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FRAD034-069 Moïse FABRE et Joseph COMBES | deux survivants au parcours différent

- Moïse FABRE, dit Léon, est le grand-père maternel de la contributrice Mariette COMBES. Moïse naît en 1895. Il est mobilisé en 1914, il participe à la guerre de la Marne où il se blesse au chemin des Dames. Il s'engage pour l'armée d'Orient 6 mois plus tard, jusqu'en mai 1919. Il va en Serbie, en Bulgarie, Albanie, ainsi que Dardanelle puis il finit à Zaghreb, Cet évènement a été vu par le poilu comme un évènement inévitable auquel il avait dû participé. Une fois revenu, l'homme paraissait normal, joyeux et sans soucis particulier. Il décède en 1959. - Joseph COMBES est le grand-père paternel du mari de la contributrice. Celui-ci a étéf gazé en 1917. Il décède en 1970
- Moïse FABRE: carnet de guerre écrit après la guerre par le poilu d'après ses notes. Anecdote sur les grives mangées à temps avant l'explosion d'obus. Volonté de transmettre aux plus jeunes la mémoire de cette guerre. Patriotisme. - Joseph COMBES : cartes postales, correspondance amoureuse avec sa future épouse. Pas de faits de guerre mentionnés.

01 - Carte postale du poilu
Letter
Guerre mondiale (1914-1918) -- Femmes
Remembrance
Women
Back
Guerre mondiale (1914-1918) -- France
02 - Carte postale
Photographie de carte postale représentant une famille serbe : un homme, une femme et un enfant, tous trois mort asphyxiés.
Eastern Front
Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Balkans
Gas Warfare
Photograph
03 - Extrait du journal de guerre du poilu
Diary

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CONTRIBUTOR

Mariette COMBES

DATE

1914 - 1918

LANGUAGE

fra

ITEMS

4

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/fcc806b2a32b9f07dc10f985c6b16fd3

Date

1914
1918

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1918

Language

mul

Agent

Joseph COMBES | europeana19141918:agent/300c37537bd8c7e94a3326f2e919cebd
Moïse FABRE | europeana19141918:agent/7f800d258eb5c103be7012a9ae153975
Mariette COMBES | europeana19141918:agent/fcc806b2a32b9f07dc10f985c6b16fd3

Created

2019-09-11T08:49:04.713Z
2020-02-25T08:54:54.928Z
2013-11-13 10:04:54 UTC
2016-06-21 11:55:44 UTC
2016-06-21 11:56:35 UTC
2016-06-21 11:59:18 UTC
2016-06-21 12:00:49 UTC

Provenance

FRAD034

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_8263

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FRAD034-040-041 Deux grands-pères d'un couple survivants de la Grande guerre

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Les contributeurs sont les époux Marie-France PADOX-PELISSIER et Jean-Pierre PADOX. Louis DURAND est le grand-père de Marie-France PADOX-PELISSIER. Il naît à St Drézery en 1891 et y vit en tant que viticulteur après avoir fait 10 ans dans l'armée, lorsqu'il est mobilisé pour la Grande guerre pour aller dans la cavalerie. Revenu en 1920, il se marie et continue de travailler les vignes, à Clapiers cette fois-ci. Il meurt en 1964. Paulin-Albert PADOX, grand-père paternel de Jean-Pierre PADOX naît en 1882 à Vendron dans les Vosges, originaire d'Alsace-Lorraine. Tisserand, il devient par la suite épicier et tient la coopérative des ouvriers du tissage, que sa femme tiendra lors de l'absence de son mari, parti à la guerre. Il part à la guerre à l'âge de 32 ans, laissant un enfant et sa femme enceinte d'une fille qui naîtra en 1914. A la guerre, Paulin-Albert PADOX est artilleur. Ce dernier participe à la bataille de Notre Dame de Lorette ainsi qu'à celle de Verdun. Au front, Paulin-Albert correspond beaucoup avec sa femme et son fils. Le poilu survit à la guerre et meurt en 1965. || Louis Durand - photographie en uniforme Paulin-Albert PADOX -cartes postales adressées à sa famille. || || Remembrance || 01 - carnet militaire de Paulin Albert PADOX || Official document || || Remembrance || 02 - Carte postale adressée à son fils || Coté photo d'une carte postale adressée au fils du poilu, Gabriel || Letter || Front || || 02 - Carte postale adressée à son fils || Carte postale du poilu adressée à son fils, Gabriel || Letter || Remembrance || Back || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Femmes || Remembrance || Letter || 03 - Carte postale adressée à sa femme || Carte postale du poilu adressée à sa femme || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || || Remembrance || 03 - Carte postale adressée à sa femme || Carte postale du poilu adressée à sa femme || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Letter || Guerre mondiale (1914-1918) -- Femmes || || Interview || 04 - Témoignage des époux Marie-France PADOX-PELISSIER et de Jean-Pierre PADOX || Remembrance

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FRAD034-127 Gabriel et Albert Viguié | deux frères mobilisés ensemble au front

