FRAD076_0026 | Célestin Michel bléssé aux Dardanelles
Célestin Michel est charretier à Bacqueville en Caux. Il a été blessé par balle le 14/07/1915 avec une fibrose très prononcée des tissus. Il a une greffe cubitale et devient limité sur les flexions et extensions du coude gauche. Il obtient une pension définitive de 30% ainsi qu'un certificat de bonne conduite.
livret militaire, cartes postales
CONTRIBUTOR
Monsieur LEROUX Gilbert
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Documents Livret militaire 11cm/17cm Extrait de l'Ordre du Régiment N° 43 . (57ème Régiment d'infanterie coloniale) Dimensions 19cm/15cm || Mon grand-père Joseph TRICAUD a été mobilisé en décembre 1914 à l'âge de 20 ans,soldat de 2ème classe, ses trois frères étant déjà mobilisés.Il a été successivement affecté à plusieurs régiments, 7éme régiment mixte d'infanterie coloniale, 57éme régiment d'infanterie coloniale, 54ème régiment d'infanterie coloniale, 6ème régiment d'infanterie coloniale.Il a effectué un séjour aux Dardanelles du 6 mai 1915 au 7 janvier 1916. Il est rentré au dépôt à Lyon le 18 mai 1918 et a été mis en congé et démobilisé en septembre 1919. Il a été également mobilisé pendant la guerre 1939-1940. Mon grand-père, Joseph TRICAUD, nous racontait sa guerre comme une histoire que l'on raconte aux enfants que nous étions, en privilégiant l'aspect découverte, sans appuyer sur les côtés sombres. J'ai appris plus tard l'atrocité de cette guerre et le long périple de sa vie de soldat. Après sa disparition, j'ai découvert son livret militaire et sa citation à l'Ordre du Régiment. Par ces objets, témoins de son parcours et de son courage, je souhaiterais que Joseph TRICAUD participe à la mémoire collective. Il a, en effet, passé cinq ans de sa vie de jeune adulte à la guerre.
Auguste MORON | blessé aux Éparges en avril 1915
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Auguste Moron est né le 9 juin 1894 à Angers (Maine-et-Loire). Il est incorporé le 6 septembre 1914 et après un court passage au 5ème régiment de cuirassiers il est versé au 18ème régiment d’infanterie en octobre 1914 puis au 34ème RI en février 1915. Il rejoint la 7ème compagnie du 91ème RI qui combat dans les tranchées des hauts de Meuse le 24 mars 1915. Le caporal Moron est blessé le 26 avril 1915 aux Éparges, un mois après son arrivée au front. Il rentre au dépôt le 15 juillet 1915 après 2 mois de soin à l’hôpital de la Mûre (Rhône). Son temps de repos achevé, il retourne au front le 9 décembre 1915. A nouveau blessé le 27 octobre 1917 à Chevrigny (Aisne), il est cité à l’ordre du régiment le 8 décembre 1917 « courageux et intelligent beaucoup de sang-froid et d’initiative, s’est distingué à Cerny, deux blessures, plus de deux ans au front ». Il retrouve sa compagnie le 15 décembre 1917. Il est versé au 72ème RI le 30 janvier 1918. Il combat dans le secteur des Monts de Champagne en janvier-mai 1918. Vraisemblablement grâce à son métier de mécanicien, il est versé dans l’artillerie d’assaut au 500ème RCC (AS 28 ou 28ème BCL). Après la fin du conflit, il est mis à la disposition des chemins de fer d’Orléans en mars 1919. || Photographies d’Auguste Moron en 1914 et 1919. Certificat de la médaille de l’Argonne et de Vauquois, 1961.