Eclat d'obus récupéré sur un champ de bataille.

Maurice Rigal, frère de la grand-mère du contributeur, Mme Annie Bouissac. Viticulteur à Quarante. Mort dans l'Oise à Montmacq. Il a été touché au bas ventre par un éclat d'obus avant de mourir à 200 m du poste de secours de Plessis-Brion. Il est enterré dans l'Oise, dans un cimetière près de Compiègne. Le corps fut ensuite rapatrié au cimetière de Quarante. Mme Bouissac a hérité de la grand-tante institutrice, sans héritier. Elle a trouvé une enveloppe avec les lettres de Maurice dit Fernand. || 2 lettres transcrites par la grand tante du contributeur (institutrice) destinée à ses parents. - l'une destinée à ses parents pour annoncer le décès de leur fils âgé de 21 ans (frère de la mère du contributeur)le 15 juin 1918. La lettre est écrite par un compagnon, au front avec Maurice Rigal, le 19 juillet 1918. Il ne savait pas si l'administration avait annoncé à la famille le décès. La lettre est en mauvais état. - l'autre datant du 6 septembre 1918, écrite par redon Royer, brancardier, pour annoncer à la famille le décès de Maurice Rigal. || || Annonce du décès de maurice Rigal à ses parents || Lettre de 3 pages écrite à la famille par un soldat, compagnon du soldat mort. || Oise || Letter || || Lettre de 3 pages écrite à la famille par un soldat, compagnon du soldat mort. || Oise || Letter || Annonce du décès de Maurice Rigal à ses parents || || Oise || Letter || Lettre de 3 pages écrite à la famille par un soldat, compagnon du soldat mort. || Annonce du décès de Maurice Rigal à ses parents || Front || || Letter || Maurice Rigal || Lettre d'un soldat à la famille de Maurice Rigal || Back || || Letter || Front || Maurice Rigal || Lettre d'un soldat à la famille de Maurice Rigal || || Témoignage de la contributrice Anny BOUISSAC || Interview

encadré dans une petite boite en carton 13cm x 9cm portant un éclat d'obus collé sur une représentation d'un drapeau français avec la mention au dessus du drapeau Ste Claire de Lavaur dans la partie blanche Dieu et Patrie, en dessous le nom d'Alfred Fourrier au 27ème d'artillerie, blessé le 22 février 1916 au Bois des fosses Verdun.