Souvenir de ma captivité - Alfred Alésina
Carnet de notes. Journal de captivité. Offert par mon grand-père le 25 mars 1980 pour mon 11ème anniversaire, qui était aussi le 62ème anniversaire de sa capture.
CONTRIBUTOR
Raphaël Guérin
DATE
1918-10-01 - 1918-12-15
LANGUAGE
fra
ITEMS
42
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
Souvenir de ma captivité
42 Items
Un petit carnet de notes (Notizbuch) au format 9cm x 15cm. Une vingtaine de pages rédigées au crayon de papier, avec quelques compléments au stylo bille. || Alfred Alésina est né à St Julien-en-Jarez (Loire) en 1893. Il est fils d'immigré italien. Il exerce le métier de plâtrier-peintre comme son père. Il est fait prisonnier le 25 mars 1918 par l'armée allemande au cours de la seconde bataille de la Somme. A partir d'octobre 1918, il raconte dans un petit carnet fourni par les Allemands, le déroulement de sa capture près du petit village d'Ercheu au sud de Saint Quentin, puis sa marche vers l'arrière jusqu'à Hamoir en Belgique. Le 13 novembre il est libéré. Il est décédé en 1986. A presque 90 ans, il se jetait encore au sol pour mimer à ses petits-enfants et arrière-petits enfants la scène de sa capture...
Souvenir de ma captivité en Allemagne
19 Items
SOMMAIRE Dans quelles conditions j’ai été fait prisonnier ! Camp de Worms (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Camp de Münster (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Friedrisehefeld (Friedrichsfeld- Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Duisburg (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Première évasion Duisburg Commando de Carnap (Essen-Karnap - Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Mine de Dornap (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Camp de Sennelager (Rhénanie du Nord-Wesphalie) Mine de Verne (Rhénanie du Nord-Wesphalie) Didam (Veluwe – Hollande septentrionale) Rotterdam (Hollande méridionale) Angleterre Londres Folkestone Boulogne || Ferdinand BOILLET : TRANSCRIPTION DE SON CARNET PERSONNEL 8ème Région Territoriale Dépôt des 4-44- et 120ème Bataillon de Chasseurs à pied Place de Givry Le chasseur Boillet Ferdinand Matricule 2648 du 4ème Bataillon de Chasseurs à pied || || Military Punishment || Dans quelles conditions j’ai été fait prisonnier ! SOMMAIRE : Prisonnier Camp de Worms (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Camp de Münster (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Friedrisehefeld (Friedrichsfeld- Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Duisburg (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Première évasion Duisburg Commando de Carnap (Essen-Karnap - Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Mine de Dornap (Allemagne, Rhénanie du Nord-Wesphalie) Camp de Sennelager (Rhénanie du Nord-Wesphalie) Mine de Verne (Rhénanie du Nord-Wesphalie) Didam (Veluwe – Hollande septentrionale) Rotterdam (Hollande méridionale) Angleterre Londres Folkestone Boulogne Demande pour rappel de solde Remboursement de mes frais d’évasion || Memoir || Front || worms || Prisoners of War || Remembrance || Conscientious Objection || Worms, Münster, Friedrisehefeld, Duisburg, Karnap, Dornap, Sennelager, Verne, Didam, Rotterdam, Londres, Folkestone, Boulogne
Un souvenir pour ma soeur
1 Item
Carte postale, Photo de Georges Sylvestre GORÉ, 1917. || Cette carte postale comportant la photo de Georges Sylvestre GORÉ a été envoyée par sa femme Reine en 1917 à la soeur du premier, Marthe GORÉ, au Costa Rica. Georges Goré (Paris 1886-1921), télégraphiste, part à la guerre en septembre 1915 à 29 ans, quatre ans après son mariage avec Reine Philippe. Il a été blessé au visage à cause d'une chute accidentelle le 16 décembre 1916 à Saint-Pierre-Vaast. Georges est reporté disparu à Chevregny dans l'Aisne le 8 juillet 1917, puis il a été retrouvé comme prisonnier à Dülmen en Allemagne (il y est resté pendant un an et demi) jusqu'à son rapatriement en France le 1er janvier 1919. Marthe, soeur de Georges, avait quitté la France avec son mari Auguste RIVEL en 1904 pour gagner l'Amérique latine, sans imaginer qu'ils allaient échapper au pire conflit armé de leur époque ; ils fondèrent par la suite une famille nombreuse au Costa Rica. Reine Goré, qui est resté à Paris comme tant de femmes, a envoyé cette carte en souvenir de son mari à un moment où peut-être elle ne connaissait pas son sort. Sa soeur ne l'a jamais revu, bien qu'il ait survécu pendant 3 as après la Guerre. || || Prisoners of War || Postcard || Carte postale || Remembrance || Paris || Georges Goré