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FRAD018_073 L. ALEXIS | infirmier à Salonique

En 1917, L. ALEXIS fait partie de la 15e section d'infirmiers de l'hôpital militaire n°6 de Salonique. Il correspond avec son ami Louis CHAUTARD (grand-oncle de la donatrice), facteur mixte à Pouilly-sur-Loire. Dans sa lettre du 22 février 1917, il évoque entre autre des préparatifs pour l'offensive de printemps : construction de nouveaux hôpitaux, achèvement de la ligne de chemin de fer.
3 photographies

L. ALEXIS ?
Photograph
Hôpital militaire n°6 de Salonique
Défilé à Salonique

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CONTRIBUTOR

Marie-Magdeleine RAYMONDIRETTE-BABIN

DATE

1917

LANGUAGE

fra

ITEMS

3

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/8c2ea99424cb6575968d76d8ba3adf48

Date

1917

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1917

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1917

End

1917

Language

mul

Agent

L. ALEXIS | europeana19141918:agent/33926da19507fc9e16edd93481db0b0c
Marie-Magdeleine RAYMONDIRETTE-BABIN | europeana19141918:agent/8c2ea99424cb6575968d76d8ba3adf48

Created

2019-09-11T08:38:57.801Z
2020-02-25T08:48:30.949Z
2014-01-10 12:36:40 UTC
2014-01-10 12:37:18 UTC
2014-01-10 12:41:58 UTC
2014-01-10 12:44:01 UTC

Provenance

FRAD018

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11903

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Marie-Joseph Eugène Privat | prêtre et infirmier militaire à Tlemcen et Salonique

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Marie Joseph Eugène Privat, prêtre et curé de Canac (commune de Campagnac dans l'Aveyron), a été engagé dans l'armée française en tant que 2e classe du corps de la 16e section des infirmiers militaires. En 1915 et 1916 il est d'abord infirmier à l'hôpital de Tlemcen (Algérie) avant d'être envoyé à Salonique en 1918. C'est là qu'il décède, la veille de l'armistice, à l'hôpital temporaire No 16, des suites de maladie contractée en service. Le 31 août 1919, par décision ministérielle, il reçoit à titre posthume la médaille d'honneur des épidémies, médaille d'argent (JO du 18 mai 1920). Plus connu sous le nom de l'oncle curé, le souvenir de ce personnage haut en couleur a traversé le siècle et reste toujours présent dans la mémoire familiale, témoignant également à travers son exemple de l'engagement des prêtres et religieux dans la Grande Guerre. || portrait photographique de Marie Joseph Eugène Privat || || Marie Joseph Eugène Privat || Photograph || Remembrance || Portrait photographique de Marie Joseph Eugène Privat (tirage d'époque au gélatino-chlorure d'argent) || Balkans

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Extrait de la vie d'un cavalier français - de l' ARIEGE à VERDUN et SALONIQUE

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Je suis le petit-fils maternel de Pierre ROUCH, soldat français de la guerre 14-18. De cette guerre il a très peu parlé. Il avait été incorporé dans la cavalerie car, disait-il, lors de sa conscription, l'Armée a retenu son expérience des chevaux : il était issu de la campagne montagneuse du Couserans dans l' Ariège - France. Bien qu'il n'ait jamais donné de détail il parlait seulement de Verdun pour ce qui concerne la partie de la guerre qu'il a vécu en métropole. Il avait évoqué des tirailleurs sénégalais dont il vantait le courage. J'ai tout lieu de penser que c'est au titre de cette campagne qu'il avait obtenu la Croix de Guerre avec citation (voir photos et date). Puis il avait été transféré à Salonique - Grèce sur le front des Balkans dont il parlait plus souvent. Je suppose que c'était dû au caractère exotique de cette affectation à une époque où on ne voyageait pas. En particulier il rapportait le climat rude qui y sévissait, le coté malsain de la région et les maladies qui s'abattaient sur ses compagnons. Il y avait contracté lui-même le paludisme, je l'ai toujours connu atteint de crises ... Il était encore impressionné par la mise en oeuvre de ce que l'on appellerait aujourd'hui la logistique : fourmilière du port maritime, transports et débarquements par bateaux des troupes, des animaux et des marchandises, du stockage des denrées, du fourrage, des munitions, de l'armement... Le transport local vers les postes avancés se faisait à dos de mulets par noria ... Il évoquait une armée d'orient où il entretenait des rapports fraternels avec les soldats serbes je crois. Il avait parlé de sa participation à la bataille pour une ville, je me souviens qu'il l'appelait Ousqube ou approchant, mais je ne suis pas sûr de l'ortographe. Il disait qu'ils avaient progressé avec leur chevaux pendant des jours dans la montagne et la neige, que la région était pauvre mais les habitants vraiment très accueillants. Il déplorait les difficultés de ravitaillement vers la ligne de front l'hiver. Des combats proprements dits il ne disait pratiquement rien et se fermait lorsqu'on insistait. Avec le recul j'imagine qu'il a vécu des expériences terribles. Il avait combattu là-bas au-delà de l'armistice du 11 novembre 1918. Quoiqu'il en soit il est rentré en France en 1919. Il possédait d'autres médailles que celle jointe dont une étrangère dédiée à ce front ou cette bataille. Je les avais vues lorsque j'étais enfant mais je ne les ai pas retrouvées après son décès, non plus que 2 étuis d'obus en cuivre ouvragé qui se trouvaient sur le manteau de sa cheminée. Je ne connais malheureusement pas l'origine de sa boite en faïence (voir photos) mais il y tenait beaucoup. Etrangement, à la même période, mon grand-père paternel, que je n'ai jamais connu, combattait comme officier dans l'Armèe austro-hongroise contre l'Armée russe. Mon père, né en 1903 dans la province de Galicie, me disait qu'enfant, pendant la guerre de 14/18, il se souvenait que sa ville natale (Stanislawow) avait changé de mains à de nombreuses reprises : Autrichiens, Russes, Polonais, Ukrainiens se succédaient les uns après les autres ... Il parlait d'ailleurs toutes ces langues : allemand (enseigné à l'école), polonais (parlé à la maison), russe et ukrainien (frontaliers ?). Sa ville qui était austro-hongroise à sa naissance et pendant sa petite enfance est devenue polonaise à la fin de la grande guerre : né austro-hongrois il était devenu polonais. Pour l'anecdote, mon père m'a souvent rappelé qu'il avait vu l'Empereur François-Joseph lors d'une de ses tournées des provinces à l'occasion d'une visite officielle dans sa ville et à qui on avait présenté les écoliers méritants. 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Puis il s'était installé à Paris, avait fait des études d'ingénieur avant de faire carrière comme conducteur de métro à la RATP. A sa retraite il s'était retiré dans son Ariège natale où je l'ai connu. || 3 photos de mon grand-père en uniforme de cavalier de l'Armée française en 14/18 2 photos de la Croix de Guerre de mon grand-père - 14/17 4 photos de la boite avec inscription MARNE - VERDUN de mon grand-père - 14/17

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