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FRBMTO-011-04 Témoignage de Henry Morin

Il s'agit d'une lettre relatant les circonstances dans lesquelles Roger Auriac a été enterré vivant par l'ecclatement d'un obus sur le Front de la Somme, près de Péronne. Les 2 premières pages sont une transcription de la lettre, qui se trouve en page 3 et 4.

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CONTRIBUTOR

Bibliothèque municipale de Toulouse
1

DATE

1930-04-17

LANGUAGE

fra

ITEMS

2

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Creator

europeana19141918:agent/e8ca288b8183017c2a6be5006896ae0e

Source

Other
UGC

Contributor

europeana19141918:agent/18c42ec42cd2e834b994cda16d69726b

Date

1930-04-17

Type

Letter

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1930-04-17

End

1930-04-17

Language

mul

Agent

Bibliothèque municipale de Toulouse | 1 | europeana19141918:agent/18c42ec42cd2e834b994cda16d69726b
Henry Morin | europeana19141918:agent/e8ca288b8183017c2a6be5006896ae0e

Medium

Paper

Created

2019-09-11T08:13:40.379Z
2020-02-25T08:07:20.210Z
2020-02-25T08:07:20.211Z
2013-12-30 11:09:47 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

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Ceci est un extrait d'un mémoire de Master en Innovation, que j'ai rédigé en mars 2013. J'y ai relaté deux exemples de blessés fusillés pour l'exemple. Ce mémoire est consultable à l'adresse http://philippe.over-blog.fr/pages/Georges_Duhamel_un_ecrivain_innovant-8689718.html et la présentation de Georges Duhamel http://philippe.over-blog.fr/article-georges-duhamel-109910824.html Nous trouvons ici un extrait de 'La Pesée des Ames' (chapitre 6, page 123) de Georges Duhamel. Puis, pour confirmer ces dires, un article du Figaro du 9 novembre 2012 'Un fusillé de 1914 réhabilité'. || « J’ai longtemps conservé, après la guerre, un petit dossier concernant un jeune sous-lieutenant qui avait eu les jambes brisées dans la bataille, mais qu’on avait pu ramener à l’arrière et qui fut bien étonné d’apprendre qu’il allait être jugé pour abandon de poste. Cette affaire date, en vérité, de l’année 1917 et elle ne se passa pas dans le secteur où je me trouvais. Le malheureux fut jugé, condamné à mort, ficelé sur son brancard, placé le long du mur, debout, et fusillé. J’ai pensé mille et mille fois à ce drame, à cette iniquité, avec une indignation colorée de désespoir. ‘Faire des exemples’, c’était alors le mot d’ordre. Je rêvais d’une autorité qui ne consentirait jamais à tomber dans la barbarie. J’étais incorrigible, sur ce point, et je suis incorrigé ». (Fait relaté par Georges Duhamel dans La Pesée des Ames - chapitre 6, page 123) Article paru dans Le Figaro le 9 novembre 2012 : Un fusillé de 1914 réhabilité http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/09/97001-20121109FILWWW00472-un-fusille-de-1914-rehabilite.php « Le ministre des Anciens combattants Kader Arif a annoncé dans une interview à La Croix qu'il avait décidé d'attribuer la mention Mort pour la France à un soldat français fusillé en octobre 1914 après avoir été accusé de désertion. Les fusillés ont toute leur place dans l'histoire de notre Nation, ainsi que l'ont rappelé Lionel Jospin en 1998 et Nicolas Sarkozy en 2008 et il nous appartient aujourd'hui de poursuivre ce travail de mémoire , a dit Kader Arif à la veille des commémorations de l'armistice du 11 Novembre 1918. C'est pourquoi j'ai décidé de faire un premier geste, poursuit le ministre des Anciens combattants, en attribuant la mention Mort pour la France à Jean-Julien-Marie Chapelant, originaire d'Ampuis (Rhône). Ce sous-lieutenant du 98e régiment d'infanterie avait été fusillé le 11 octobre 1914 dans la Somme, après avoir été condamné par un conseil de guerre spécial du régiment pour désertion. Le sous-officier avait été blessé par balle à la jambe quatre jours auparavant, avant d'être, assurait-il, fait prisonnier et de s'évader. Il avait été passé par les armes après avoir été installé sur un brancard improvisé adossé au poteau d'exécution. Le père du fusillé avait lutté toute sa vie pour tenter de le faire réhabiliter. Après un combat judiciaire d'une dizaine d'années, la Cour suprême de justice militaire avait en juin 1934 maintenu la décision de 1914. Le nom de Jean-Julien-Marie Chapelant avait pourtant été inscrit sur le monument aux morts d'Ampuis où il figure toujours. La question, c'est Est-ce que c'est une vraie réhabilitation? . Pour moi, le reconnaître comme quelqu'un qui est +mort pour la France+, c'est le réhabiliter, a dit à l'AFP Gérard Banchet, le maire d'Ampuis, commune viticole (Côte Rôtie) à une quarantaine de kilomètres au sud de Lyon. Dimanche lors de la cérémonie du 11 Novembre, a-t-il ajouté, je vais parler spécifiquement de cette excellente nouvelle . » || || Mémoire de Master en Innovation relatif à Georges Duhamel premier médecin de guerre à relater les faits réels « J’ai recréé cette souffrance pour qu’elle ne risquât point de périr »  || Français

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