Deux portraits du soldat Georges FOURNIER (dont un réalisé dans un hôpital) et une photo-carte où il est accompagné de sa femme, Jeanne LABRUT. Ni les renseignements fournis par les contributeurs, ni les recherches ultérieures effectuées par le service des Archives départementales n'ont permis d'établir le parcours de ce soldat pendant la Première Guerre mondiale.

Carte du combattant. Une photographie de groupe sans identification. Deux cartes postales. || Instituteur, fils d'Hyppolite CHASSAGNETTE et Marie TIXIER. Recruté à Riom (département du Puy-de-Dôme, France), classe 1918, matricule 1041. Arrivé au 92e régiment d'infanterie le 18/04/1917. Passé au 139e régiment d'infanterie jusqu'au 17/10/1917 puis au 92e régiment d'infanterie jusqu'au 29/05/1920. Soldat de 1ère classe en septembre 1917, caporal en décembre 1918, caporal-fourrier en septembre 1919 et sergent en novembre 1919. Renvoyé dans ses foyers le 12/05/1920 en attendant son passage dans la reserve de l'armée active qui aura lieu le 15/06/1920.

Photographie de Georges Briffaz, distinction grecque, photographies et courriers adressés à ses parents. || Fils de Julien BRIFFAZ et Antoinette GUYONNET. Grand-père du déposant. Classe 1916, engagé volontaire à 18 ans, affecté au train des équipages comme brigadier mécanicien. Passe au 66e régiment d'artillerie, section Auto-Canon. Campagne de Verdun (département de la Meuse, France) puis Salonique (Grèce).