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FRBNSA-085 Félix Supiot

Le contributeur est le petit-fils de Félix Supiot, parti le 3 août 1914 sur le front de l'est et fait prisonnier tout de suite. Il est en captivité en Allemagne pendant le reste de la guerre. Il a laissé un carnet de guerre entièrement reproduit ici.
01 Carnet de guerre de Félix Supiot 02 photo personnelle datée de août 1917 03 photo groupe de prisonniers

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CONTRIBUTOR

Bernard Jesbois

DATE

1914-08-03 - 1919-01-27

LANGUAGE

fra

ITEMS

15

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
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LOCATIONS
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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/4740a96ea7e903250f7ace544380eb59

Date

1919-01-27
1914-08-03

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914-08-03

End

1919-01-27

Language

mul

Agent

Bernard Jesbois | europeana19141918:agent/4740a96ea7e903250f7ace544380eb59
Félix Supiot | europeana19141918:agent/7f828a2f814bedc00089f64f8e755861

Created

2019-09-11T08:18:03.178Z
2020-02-25T08:14:53.061Z
2013-11-15 15:40:21 UTC
2013-12-09 10:53:55 UTC

Provenance

FRBNSA

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_9123

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FRBMLI-019/1 Félix Despagne

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Félix Despagne, mon arrière grand-père, était tonnelier en Touraine, à Rilly sur Loire. Mobilisé en 1915 dans la territoriale, il fait ses classes en Champagne mais il n'ira pas au front. En effet, l'autorité militaire a besoin d'hommes qui travaillent le bois. C'est un de ses camarades qui l'avertit : Toi, tu n'es pas tonnelier? Félix répond à l'appel . Il ira à Toulouse puis à Montereau exercer son métier de tonnelier, travaillant au conditionnement du vin puis de la poudre jusqu'en 1918. Il est enterré à Rilly-sur-Loire. Ces documents ont été transmis au sein de la famille. || 001 : Carte postale sur laquelle figure la phrase Une pensée de Toulouse, envoyée de Toulouse le 30 juillet 1915 par Félix Despagne à sa femme. Il dit qu'il espère rester à Toulouse 002 : Photographie de Félix Despagne en tenue militaire, prise à Troyes en 1915. || || Félix Despagne || photographie de Félix Despagne || Remembrance || Photograph || une photographie de Félix Despagne en tenue militaire, prise à Troyes en 1915. || Troyes || 48.2965919,4.074735000000032 || || Une carte postale sur laquelle figure la phrase Une pensée de Toulouse, envoyée de Toulouse le 30 juillet 1915 par Félix Despagne à sa femme. Il dit qu'il espère rester à Toulouse || Félix Despagne || Carte postale de Félix Despagne à sa femme || 43.6081155,1.4478515000000698 || Remembrance || Home Front || Postcard

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ACA4640172_02_CANDAU_01 Félix Gracianette

1 Item

Félix Gracianette est mon grand-père maternel, né à Sévignacq-Thèze (Pyrénées-Atlantiques, à l'époque Basses-Pyrénées). Cultivateur, réserviste, il a été mobilisé en août 1914, à l'âge de 31 ans et affecté au 283e RI de Saint-Gaudens. Je l'ai bien connu puisqu'il est décédé en 1973, à l'âge de 90 ans. Il ne parlait pas trop de la période de la guerre, nous ne lui posions pas beaucoup de questions mais je ne suis pas sûr qu'il avait très envie d'en parler. Ses archives étaient rangées dans un tiroir, dans la maison où il est né et où il est décédé. Elles étaient connues de tous. Ses cahiers ont ciculé à l'école primaire de Sévignacq : les instituteurs en avaient connaissance et, chaque année, les montraient aux enfants. Il a laissé 2 cahiers d'écolier dans lesquels il raconte sa guerre : ces cahiers ont été probablement réécrits après le conflit, d'après des notes qu'il avait pu prendre. Le récit s'arrête en mars-avril 1917, les pages suivantes ont été arrachées. Certains passages sont plus particulièrement émouvants. Plusieurs pages décrivent son permier jour au front, le 24 août 1914, à Eton (Meuse) : un croquis fait sans doute sur place montre l'église d'Eton (ci-joint l'église d'Eton où je m'introduisait au moment de battre en retraite a la bataille du 24 aout 1914 qui s'eccroula au moment ou je rentrait). Plus loin, il parle de l'un de ses copains, Rémi Ladebat originaire du village voisin d'Escoubès, tué près de lui à Vaux-lès-Palameix (Meuse), qu'il a enterré lui-même. Enfin, plus tard, il raconte comment il a été blessé le 1er mars 1916, lors de la grande offensive allemande sur Verdun. Après une période d'hospitalisation, il a été incorporé au 403e RI puis a été fait prisonnier en Champagne. || - 2 cahiers d'écoliers contenant le récit de la guerre, d'août 1914 à avril 1917 - croquis d'église et bâtiments divers dans la Meuse, croquis du front - images pieuses (dont une prise sur le corps d'un soldat allemand, en langue polonaise ou tchèque) - correspondance abondante (lettres non comptabilisées) - photographies

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