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FRAD087_114. Juliette Coffinet | épouse d'Eugène Coffinet

Laisser-passer
Juliette Coffinet, née Poulain est également originaire de Seine-et-Marne. En octobre 1918, elle reçoit un laisser-passer nominatif pour les cantons de Provins et limitrophes pour les transports à pied, en voiture ou en train.

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Archives départementales de la Haute-Vienne
1

DATE

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LANGUAGE

fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/96b065ecaf9094c39d188807916b0215

Date

1918-10-03

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1918-10-03

End

1918-10-03

Language

mul

Agent

Archives départementales de la Haute-Vienne | 1 | europeana19141918:agent/96b065ecaf9094c39d188807916b0215
Juliette Poulain | épouse Coffinet | europeana19141918:agent/c8d1663f7c9e5eb3a14136911bfe3b53

Created

2019-09-11T08:32:39.308Z
2020-02-25T08:35:14.516Z
2014-01-07 12:38:38 UTC
2014-01-07 12:39:22 UTC

Provenance

FRAD087

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11775

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FRAD087_114. Histoire d'Eugène Coffinet

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Eugène Alexandre Coffinet, maçon, est né en 1877 aux Marets, en Seine-et-Marne. Agé de 37 ans, il est incorporé au 34ème régiment d'infanterie territoriale, 3ème bataillon, 10ème compagnie. Il se rend d'abord à Provins où il doit être conducteur de chevaux et de voitures. Durant les mois d'août et de septembre, Eugène Coffinet reste à l'arrière et s'occupe de travaux de campagne, fait des exercices de tirs et peut sortir faire quelques visites. Les régiments d'infanterie territoriale servent au 1er août 1914 à incorporé des hommes trop âgés (ayant entre 35 et 40 ans) et qui sont considérés comme plus assez entraînés pour être intégrés à l'armée active. Ces régiments devaient donc ne pas être placés en première, mais se charger de la police des lignes frontières, de l'occupation des forts. Cependant, face aux pertes considérables, ces régiments sont peu à peu envoyés en première ligne et les plus jeunes de ces territoriaux (également nommés les Pépères) sont intégrés à l'armée active. Eugène Coffinet est alors envoyé à la bataille des Flandres puis sur le front de l'Artois me avec le 149ème régiment d'infanterie, dans la 25ème compagnie, 5ème section. Le 11 novembre 1914, il écrit sur son carnet que sa compagnie est en première ligne à 200 mètres des Boches puis en décembre 1914, il se retrouve dans une ranchée à 50 mètre des Boches. En 1915, il explique que 5000 obus ont été tiré dans la journée. Le 31 mars 1915, il est tué à Notre-Dame-de-Lorette (Pas-de-Calais). A titre posthume, il reçoit trois médailles militaire et le diplôme de Mort pour la Patrie est remis à sa famille. Il laisse un carnet de récit de la guerre vécue au jour le jour. || Carnet de récit de guerre, médailles, diplômes.

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Croix de guerre d'Eugène Coffinet

1 Item

Front || Croix de guerre avec étoile de bronze attribuée à Eugène Coffinet.

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Médaille militaire attribuée à Eugène Coffinet

1 Item

Attribution de la croix de guerre avec étoile de bronze à titre posthume à Eugène Coffinet, en 1921. || Front

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