FRAD033-096-02 Histoire de Pierre Clostre
Carte adressée au cousin et à la cousine de Pierre Clostre (1917).
Carte postale (1917).
Carte lettre et retranscription tapée (1918).
Pierre Clostre, né en Gironde en 1898, est garçon coiffeur à Peujard. Il signe parfois du prénom de Robert.
Mobilisé à 16 ans, il écrit une lettre à sa cousine dans laquelle il évoque sa conviction d'en revenir ; il est tué un mois et demi plus tard, le 30 juin 1918. Son corps n'est jamais retrouvé.
Sans succès, sa mère a mené des recherches. Il apparaît sur le monument aux morts de Peujard.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Gironde
DATE
1917-08-01 - 1918-06-30
LANGUAGE
fra
ITEMS
5
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
FRAD033-002-02 Histoire de Pierre Nazereau
9 Items
Né le 12 mars 1880 à Saint-Gervais (Gironde), Pierre Nazereau, connu sous le nom de Maxime, soldat dans la Coloniale, est mobilisé dès 1914. Blessé le 7 octobre 1915, il est démobilisé en 1919. Durant la guerre, il écrit à sa femme, Amélie Nazereau, qui le rejoint lors de ses permissions, à Fréjus et à Paris, et s'occupe de la ferme pendant qu'il est sur le front. || Livret militaire. Sauf-conduit. Correspondance, cartes postales.
FRAD033-096-01 Histoire de Jean-Marcel Jeantet
4 Items
Agendas : 1914 annoté par Jean-Marcel Jeantet ; 1915 annoté par Jean-Marcel Jeantet ; documents volants : note de restaurant, coupure de journal concernant les permissions agricoles, permission de journée 1915, coupon de remerciements manuscrit (combattants présents sur le front en même temps que Jean-Marcel Jeantet), ticket de train du jour de sa permission ; 1916 : description des journées au front dans la Somme et adresse des combattants présents au front en même temps que Jean-Marcel Jeantet ; 1917 : description du front , correspondance de Jean-Marcel Jeantet à sa femme et son fils, plan découpé dans un journal ; 1918. Livret militaire. Fascicule de mobilisation (service militaire) et documents annexes dont correspondance. Correspondance personnelle dont le thème principal concerne les démarches entreprises pour sa réforme (1917-1919) et documents ayant trait au permissions de convalescence ou agricoles. Cartes photographies : Jean-Marcel Jeantet premier assis en partant de la gauche ; premier en haut à gauche (août 1914) ; durant une permission (1914). Certificat pour détachement temporaire aux travaux agricoles (1918). || Jean-Marcel Jeantet est propriétaire agriculteur à Saint-Laurent-d'Arce, en Gironde. Il fait son service militaire comme artilleur à Tarbes (1899-1902). Mobilisé en 1914 à 36 ans dans le 58e régiment d'artillerie, il reste à Bordeaux jusqu'en septembre 1915, où il rejoint le front dans la Somme à Argicourt. Sur un agenda il décrit notamment la construction de casemates et abris (dessins des boyaux et abris où il se trouve). Des plombs ont été conservés par le combattant dans du papier journal dans l'agenda 1915 ; un bout de lacet dans l'agenda de 1916. En 1917 il est muté sur le front de la Marne à Moronvillers. Il est blessé à la tête lors d'un bombardement le 31 mai 1917 et cité à l'ordre du régiment pour fait d'armes. Il est transféré au front de Verdun dans la Meuse où il est blessé gravement au pied le 26 septembre 1917 à Mort-Homme. Il est transféré à l'hôpital de Roanne puis à Marseille et Toulon. Il reste durant toute la fin de la guerre à Toulon avec des allers-retours de permission sans être réformé malgré sa blessure et les demandes régulières de son épouse. Il demeurera à l'hôpital jusqu'en février 1919. Une lettre d'un ami de Jean-Marcel Jeantet est accompagnée de fleurs séchées. Il décède à Bordeaux en 1925.
FRAD033-094 Histoire de Pierre Danflou
10 Items
Correspondance de Pierre Danflou à ses parents. Photographies. Documents divers : Une du journal Bordeaux-Midi (11 novembre 1918) ; tract allemand écrit en français porté par un avion allemand le 19 septembre 1918 au-dessus des lignes françaises dans le secteur d'Aubérive. || Né en 1897 à Bordeaux, Pierre Danflou fait ses études au lycée Saint-Joseph-de-Tivoli. Engagé dans l'artillerie à 17 ans, en 1914, il devient maréchal des logis. Parlant couramment l'anglais après quelques séjours passés en Grande-Bretagne avant guerre, il est interprète. Il se déplace à cheval ; lors d'une attaque, son cheval est tué par un éclat d'obus mais lui n'est pas blessé. Il prend part à la bataille de Verdun et du Chemin des Dames. Au cours du conflit, il obtient la croix de guerre, la médaille militaire et la médaille de Verdun. Il écrit tous les jours à sa famille ; sa mère lui envoie des colis de nourriture. Après la guerre, il travaille dans les assurances puis dans le négoce du vin. Il meurt le 14 juillet 1988.