FRAD071-035 Georges GENEVOIS | soldat musicien.
FRAD071_035_02 Lettre de Georges GENEVOIS à ses parents, 5 juillet 1915, évoquant ses activités de musicien.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de Saône-et-Loire 1
DATE
1915 - 1916
LANGUAGE
fra
ITEMS
2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD010-035 Thomas Georges
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Georges Thomas est incorporé au 20ème bataillon de chasseur à pied, 2ème compagnie, secteur n° 117. Grâce à son carnet de route, on apprend qu’il a livré bataille en Franche-Comté, en Picardie, et Lorraine et en Alsace. Il sera démobilisé en février 1919. || 1 carnet intitulé « Carnet de route (ou de misère) » appartenant au chasseur Georges Thomas. Il a noté, chronologiquement, toutes les villes par lesquelles il est passé, du 12 janvier 1916 au 5 février 1918. On peut lire ensuite quelques paroles de chansons telles que « La relève du plateau » et « les femmes pendant la guerre » écrites à Soucy (Aisne) en septembre et octobre 1917, ou un monologue «La croix de guerre », écrit en 1918 en Haute-Alsace. A la fin du carnet il a également noté un ensemble mots et de phrases en français et allemand ; 2 photographies prises le 23 octobre 1917 au Chemin des Dames (Aisne).
FRAD071-165 Gaston BARBIER | musicien brancardier sur le front occidental.
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Témoignage recueilli en 2013 par les Archives départementales de Loire-Atlantique (Grande collecte) puis transmis aux Archives départementales de Saône-et-Loire. Gaston BARBIER, mâconnais (matricule 866 de la classe 1911), après 3 ans de services militaires, est mobilisé en 1914 en tant que brancardier au 10ème régiment d’infanterie. Son parcours dans la Grande Guerre et son regard sur elle, nous sont révélés par le fonds dont est aujourd’hui dépositaire sa famille : lequel fonds se compose de correspondances, de photographies (tranchées, postes de secours, destructions…) et de deux carnets de notes rédigées d’août 1914 au 11 novembre 1918. Dans ses carnets, Gaston note, au jour le jour, ses déplacements, les travaux qui lui sont confiés (principalement le transport des blessés et des corps, l’enterrement des morts et la musique militaire mais aussi des corvées de terrassement ou de nettoyage…), les événements marquants de sa guerre qu’ils soient dramatiques (comme les combats dans la Marne, en Champagne et en Picardie, les intoxications au gaz ou encore le décès de son compagnon de guerre Berland, mortellement blessé à deux pas de lui, en août 1918. A ce sujet, Gaston, écrit : « tout espoir est perdu et malgré un effort surhumain, je ne peux retenir mes larmes », dit l’exigence de « refouler larmes et chagrin et d’accomplir son devoir » et évoque l’impossibilité d’obtenir, pour ce cher camarade, un cercueil) ou légers et de bonnes surprises (telle une cueillette de fraises ou un bon ragoût de petits pois frais au printemps 1918). Autre détail intéressant à signaler, Gaston s’attache également à dénoncer les aberrations du système (comme la tenue d’une revue de chaussures alors que les soldats ont de la boue jusqu’aux chevilles et aucune graisse à lustrer ou encore l’épisode de janvier 1918 sur lequel, il dit « nous avions bien 2 poêles mais l’administration militaire a oublié de nous donner ce qu’il fallait pour les faire marcher. … La nuit nous allons scier un ou 2 sapins car la journée il ne fallait pas y compter, un officier aurait pu nous voir et nous coller 15 jours de prison. Il est défendu de scier les arbres mais il n’est pas défendu d’avoir froid »). || || Photographie de Gaston BARBIER (à droite) et de son frère Pierre. || Photograph || || Diary || Septembre 1917, extrait des notes de Gaston BARBIER (vue 1/2). || || Septembre 1917, extrait des notes de Gaston BARBIER (vue 2/2). || Diary || || Women || Lettre de Gaston BARBIER à sa mère, 21/04/1917, pour la remercier de son colis de vivres et du bonheur qu’elle lui a procuré (vue 1/2). || Letter || || Lettre de Gaston BARBIER à sa mère, 21/04/1917, pour la remercier de son colis de vivres et du bonheur qu’elle lui a procuré (vue 2/2). || Letter || Women || || Photograph || Musique militaire -- 20e siècle || Guerre mondiale (1914-1918) -- Guerre de tranchées || Photographie du poste « Auber » et de la musique du 10ème régiment d’infanterie où l’on voit Gaston BARBIER et son ami BERLAND avant août 1918.
FRAD071-003 | Jacques SAUVAGEOT | parcours d'un soldat.
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Récit de Claude Sauvageot, sur Jacques Sauvageot, son père. Ce dernier s'est battu près de Notre-Dame-de-Lorette et a été blessé à la main droite, à Souchez, en septembre 1915, par un éclat d'obus. Il a été envoyé dans différents hôpitaux dont celui de Sainte-Anne-d'Auray. Il a été réformé après sa blessure et a repris l'exploitation agricole de ses parents à Saint-Martin-Belle-Roche (Saône-et-Loire). Décédé le 5 janvier 1968, il a eu deux enfants (deux garçons). Son père parlait souvent de la guerre, de sa dureté, de ses camarades morts à coté de lui. Claude Sauvageot a également contribué au récit FRAD071-074, Hyppolite TARDY. || Ensemble de photos et de cartes postales, livret militaire et une citation encadrée. || || Photograph || Recruitment and Conscription || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Louis Sauvageot || - 01 Portait photographique en pied de Jacques Sauvageot, dans son uniforme du 149e régiment d'infanterie. || || 02 Citation à l'ordre du corps d'armée, Soldat brave et dévoué…grièvement blessé le 25 septembre 1915. || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Recruitment and Conscription || || J. Sauvageot || Jacques Sauvageot en convalescence avec ses camarades. || Sainte-Anne-d'Auray (Morbihan) || Medical || Photograph || Guerre mondiale (1914-1918) -- Aspect sanitaire || 03 A l'hôpital de Sainte-Anne-d'Auray (Morbihan). || Guerre mondiale (1914-1918) -- France