livret militaire ,correspondance,carnet de captivité et notes de prisonnier,carnet de chansons de captivité,photos en tenue militaire || || Mon père Joseph Lèbre || Joseph Lèbre || Photograph