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002 Photo d'autopsie d'un cheval par Lucien Balozet

Photo d'autopsie d'un cheval par Lucien Balozet

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Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand 1

DATE

1916-02

LANGUAGE

fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC
Photograph

Contributor

europeana19141918:agent/e990cf23f4cc1513255a31224e66dd67

Date

1916-02

Type

Photograph

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1916-02

End

1916-02

Language

mul

Agent

Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand 1 | europeana19141918:agent/e990cf23f4cc1513255a31224e66dd67

Medium

Photographic paper

Created

2019-09-11T08:24:50.713Z
2020-02-25T08:21:58.575Z
2013-11-16 16:15:50 UTC

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_9605_attachments_89366

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001 Photo de Lucien Balozet | grand-oncle de Monique Lancel

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Photo de Lucien Balozet (grand-oncle de Monique Lancel) en uniforme

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FRBNFM-296 Histoire de Lucien Balozet | grand-oncle de Monique Lancel

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Le Docteur Lucien Balozet (Saint-Etienne 1892, Marseille 1972), grand-oncle de Monique Lancel, était en fin d'études de vétérinaire militaire en 1914. Tout d'abord combattant dans les tranchées à Verdun, il fut ensuite affecté en tant que vétérinaire à l'armée d'Orient, l’une de ses missions étant l'achat de chevaux et de mulets pour l'armée. Envoyé à Salonique en 1917, il dut explorer toute la région, en particulier les îles grecques. Les ravages du paludisme - dont il a lui-même été atteint - ont peut-être été à l'origine de sa future carrière de biologiste. Affecté au Maroc après la guerre, puis devenu chef de laboratoire au service de l'élevage du gouvernement chérifien, il a rejoint l'Institut Pasteur de Tunis en 1931. Futur beau-frère d'Etienne Mollier - qui est l'inventeur, en 1910, du premier appareil photographique au format 35 mm (18x24), le cent vues et fabricant d'appareils -, Lucien Balozet est parti en Orient bien équipé pour photographier. || Une photo d'autopsie de cheval

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FRAD043_005 Lucien Flouvat | soldat inconnu | et Jean-Pierre Bay | sauvé par son cheval

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Lucien Flouvat, caporal téléphoniste au 321° régiment d'infanterie, était le beau-frère de la grand-mère maternelle de Mme Françoise Chassaing, qui apporte ce témoignage. Lucien Flouvat, dont la famille était originaire d'Allègre, département de la Haute-Loire, a disparu dans les derniers instants de la guerre, le 29 mars 1918, à Villers-aux-Erables dans le département de la Somme. Il était l'époux de Mme Noémie Flouvat. Cette dernière avait deux sœurs, Hortense et Francine, grand-mère de Mme Françoise Chassaing. Ces trois soeurs tenaient un commerce (vins, charbons, tabacs) rue de Belleville à Paris. Surnommées les galettes, très commerçantes, ayant débutées dans la coiffure sur les marchés, elles vendaient du tissus et étaient couturières à Allègre. Une plaque commémore la mémoire de Lucien Flouvat sur la tombe familiale au cimetière d'Allègre. Lucien Flouvat a également été affecté au 101° régiment d'infanterie territoriale. Des cartes postales de sa main indiquent qu'il a aussi séjourné sur la Côte d'Azur et à Calais sur la Manche. Après sa mobilisation en 1914, il a rejoint son affectation passant par Clermont-Ferrand et Moulins. Un séjour à Belfort est probable tel qu'en atteste une carte postale représentant le Lion de Belfort. Il a été décoré de la Croix de guerre avec deux citations. Le souvenir de Lucien Flouvat a perduré au sein de la famille tout au long du vingtième siècle et encore aujourd'hui. Mme Odette Chassaing, mère de Françoise, évoque régulièrement Lucien Flouvat, petit caporal disparu. Agée de 89 ans, elle pense que peut-être c'est Lucien qui repose sous l'Arc-de Triomphe à Paris ... Le second récit de Mme Chassaing porte sur son arrière-grand-père, Jean-Pierre Bay. Mobilisé en février 1916 et affecté dans un régiment d'artillerie, probablement par son métier de bourrelier dont il fut l’un des derniers représentant dans le département de la Haute-Loire. Il a combattu en Alsace en tant que vaguemestre. Il racontait l'histoire d'un de ses chevaux à l'armée dénommé Damné. Ce cheval particulièrement intuitif lui aurait sauvé la vie plus d'une fois, capable d'esquiver les dangers. Il aurait souhaité pouvoir le garder et l'emmener avec lui une fois la paix revenue. Il est décédé le jour de l'entrée en vigueur du Nouveau Franc. Ce passage à la nouvelle parité du franc l'angoissait beaucoup. || Photographie en noir et blanc, vue d'un groupe de soldats du 101° régiment d'infanterie territoriale. Une croix désigne Lucien Flouvat,au deuxième rang, le second debout en partant de la gauche. Carte postale, texte au verso redigé par Lucien Flouvat, montrant l'entrée d'une tranchée menant aux lignes allemandes dans la région de Soissons. Lettre de la main de Lucien Flouvat, datée du 20 mars 1918, soit neuf jours avant sa disparition. Faire-part de décès du caporal Lucien Flouvat, témoignages d'un de ses camarade de combats. Bracelet d'identification de Jean-Pierre Bay.

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