Tailleur d'habits, fils de Martial AMEIL et Marie CHEBANIE. Mobilisé au 97e régiment territorial d'infanterie le 13/08/1914 (recrutement de Riom, département du Puy-de-Dôme, France, classe 1896, matricule 2017). Blessé le 23/06/1916 à Verdun (département de la Meuse, France) par éclat d'obus, hospitalisé à Troyes (département de l'Aube, France). Passé au 6e escadron de train des equipages militaires le 12/08/1918. Envoyé en congé de démobilisation le 31/09/1919 à Volvic (département du Puy-de-Dôme, France). Cité à l'ordre du régiment n°76 le 20/07/1916. A la fin de la guerre, est parti vivre à Etival-Clairefontaine (département des Vosges, France) en tant que tailleurs d'habits et s'est occupé des femmes et des enfants de ce village. || Un portrait et des photographies sans identification, une lettre adressée à sa femme, sa carte de membre de L'union amicale des mutilés et réformés de la guerre et sa carte de combattant.

Chaudronnier, fils de Gustave GAUTHIER et Elisa BOURILLAND. Engagé volontaire pour 3 ans à la mairie de Montluçon (département de l'Allier, France), le 30/09/1913, au titre du 121e régiment d'infanterie. Classe 1913, matricule 1102. Caporal le 19/09/1914, sergent le 23/10/1914. Evacué, blessé par éclat d'obus à Andechy (département de la Somme, France), le 07/09/1915. Passé au 176e régiment d'infanterie le 22/11/1915. En renfort en Orient avec le 84e régiment d'infanterie le 05/01/1916. Passé au 148e régiment d'infanterie le 31/01/1916. Malade le 11/11/1917 congestion pulmonaire, paludisme, en convalescence jusqu'au 16/02/1918. Mis en congé illimité le 26/11/1919. Médaille militaire, croix de guerre avec étoile de bronze. || Une photographie sans identification, un courrier d'Auguste GAUTHIER à sa famille et deux photographies de soldats non identifiés.

Carnet de poèmes signé du nom de jeune fille de sa mère Lambert. || Arrêté à Lille (département du Nord, France) le 31/07/1915, en captivité à Rheinbach (Allemagne) et libéré le 01/05/1916. Appartenait au réseau bruxellois d'Edith Cavell. Ni les renseignements fournis par le contributeur, ni les recherches ultérieures effectuées par le service des Archives départementales n'ont permis d'établir le parcours de ce soldat pendant la Première Guerre mondiale.