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Pierre Bastier évoque la censure

Courrier envoyé depuis le secteur 149 à son frère René par Pierre Bastier le 3 mai 1916. Il y évoque la censure et les punitions pour les auteurs de courriers contenant des indications permettant de localiser les troupes françaises. Il espère également que son frère aura ce courrier avant son départ en permission afin de pouvoir le remettre également à leurs parents.

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CONTRIBUTOR

Archives départementales de la Haute-Vienne
1

DATE

1916-05-03

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Creator

europeana19141918:agent/227afffde00b3847ad83fd06515d5f51

Source

UGC
Leaf

Contributor

europeana19141918:agent/96b065ecaf9094c39d188807916b0215

Date

1916-05-03

Type

Letter

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1916-05-03

End

1916-05-03

Language

mul

Agent

Pierre Bastier | europeana19141918:agent/227afffde00b3847ad83fd06515d5f51
Archives départementales de la Haute-Vienne | 1 | europeana19141918:agent/96b065ecaf9094c39d188807916b0215

Medium

Paper

Created

2019-09-11T08:12:45.281Z
2020-02-25T08:09:44.808Z
2020-02-25T08:09:44.809Z
2014-03-31 15:17:00 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

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Pierre Bastier constate les premiers ravages de la guerre

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Première blessure de Pierre Bastier

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Courrier envoyé du collège de Prayssac (département du Lot) par Pierre Bastier à son père le 27 septembre 1914. Il est encore en convalescence suite à une blessure par balle survenue à une vingtaine de kilomètres au nord de Sainte-Ménehould. Touché par un tir de repli ennemi alors qu'avec ses camarades il revenait d'une charge à la baïonnette sur les tranchées allemandes, il se remet relativement rapidement de cette blessure. Au fil de ce courrier on découvre également l'organisation pratique des troupes sur le front et la façon dont les soldats se protègent des éclats d'obus avec leur équipement.

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Carnet de tranchées de Pierre Bastier - 1

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Ce carnet d'une cinquantaine de pages est tenu au jour le jour par Pierre Bastier entre le 25 février et le 25 mai 1917. Les lieux mentionnés se situent majoritairement au nord de Reims (Loivre, Merfy, Berry-au-Bac, Courcy notamment). Pierre note évidemment dans ce carnet les combats auxquels il a pu participer, mais aussi les courriers qu'il a pu envoyer et recevoir ou les camarades (notamment haut-viennois) qu'il a pu croiser lors de ses déplacements, ce qui lui permet d'obtenir des nouvelles de sa famille ou de ses amis. Il nous livre également ses impressions personnelles quant au déroulement de la guerre, aux prises de positions de certains et aux ravages que les combats entraînent inévitablement (des morts par milliers, des paysages bouleversés par les trous d'obus, des champs de ruines). Il décrit aussi avec un certain talent les scènes auxquelles il assiste ou les déplacements qu'il effectue y décelant un esthétisme tragique (lueurs des bombardements intenses, marche sur le champ de bataille dévasté dans la brume matinale). Il s'interroge également sur la condition humaine et la capacité des hommes à se détruire mutuellement et à détruire leur monde. La première page reproduite de ce carnet (la page 3) correspond au retour au front après une permission (achevée le 25 février) où Pierre a appris qu'une de ses tantes était atteinte d'un mal incurable.

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