FRAD071-037 Claude EPINAT | à la tambouille
Récit de Pierre Kotewicz, pour ses arrière grands-parents Claude ou Claudius EPINAT, né autour de 1898 (lieu et dates précise inconnus)et son épouse Henriette, née en 1901 (lieu inconnu).
Claudius EPINAT a été boucher place Saint-Louis à Mâcon (Saône-et-Loire). La boucherie a été reprise par son fils Raymond, qui a pu ouvrir un second magasin à Pont-de-Vaux (Ain) et faisait également des tournées dans les villages.
Photographie d'un groupe de cuisiniers, Claudius Epinat est l'homme assis à gauche avec une cigarette (sans lieu ni date).
Photographie dans la cour d'un hôpital, soldats blessés à l’œil, médecins, infirmières et religieuses (sans lieu ni date).
Affichette imprimée : La Roche Vineuse (Saône-et-Loire), hommage aux morts
CONTRIBUTOR
Pierre KOTEWICZ
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
FRAD071-041 Claude VEUILLET | Mort pour la France.
11 Items
FRAD071-041-03 Discours prononcé lors de la seconde inhumation de Claude VEUILLET, soldat dont le corps a été transféré de Commercy (Meuse) à Ormes (Saône-et-Loire).
FRAD071-002 Claude BERNARD | du front à l'hôpital
1 Item
Récit de Jacqueline GONZALES sur Claude BERNARD, son grand-père paternel, décédé avant sa naissance. C'est le 2 août 1914, premier jour de la mobilisation générale en France, que Claude BERNARD a fêté ses 28 ans dans sa commune de Pierrefitte-sur-Loire (Allier). Parti au front dès le début de la guerre, il y est blessé une première fois au début de l'année 1917 ; il a alors été soigné à l’hôpital de Compiègne puis au Mans (Sarthe). A sa sortie de l'hôpital, il a rejoint le 86e régiment d’infanterie au Puy. De nouveau blessé en août 1918 au Tronquoy dans la Somme, il a été évacué sur Parthenay (Sarthe) où il est resté jusqu’après l’armistice. Depuis cet hôpital, il a écrit à sa famille. Il a hâte de rejoindre sa femme et son bébé né le 8 avril 1918, qui sera le père de Jacqueline Gonzales. || Photographies, médailles, diplôme d'honneur de la guerre de 1914-1918.
FRAD071-091 Claude PEPIN | fait prisonnier à Verdun.
3 Items
Récit de Pierre PERRIN sur son grand-père Claude Marie PEPIN, natif de Sainte-Croix (Saône-et-Loire). Âgé de 20 ans en 1914, Claude PEPIN est incorporé au 44ème régiment d’infanterie le 19 décembre 1914. Simple soldat, Claude PEPIN est fait prisonnier à Verdun le 26 février 1916 puis est transféré en Allemagne, semble-t-il en Westphalie au camp de Friedrichsfeld (mars-avril 1916), au camp de Münster et à Horstermark (novembre 1916-février 1917). Rapatrié en France le 20 décembre 1918, il est démobilisé le 9 septembre 1919. Lors de sa captivité, Claude PEPIN a tenu un cahier intitulé « Souvenir de captivité » qu’il a pu rapporter avec lui. Ce cahier comporte principalement des textes de chansons chantées au 44ème régiment d’infanterie et des compositions originales de prisonniers de guerre et, en de rares endroits, des annotations sur les conditions de vie des prisonniers de guerre.