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- Gabriel Viguié est le grand-père maternel du contributeur Gabriel Lambert. Né en 1885 à Laguepi (Tarn-et-Garonne) dans une famille originaire de l'Aveyron. Marié, 2 enfants dont la mère du contributeur, il devient instituteur en Algérie dans l'école de son père. Mobilisé le 2 août 1914, il rejoint Alger le 3 août appartenant ainsi au 1er régiment de zouave où il y sera sergent. Il participe à la bataille de la Marne, monte sur le front belge puis sera tué à Steintadt (Belgique) le 7 juin 1915. La dépouille du soldat sera déplacée 2 fois pour finir dans le cimetière militaire de Notre Dame de Lorette (nord de la France). Le contributeur n'a pas parlé avec sa grand-mère des évènements, Jeanne Alphand. Motivations du contributeurs : partager la connaissance des documents familiaux. - Albert Viguié est le frère cadet de Gabriel, né en 1887 il est également instituteur. Les deux frères sont appelés dans le même régiment, même compagnie, mobilisés ensemble. A la bataille de la Marne, ils demandent à être séparés car s'inquiétaient trop l'un pour l'autre après chaque bataille. Albert est blessé à la bataille de la Marne à la fesse. Envoyé à Rosni sous bois, dans un centre d'instruction, il y reste 1 an en tant qu'instructeur. En janvier 1916, il est envoyé dans la Drôme pour faire les OR jusqu'en Mai. Il rejoint ensuite le 4e mixte (tirailleurs marocains et zouaves), puis est envoyé à Verdun comme sous-lieutenant. Il revient ensuite chez lui en 1916 en permission et rentre définitivement en 1919. Il devient par la suite Directeur de l'école de son père. Albert Viguié parlait peu de la guerre mais il a laissé à son neveu (contributeur) ses archives dont l'album des photos qu'ils prenaient lui même durant la guerre. - Saïd Chenickar est un kabyle né en 1879. Il était élève du père des frères Viguié. Il devient ensuite lui aussi instituteur et ami très proche des deux frères. Il enseigne dans la même école qu'Albert et Gabriel. Saïd n'est pas mobilisé par l'armée française mais celui-ci s’enrôle dans une compagnie de zouave. Caporal puis sergent, il passe avec le 11e tirailleur, au niveau d'adjudant-chef. Il sera tué en 1918 dans l'Oise, puis enterré dans le cimetière militaire de Rémy. || Gabriel Viguié - correspondance envoyée à sa femme jusqu'à sa mort. Pas de trace de réponse de sa femme. - photos envoyées à sa femme : lieux où il est passé. Albert Viguié - photographies faites par Albert Viguié, petits formats, contextuealisées par lui-même. Armements, sous-officiers, officiers de la compagnies pendant manoeuvres lors de moments de repos, tranchées, bombarbements. - texte décrivant la prise de Doumont - correspondance envoyée à ses parents Saïd Chenickar : - photographies - portrait fait par un artiste

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Léopold et Maurice : deux parcours de guerre (5)

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Leopold Bonfond,ouvrier carrier dans la région d'Aywaille.Il est témoin des atrocités allemandes et il se cache 48 heures dans les bois. Il essaye pendant des mois de se porter volontaire mais il est trop jeune. Il arrive à passer aux Pays-Bas et reste interné pendant un certain temps avant de passer en Angleterre. De là,il rejoint la Normandie et un centre d'instruction.Il devient soldat à la 7e compagnie,est blessé deux fois sur le front : Il est soigné à l'Hopital de l'Océan mais ne renonce pas et veut absoluement rejoindre à nouveau le front où il sera à nouveau blessé quelque temps plus tard. Lors d'une des deux blessures,une balle destinée au coeur est déviée grace à une bible. Il restera également lors de ses blessures inconscient dans une mare d'Yperite dont il gardera des séquelles aux poumons. Il recevra d'ailleurs par deux fois l'extreme-onction tellement la situation était desespérée. Il participera à l'offensive finale (septembre 1918) , il n'a pas été démobilisé tout de suite à l'armistice et il ne racontera que rarement sa guerre. Son beau-frère, Maurice Hubin, aura un tout autre trajet, il s'est enfui de Belgique avec ses freres et soeurs et s'est retrouvé à Paris. Les trois enfants dépendent de l'aide collective qui s'organise autour des réfugiés belges, se retrouvent dans une usine de fabrication d'obus. Maurice avait tres envie de s'engager mais n'avait pas l'age requis. Il triche sur son age et part sur le front où il murit et devient un homme. Pendant la guerre,il n'a pas de nouvelle de ses parents. Apres la guerre,il sera caserné dans la région d'Arlon et il découvre également son petit frere, que ses parents ont eu pendant la guerre. || - Photographie de Léopold Bonfond (avec son régiment avant le départ, Léopold est le deuxième en haut en partant de la droite) - Photographie de Léopold Bonfond (portait-main au ceinturon-texte au verso) - Photographie de Léopold Bonfond (portrait avec calot-texte au verso) Maurice Hubin : -Portrait avec sa soeur Marthe et son petit frère, Raymond avec son cerceau. -Portrait seul en uniforme (texte au verso)

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