04- carte Bureau de secours aux prisonniers de guerre
carte recto/verso envoyée à madame Costable pour accusé réception d'un colis de pain, arrive en assez bon état.
CONTRIBUTOR
Bibliothèque muncipale de Lyon 1
DATE
1917-08-10
LANGUAGE
fra
ITEMS
2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Mon arrière grand-père Rogatien Bureau était d'origine nantaise. Il était voltigeur (grenadier) dans le 66è régiment d'infanterie. Il raconte dans son journal, les différentes campagnes auxquelles il a participé de 1914 à 1917 : la Lorraine, la Marne, les Flandres, l'Artois, Verdun, la Somme, Craonne. Il raconte également son passage à l'école de grenadiers du 9è corps en tant qu'instructeur. Mobilisé comme soldat le 2 août 1914, il est promu caporal le 20 novembre 1914, sergent le 29 septembre 1915 et sous-lieutenant le 4 novembre 1916. Ce journal est illustré par des dessins des différentes grenades utilisées pendant les combats, des terrains d'exercices de l'école de grenadiers, des tranchées françaises et allemandes, de photographies et de cartes. Les dessins sont réalisés par Rogatien Bureau. 268 pages de vie quotidienne dans les tranchées, de combat de faim, de soif... Extrait du journal bataille de Verdun, côte 304, 5 et 6 mai 1916 : A 5 heures tout le monde sursaute au cri de Voilà les boches ! Une fourmilière grise à débordée de la tranchée adverse... les fusils et les munitions crépitent et je m'en donne à cœur joie dans la masse grise que nos tirs prennent de flanc. A tout coup l'on gagne, à ce jeu de massacre... je reçois un bras déchiqueté, en plein par la figure, les lambeaux de chair volent en l'air, mais sous la pluie de terre et de sang, je tire, je tire sans arrêt... Les boches tombent comme des mouches, des grappes humaines s'affaissent en hurlant, des monceaux de morts s'accumulent sur les corps de leurs camarades déjà tombés, mais la fourmilière est innombrable. Il pleut des boches... ils ne nous ont pas eus ! Ils ne nous auront pas ! Ils ne nous auront jamais ! Au petit jour, le champ de bataille nous apparait jonché de cadavres et de débris humains innombrables. Spectacle d'horreur et d'épouvante, devant lequel nul ne peut rester sans frémir.\n Blessé par un éclat d'obus à la tête le 10 mai 1917, il restera en convalescence jusque la fin de la guerre. || Journal de Rogatien Bureau, 1914-1917. Cartes des différentes batailles
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