Pendant la Grande guerre le grand-père de monsieur X était général de cavalerie et sa grand-mère avait fondé un hôpital miltaire bénévole de physiothérapie à Sémeac dans la banlieue de Tarbes. Dans la maison familiale qui était devenue maison de vacances les enfants pouvaient jouer avec les affaires de leur grand-père : ils mettaient ses grandes bottes ou jouaient à tirer les ficelles de la marionnette du soldat allemand pour qu'elle lève les bras. || Cartes postales, photographies,marionnette en contrplaqué peint représentant un soldat allemand articulé que l'on peut poser derrière la butte surmontée de fil barbelé. Un tableau sur contreplaqué représentant les médailles et le casque de monsieur Dubois, 2 coquetiers issus de l'artisanat des tranchées (restes de fusée), porte-bonheur, diplôme de prix de tir, de prix enfant, le tapuscrit réalisé par ANIK Une guerre 14-18 vécue par mon grand-père. Document allemand. || || Marionnette en bois || Other || Front || La marionnette articulée du soldat allemand || || Caricature || Carte dessinée par Hansi OH interprète à Epinal datée du 9 novembre 1915 Au commandant de Sourdeval, affectueux souvenir || Postcard || Carte signée Hansi || Front

Objets miniatures : besace contenant 1 pipe, un peigne, 1 boite de sardine, 1 saucisson, 1 paire de chaussettes et 1 boite de conserve. Un petit mot manuscrit l'accompagne : elle te portera bonheur.

Le grand-père de madame Autric se nomme Jean Fondeur. Il a été colonel dans le 8e régiment de Nancy en 1919. En 1931 il finit sa carrière à Metz comme général de division. Madame Autric indique que la photocopie du portrait pastel en couleur représentant le colonel Jean Fondeur (1917)a servi de modèle pour des cartes postales de l'armée française leu horizon. || Livret militaire d'officier. Photo portrait de Jean Fondeur. Photo d'un portrait pastel en couleur représentant le colonel Jean Fondeur (1917)ayant servi de modèle pour des cartes postales de l'armée française leu horizon. Cartes postales. Cartes postales de propagande allemande trouvées sur un soldat allemeand. Télégramme du 11 août 1918. Documents de l'oncle de madame Autric, Pierre Fondeur.