Pierre Jougla
Photo de Pierre JOUGLA
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Archives départementales de Tarn-et-Garonne
1
DATE
-
LANGUAGE
fra
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1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD082 - Histoire de Jean JOUGLA
1 Item
Photographies, plan, poème. || Jean JOUGLA est né en 1877 à Saint-Paul-d'Espis (82). Il exerce la profession de cultivateur. Il effectuera son service militaire au 2° Zouaves a partir du 17 novembre 1898. Il passera au 18° escadron du Train à compter du 11 janvier 1901 et sera envoyé dans la disponibilité à partir du 16 octobre 1901. Il quittera le secteur de Oran pour rentrer en Tarn et Garonne ou il sera rattaché au 11° RI. Le 4 août 1914 il est rappelé dans le cadre de la mobilisation générale. Il servira successivement le 31° Territorial et le 132° RIT de Montauban.
Jean JouGla et le 132° à Aix en Provence
1 Item
Photo d'un groupe de soldat avec Jean JOUGLA du 132° RIT à Aix en Provence
Pierre Bourniche
26 Items
Livret militaire avec son fascicule de mobilisation et un bon de déplacement vierge. Plaque commémorative à placer sur la visière du casque à l’aide d’une chaînette aujourd’hui disparue. || Né en juillet 1899, Pierre Bourniche voit bien en mars 1918 que la guerre ne s'achèvera pas avant son appel. Ses deux frères aînés sont déjà partis, Jean en 1914 et Henri en 1917. Précédant l’appel de ses conscrits de quelques semaines, il espère bénéficier de la liberté qui était offerte aux engagés volontaires de pouvoir choisir le corps d’armée dans lequel il pourrait servir. Pierre se présente au bureau de Rennes le 22 mars, s’engage pour 4 ans et, choisissant en quelque sorte la sécurité, opte pour l’artillerie. Le lendemain il en intègre le 50e Régiment basé à Rennes. A partir du 4 avril 1918, on le transfère à l’hôpital militaire Ambroise Paré de Rennes pour soigner une angine. Il en sort le 2 juin et, après une convalescence d’un mois, rentre au dépôt. De retour le 2 juillet, Pierre Bourniche part en direction du front le 10 où il rejoint le 22e, pour être muter dans le 251e le 9 août. Dans ces régiments d’artillerie, la tâche qui lui incombe consiste surtout à s’occuper des chevaux, animaux qui lui sont et resteront très familiers. Après seulement quelques mois de front, c’est sur le pont d’Attigny qu’il apprendra la nouvelle de l’armistice. Engagé volontaire pour 4 ans, il poursuivra son service militaire qui n’aurait dû s’achever qu’en 1922. Pour autant, la commission de Nantes le réforme pour une ancienne congestion pleuro-pulmonaire double le 21 juin 1921. De retour chez ses parents, Pierre retrouvera ses deux frères Jean et Henri aussi revenus de la guerre.