Transcribe

Louis Martin - Mémoire de guerre

Mémoire de 20 pages rédigé par Louis MARTIN durant tout le temps de sa mobilisation. Tous les mouvements de l'unité de Louis Martin sont parfaitement décrits.

Show More
 
 
 
 

CONTRIBUTOR

Bibliothèque municipale d'Angers 3

DATE

1915-04-10 - 1919-09-19

LANGUAGE

fra

ITEMS

11

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

Generating story statistics and calculating story completion status!

METADATA

Creator

europeana19141918:agent/78a306f9a2258439fe91893f0b6c4ce8

Source

Notebook
UGC

Contributor

europeana19141918:agent/f19d83d08963dc38a29543a868de9457

Date

1919-09-19
1915-04-10

Type

Diary

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1915-04-10

End

1919-09-19

Language

mul

Agent

Louis Martin | europeana19141918:agent/78a306f9a2258439fe91893f0b6c4ce8
Bibliothèque municipale d'Angers 3 | europeana19141918:agent/f19d83d08963dc38a29543a868de9457

Medium

Paper

Created

2019-09-11T08:30:46.145Z
2020-02-25T08:31:50.328Z
2013-11-15 10:25:49 UTC

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_8862_attachments_85945

Discover Similar Stories

 
 
 
 

Henri-Louis Cadot | Mémoire transmise

16 Items

C’est un simple carnet, noir, grand comme la main. De main en main, de père en fils, de fils en neveu, il reste préservé dans notre famille. Henri-Louis Cadot a tenu un Carnet de Route tout au long de son service militaire, de 1915 à 1919. D’abord on imagine ce carnet caché au fond d’une poche en des heures violentes, dans la boue, les gaz, la fureur. Son excellent état de conservation, l’écriture régulière et soignée qu’on y découvre laissent pourtant penser qu’il s’agit plutôt de la transcription de notes originales prises sur le terrain. Notes transcrites, notes simplifiées ? Ce qui frappe, c’est le caractère laconique du récit, sa sobriété. On reste toujours dans le factuel. Même à l’occasion du décès de ses camarades proches, Henri-Louis Cadot ne laisse rien deviner de ses états d’âme et de son moral. Le 25, Saulnier est tué. , Bergère de Quelaines est tué et enterré à Fromeréville, Fouassier est tué par un obus dans la nuit du 3 au 4 et enterré sur le bord de la route\n Ou alors, c’est en creux, en nous laissant le soin d’imaginer le reste et le non-dit. Calme, Sale coin, Bonne vie, Secteur très calme, On boit de l’eau du canal, Il gèle très fort et rien à manger. Crainte de mesures disciplinaires au cas où des remarques trop compromettantes auraient été saisies ? Stoïcisme délibéré pour surmonter les épreuves ? Censure postérieure au moment de la transcription car l’horreur et les traumatismes psychologiques étaient tels qu’on renonce à les transmettre ? Plusieurs journées consécutives sont fréquemment omises. On en déduirait trop hâtivement qu’il ne s’est rien passé. La consultation en parallèle du Journal des Marches et Opérations (JMO) du 143ème RI montre que ces périodes absentes du récit ont pu être consacrées à des entraînements de routine. Souvent, pourtant, elles étaient celles de violents affrontements, en Champagne, en Alsace, en Flandres, en Lorraine, dans l’Aisne et les Ardennes où le combattant épuisé avait bien autre chose à faire qu’à prendre des notes. Sans les révélations de ce JMO, on pourrait presque lire le Carnet de Route d’Henri-Louis Cadot comme le simple aide-mémoire des lieux traversés. Un itinéraire. C’est par là que nous sommes passés. Ce qui s’y est déroulé est trop dur à raconter, ça ne se dit pas, je n’avais pas le temps, je n’avais pas envie, vous ne pourriez pas comprendre. En parcourant ces pages de la mémoire familiale, nous ne pouvons que ressentir un immense respect et autant de tendresse pour ce petit agent de liaison de vingt ans ballotté dans la Grande Guerre par des choix qui le dépassent et dont il ignore probablement les enjeux. Entre deux combats, à Bray-Dunes, mon grand-père voit la mer et cueille des coquillages. Jean-François Cadot || Version intégrale numérisée du Carnet de Route laissé par mon grand-père paternel Henri-Louis Cadot du 143è RI. Photos de mon grand-père et documents militaires. || || Sur le front || Photograph || Henri Cadot || Henri Cadot sur le front || || Note manuscrite || Note manuscrite en faveur d'une citation à l'ordre du régiment || Letter || || Home Front || Mon grand-père, Henri Cadot, Citation à l'Ordre du Régiment || Official document || Citation à l'Ordre du Régiment || En campagne || || Henri Cadot au 143è RI || Portrait || Photograph || || Sablé-sur-Sarthe (72) || Photograph || Le 11/11/1975 et à ma demande, Henri Cadot, mon grand-père, a été décoré de la Médaille Militaire par M. Pierre Daguet, maire de Sablé-sur-Sarthe. || Décoration de Henri Cadot || Henri Cadot reçoit la Médaille Militaire

Go to:
 
 
 
 

FRAD078-63_01 Mémoire de guerre de Marius Avisse

1 Item

Mon beau-père, Marius Avisse, a transmis ses documents à ses enfants de son vivant. Il a participé à la bataille de Verdun au moment de ses 20 ans : il est resté traumatisé de voir ses copains perdre la vie si jeunes. Un jour, il s'est retrouvé dans une tranchée face à un Allemand, celui-ci lui a montré une photo de sa famille et lui a demandé de décamper en lui donnant un coup de pied au derrière. Les prises et reprises du fort de Vaux l’ont particulièrement marqué : les soldats allemands faisant une haie d’honneur aux soldats français faits prisonniers. Mon beau-père était engagé combattant au 101e régiment d’infanterie puis au 1er régiment d’infanterie des Zouaves. Il a rédigé ses mémoires de guerre en 1971. || Photographie noir et blanc collée dans un document dactylographié

Go to:
 
 
 
 

Louis Martin - Certificat de bonne conduite

1 Item

Certificat encadré sous verre qui a été remis par le colonel Fourmet à Louis Martin le 10 septembre 1919 à Nancy || Front

Go to: