FRAD018_040 Georges GAUTIER | jeune engagé
Une photographie, un extrait du livret individuel, trois citations.
Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 19 septembre 1914, Georges GAUTIER a un peu plus de 18 ans lorsqu'il intègre le 37e RA. Brigadier téléphoniste, souvent appelé à réparer les lignes téléphoniques sous le feu de l'ennemi, son courage lui vaut de nombreuses citations. Il est démobilisé le 14 septembre 1919.
Georges (à gauche) et Alexandre (son frère)
Trench Life
Front
Remembrance
Official document
Livret individuel (extrait)
Les Éparges, citation
Guerre mondiale (1914-1918) -- France
Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental
Guerre mondiale (1914-1918)
Les Éparges
49.063913,5.59393
Citation à l'ordre de l'armée
Citation à l'ordre du régiment
CONTRIBUTOR
Claudine THIAULT-GAUTIER
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
5
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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La documentation conservée par M. Daniel Perocheau, qui a bien connu Anthelme Perrin avant son décès à Marseille le 10 août 1979, consiste en une photographie du soldat en famille (s.d.) ; un sauf-conduit de 1916 et deux autorisations de voyage de 1916 et 1917 ; une lettre originale ; une fiche de renseignements de 1917 ; deux cahiers de lettres à ses parents et à sa sœur Julie Jeanne Perrin (Lyon, 12/12/1898-24/06/1945), recopiées par sa mère et couvrant respectivement les périodes du 29/07/1914 au 19/09/1916 et du 01/03/1916 au 19/05/1916 ; une carte de repas de 1919 ; un livret militaire. Seules ces deux dernières pièces n’ont pas été reproduites pour leur caractère anecdotique ou en prévision de la diffusion en ligne des registres matricules militaires des classes ayant participé à la Grande Guerre. Les cahiers ont été numérisés par extraits : 26 premières lettres du 1er cahier, documentant les 4 premiers mois de guerre, et fragment de journal de l’été 1915 copié en tête du 2e cahier. || Fils de Joseph Jean Perrin, surveillant à l’Ecole des Beaux-Arts de Lyon, et d’Anne Louis, Anthelme Joseph Eugène Perrin est né à Lyon (6e arrondissement) le 8 janvier 1895. Il s’est engagé volontairement pour 4 ans le 18 octobre 1913 et, en dépit d’une première blessure le 12 mai 1914, a débuté la guerre dès le 2 août 1914. Affecté au 26e Dragons, il est promu brigadier en septembre 1914. Son parcours illustre l’évolution des moyens affectés à la guerre, et la prédominance que prend l’artillerie sur la cavalerie. Le 24 avril 1915, il est en effet affecté à la section de mitrailleuses du 26e Dragons, puis, le 20 avril 1916, au 2e tirailleurs de marche (compagnie de mitrailleuses de brigade). Nommé caporal, il doit abandonner le champ de bataille une bonne part de l’été 1916, pour cause de maladie. Devenu agent de liaison du commandant de Maniort, il est blessé par balle le 16 avril 1917 à la ferme du Godat, au nord-ouest de Reims. Il souffre d’une fracture complète de la jambe gauche et est transféré à l’hôpital auxiliaire n° 20 de Notre-Dame-de-Lorette (Bordeaux) le 25 avril 1917, puis à l’hôpital Desgenettes (Lyon) le 29 janvier 1918. Il en sort le 13 février 1918 pour une convalescence de deux mois. Il finit la guerre comme chauffeur d’artillerie à tracteur à Sathonay-Camp (Rhône).
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Copie du Livret Militaire : Classe 1914 - 2ème Régiment Etranger (16391) 25ème Compagnie || Le Livret Militaire (document ci-joint) a appartenu à mon oncle maternel : MEISS Charles né le 24 Décembre 1893 à Sélestat (Bas-Rhin). Etant célibataire, il a quitté l'Alsace pour travailler comme boulanger en résidence à Verdun (Meuse). Lorsque l'Allemagne a déclaré la guerre à la France, il n'est pas retourné en Alsace et s'est engagé volontaire dans l'Armée Française le 7 Août 1914, pour la durée de la guerre. Malheureusement, il n'a pas eu l'occasion de revoir les siens car à peine 6 mois plus tard il est mort sur le champ de bataille à la Harazée, le 17 Février 1915. L'ultime reconnaissance de la Nation pour le sacrifice de sa jeune vie est la mention : Mort pour la France portée dans son Livret Militaire. Je tiens à ce que cette histoire serve à renseigner la postérité sur les drames et atrocités de cette maudite guerre, et que le nom de mon oncle apparaisse dans le recueil de la Commémoration de la Grande Guerre.