FRAD004-044. Collectionneur
Monsieur Nil Tarrasse s'intéresse à la Grande guerre. À ce titre il a acheté en brocante divers objets d'époque.
Une baïonnette prussienne crantée, périscope de tranchée, deux médailles dont une du canon de 75, une autre avec l'inscription
evenir
CONTRIBUTOR
Nil Tarrasse
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD078- 020_01 Un collectionneur | M. LACROIX
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Croquis fait par un militaire, qui s’est surement baladé dans la région, car d’autres croquis semblables. || Je suis collectionneur de cartes postales et de photos de la guerre de 14,particulièrement celles concernant mon village d'origine, Clézentaine (88). Ici, des combats ont eut lieu dès aout 1914, et le village passablement détruit (29 morts civils, nombreux blessés…) La Mortagne est un cours d’eau. Les allemands ont essayé d’enfoncer nos lignes, entre les deux grandes lignes fortifiées que sont Epinal et Nancy. On appelle cette percée La trouée de Charmes. Il existait un terrain d’aviation pas loin de XAFFEVILLERS, tenu par des anglais. Pour défendre leur terrain, ils avaient placé des postes d’observateurs, et des projecteurs. On trouve dans ces images un choc des cultures, car il y avait aussi des troupes indiennes, mises à disposition sous l’empire anglais, qui travaillaient dans les bois dans la région. Les habitants se souviennent peu des ces troupes étrangères.
FRAN-PA-245 Georges Pelisson collectionneur
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Georges Pelisson , cartophile collectionneur a récolté un certain nombre de cartes postales datées du conflit 1914-1918. On retrouve parmi ces cartes des collages réalisés par lui sur cartons. || - Cartes postales - Collage avec photographies
FRAD010-044 Marcel Sollier
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Carnet appartenant à Marcel Sollier 10ème d'artillerie, 6ème batterie, secteur 75 - Souvenir de Port à Pinson, Marne, le 2 juin 1918 ; Carnet de chansons. || Marcel, Armand, Alexandre Sollier est né en 1897 à Chérence (Seine-et-Oise). Il est boucher à Méry-sur-Seine (Aube) lorsqu’il est mobilisé, en 1918 dans le 10ème régiment d’artillerie, secteur 75. Dans son récit, il donne des détails sur les différents tirs : tirs de représailles, tirs de harcèlement, tirs de concentration et tirs Rosalie (obus asphyxiants),… Le 28 mai 1918, il débarque aux environs de Port à Pinson, à 15 km à l’ouest d’Epernay. Les combats sont rudes. C’est une guerre de position. Enfin, son régiment est à Epinal et se dirige vers Nancy, quand l’Armistice est signé. Ce jour-là, Marcel Sollier est de garde. Il raconte que la joie est dans le cœur de tous, les cloches sonnent, le canon tonne à Epinal, les maisons sont garnies de drapeaux. Le 17 novembre son régiment doit passer la frontière en passant par Moyenmoutier et Senones. Arrivé en Alsace, les jeunes filles décorent leurs canons et leurs chevaux, tous parlent français. A Mutzig, il défile devant le Général Gouraud. Celui-ci, symboliquement, coupe les liens autour des poignets d’une jeune fille qui crie : « Vive la délivrance ! ». Marcel Sollier restera en « Bochie » jusqu’en juillet 1919.