Nouvelles de
Carte postale illustration carte sonnet Nos Bagues d’André SORIAC
avec au verso partie correspondance
Jules Devincey envoie une carte à sa voisine Mathilde pour lui donner de ses nouvelles : Voila 48 jours qu'on a vu des civils ...hier nous avons fêté le 14 juillet, nous avons eu cigarettes cigares champagne une bouteille pour 4 ...
CONTRIBUTOR
Bertin
DATE
1916
LANGUAGE
fra
ITEMS
2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD008_20 Nouvelles de captivité en Allemagne
3 Items
Mon adresse en Allemagne Lettre à ma famille Objet fabriqué en captivité || Je me nomme Auguste Elisée Renneville. Né à Hargnies (Ardennes) en 1890, je me suis marié en 1923 avec Jeanne Dupont, originaire de Haybes (Ardennes) et nous avons eu cinq enfants. Enterré depuis 1982 dans le petit cimetière des Hauts-Buttés (Ardennes), je reçois régulièrement la visite de mes enfants et petits-enfants qui ne m'oublient pas. Moi non plus, je n'ai pas oublié le 3 août 1914 et mon départ pour le 148e régiment d'infanterie à Givet. Je n'ai pas oublié la mort au combat de mon frère Paulin, le 13 septembre 1914 dans la Marne. Quant à moi, je me retrouve prisonnier en Allemagne durant toute la guerre. Quatre années passées dans plusieurs camps dont Sennelager, Neunkirchen et Lahn. Mon seul véritable lien reste le courrier envoyé régulièrement à ma mère et à ma sœur qui doivent assumer, sans moi et dans des conditions difficiles (zone occupée, hivers très rigoureux), les travaux quotidiens de la ferme. Je travaille dur, mais ne veux surtout pas qu'elles s'inquiètent, je leur envoie des nouvelles plutôt rassurantes sur mon état de santé et n'évoque que brièvement mes conditions de détention. De longues années à attendre... des nouvelles de ma famille et toujours l'espoir de revoir mon pays, ma patrie, mes amis. Avec pour seul bagage de retour, un cadre en bois réalisé en captivité. || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Prisonniers et prisons || Guerre mondiale (1914-1918)
FRAD018_008 Sans nouvelles de l'ami LOISEAU
3 Items
Une lettre || Le 3 octobre 1918, alors que le soir même il monte en ligne au Chemin des Dames, Gaston PRIDALU écrit à Mr et Mme LOISEAU. Voila plus d'un mois qu'il est sans nouvelles de son ami Raymond et il s'en inquiète. Il est admirable que cet homme qui va bientôt affronter la fureur du champ de bataille s'interroge sur le sort d'un ami. Et par ailleurs, nonobstant cette inquiétude, comme souvent, le ton se veut rassurant, car pour lui la santé «va toujours très bien». Cette lettre a été trouvée par le contributeur dans une boîte en fer, à Nouhan-le-Fuselier (Loir-et-Cher). Sur le site mémoire des homme est mentionné un Raymond LOISEAU, natif d'Eure-et-Loire et tué à l'ennemi le 2 septembre 1918, dans l'Aisne. Est-ce l'ami dont Gaston PRIDALU cherche à avoir des nouvelles ? || || Lettre, première page || Letter || || Lettre, deuxième page || Letter || || Lettre, troisième page || Letter