FRBMLI-019/2 Denis Sylvain Ferdinand Dabert
Carte postale qui représente les soldats français pendant une halte, avec au dos un texte manuscrit
Histoire de mon arrière-grand-père, Denis Sylvain Ferdinand Dabert, à travers une carte postale envoyée par son fils cadet, mon grand-oncle André, alors âgé d'une dizaine d'années.
Denis Sylvain Ferdinand Dabert, né en 1876, mobilisé dès 1914, dans la territoriale, dont le dépôt est à Montpellier. C'est là qu'il reçoit la carte de son fils.
D'autres ne lui parviendront jamais : il est tué en Champagne, le 2 juillet 1915. Les lettres envoyées par sa femme Joséphine lui furent retournées avec la mention : Retour à l'envoyeur. Le destinataire n'a pu être atteint.
CONTRIBUTOR
Tillie
Marie-Odile
DATE
1915
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRBMLI-019/1 Félix Despagne
3 Items
Félix Despagne, mon arrière grand-père, était tonnelier en Touraine, à Rilly sur Loire. Mobilisé en 1915 dans la territoriale, il fait ses classes en Champagne mais il n'ira pas au front. En effet, l'autorité militaire a besoin d'hommes qui travaillent le bois. C'est un de ses camarades qui l'avertit : Toi, tu n'es pas tonnelier? Félix répond à l'appel . Il ira à Toulouse puis à Montereau exercer son métier de tonnelier, travaillant au conditionnement du vin puis de la poudre jusqu'en 1918. Il est enterré à Rilly-sur-Loire. Ces documents ont été transmis au sein de la famille. || 001 : Carte postale sur laquelle figure la phrase Une pensée de Toulouse, envoyée de Toulouse le 30 juillet 1915 par Félix Despagne à sa femme. Il dit qu'il espère rester à Toulouse 002 : Photographie de Félix Despagne en tenue militaire, prise à Troyes en 1915. || || Félix Despagne || photographie de Félix Despagne || Remembrance || Photograph || une photographie de Félix Despagne en tenue militaire, prise à Troyes en 1915. || Troyes || 48.2965919,4.074735000000032 || || Une carte postale sur laquelle figure la phrase Une pensée de Toulouse, envoyée de Toulouse le 30 juillet 1915 par Félix Despagne à sa femme. Il dit qu'il espère rester à Toulouse || Félix Despagne || Carte postale de Félix Despagne à sa femme || 43.6081155,1.4478515000000698 || Remembrance || Home Front || Postcard
FRBMLI-008/2 Fernand Hancquart
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Une photo avant la guerre le représentant. || Membre d'une famille de 4 enfants, Fernand était maître ouvrier dans la cordonnerie. Il est mort le 3 avril 1916 à Douaumont (Meuse), tué par l'ennemi. Il faisait partie du 59e Régiment d'Artillerie. Son père Charles Hancquart, a fait le déplacement à Douaumont pour aller chercher le corps de son enfant et le ramener à Roubaix pour le faire enterrer. Il est revenu en disant que son corps n'aurait même pas tenu dans un mouchoir : il ne restait rien de lui. La mère de Fernand ne s'en est pas remise et son frère Henri a reculé son mariage pour rester avec sa mère. L'une des soeurs était religieuse et l'autre, sans doute, déjà partie. || || Photographie de Fernand Hancquart avant la guerre || Photograph
FRBMLI-035/2 Louis Théophile Delacourt
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FRBMLI-035-004 carte postale Correspondance des armées de la République datée du 9 mars 1915 adressé à ses parents et à son frère M. Delacourt à Paris Je suis dans un gourbi à 5 kilomètres, nous attendons le moment pour aller en ligne. Louis Théophile est décédé quelques jours après, le 19 mars 1915. Les parents étaient initialement à Caudry (fabricants de tulle) et ils ont évacué volontairement vers Paris où ils ont pu recevoir des nouvelles de leur fils. FRBML-035-005 Photographie de garnison où il est situé debout à l'extrême gauche (non daté, non situé). || Mme Delacourt- Leclercq nous apporte des éléments concernant son oncle Louis Théophile Delacourt, né à Caudry en 9 novembre 1894, qui a fait son service en 1913 puis a été mobilisé très rapidement, sergent 1er régiment et 201ème d'infanterie 1ère compagnie. Il est décédé le 19 mars 1915 des suites de blessures de guerre. Elle nous confie deux documents, une photographie de groupe en tenue militaire où il est situé debout à l'extrême gauche. Toute la correspondance est conservée par la famille depuis le service militaire jusqu'à la dernière lettre le 16 mars 1915, trois jours avant sa mort.