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FRAD071-064 Prosper CLERE | instituteur.

FRAD071-064-03 Déclaration du 06/05/1919 concernant Prosper CLERE afin de recevoir une indemnité de démobilisation.

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CONTRIBUTOR

Archives départementales de Saône-et-Loire 1

DATE

-

LANGUAGE

fra

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3

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/bc560995b20667d1d9bf91e68f0bdf89

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Prosper CLERE | europeana19141918:agent/8f957bf679b1e882c7086cc89afdf759
Théophile MAUPAS | europeana19141918:agent/a5822f74936380d8b529ba46ec74781d
Archives départementales de Saône-et-Loire 1 | europeana19141918:agent/bc560995b20667d1d9bf91e68f0bdf89

Created

2019-09-11T08:09:00.255Z
2020-02-25T08:02:30.315Z
2013-12-17 13:28:28 UTC
2013-12-17 13:30:22 UTC
2013-12-17 13:31:09 UTC
2013-12-17 13:32:40 UTC

Provenance

FRAD071

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11270

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Prosper Certyn

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Prosper Certyn was schrijnwerker en diende de gehele duur van de Eerste Wereldoorlog binnen de C.I.A.X. in Frankrijk. Hij was volledig afgesneden van zijn familie en had gedurende meer dan vier jaar geen enkel contact met het thuisfront.

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FRAD071-009 Paul Constant MOUTARDIER | instituteur au Bois-du-Verne.

1 Item

Récit de Paul Moutardier sur son oncle paternel, Paul Constant Moutardier né le 28 août 1895 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Ses parents tenaient un café à Rouvrat, quartier de mineurs de Montceau. Il est élève de l’Ecole primaire Supérieure de cette ville puis à l’Ecole Normale de Mâcon au moment de la déclaration de guerre. Cette promotion 1913-1916 d’instituteurs est qualifiée de « Promotion sacrifiée » par Jean-François André Boeugras Président de l’Amicale des Anciens élèves car elle n’a pu faire qu’une année de formation au lieu de trois. Aussi, Paul Constant Moutardier est nommé instituteur intérimaire à Montceau-Bois-du –Verne et en 1915 est affecté au 29ème Régiment d’Infanterie à Autun. Un de ses cousins germains, Jean-Marie Moutardier meurt au Bois d’Ailly (Meuse) le 5 avril 1915. Paul, lui, participe aux combats des Eparges et de l’Argonne en 1917. Puis comme l’indique sa citation d’obtention de la médaille militaire à titre posthume : Paul Constant MOUTARDIER, sergent au 13ème Régiment d’Infanterie, est « tué glorieusement le 9 juin 1918 à la tête de ses hommes au cours d’une contre-attaque en avant du Ployron » à Rubescourt dans la Somme. Le père du contributeur Charles Moutardier lui a transmis ces documents. Paul Moutardier a su qu’après la guerre, la photo de son oncle fut affichée dans la salle de classe de l’école du Bois-du-Verne où il avait enseigné. Le contributeur a réalisé tout un travail de transcription, de recherches sur son oncle et sur d’autres membres de sa famille dont Antoine Theureau, grand-père de son épouse (cf. contribution FRAD071-081) et Paul Joblot (cf. contribution FRAD071-127).

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FRAD071-097 Jean-Marie LAROCHE : à la recherche d’un grand-père instituteur Mort pour la France.

1 Item

Récit de Jean-Patrick Laroche sur son grand-père paternel, Jean-Marie Laroche. Le contributeur n’a que très peu de choses transmises par son père notamment sur son aïeul. Il rassemble donc des objets et documents familiaux et réalise des recherches sur lui et ses camarades. Il trouve trois photos de son grand-père et ses médailles, la Croix de guerre et la Légion d’honneur. Il sait qu’il était instituteur ainsi que sa femme, Marie-Caroline Scheiblin, avec qui il se marie le 16 novembre 1899. Il trouve trace de son parcours dans le Livre d’or de l’Ecole Normale de la Seine : « Laroche Jean-Marie (1875-1914), 20ème promotion est né le 28 septembre 1875 à Azé (Saône-et-Loire). Il était instituteur à l’Ecole, 7 rue Ferdinand (17ème), au moment de la déclaration de guerre. Il fut mobilisé le 14 août comme sergent au 20ème territorial d’infanterie de Vierzon. Le 19 octobre 1914, il était nommé sous-lieutenant au 119ème RI active. Le 25 octobre 1914, il partait pour le front comme volontaire. Il disparut au combat du Bois du Luxembourg près de Berry-au-Bac (Marne) dans la nuit du 28 au 29 octobre 1914. Laroche était d’une grande affabilité. Enclin à la gaité, ayant le caractère facile, toujours prêt à rendre service, Laroche était un bon camarade. C’était aussi un aimable collègue, un maître s’occupant activement de ses élèves auxquels il était très dévoué ». Il recherche sa fiche sur le site internet « Mémoire des Hommes » et trouve son numéro matricule : 318, classe 1895, du 2ème bureau de recrutement de la Seine, la date et le lieu de son décès : le 29 octobre 1914 à la Ferme de Luxembourg dans la Marne ainsi que la date du jugement de déclaration de « Mort pour la France » par le tribunal de la Seine le 22 octobre 1920. Aussi, le contributeur a retrouvé sa transcription sur les registres de décès de la Mairie du 17ème arrondissement de Paris. Ici, est présentée une photographie-carte postale où figure Jean-Marie Laroche. Son petit-fils en fait le commentaire suivant : « 20ème RI Territoriale de Vierzon, août 1914. Sergent JM Laroche, premier assis à gauche, dernière photo avant sa disparition. Probablement, le sergent Julien Lambert (1877-1918), deuxième assis à droite ». Le fusil qu’il tient en main est un Lebel et peut être un Kropatschek. Si on agrandit la photo, on peut voir que Jean-Marie Laroche porte un bracelet montre, chose inattendue pour l’époque. Jean-Marie Laroche se porte volontaire pour le front. Le 19 octobre 1914 il est promu sous-lieutenant et le 24 octobre 1914, il est affecté au 119ème RI. En fait ce régiment s’est fait décimé en septembre pendant la bataille de la Marne et il ne restait plus que le quart des effectifs et 7 officiers…. Le régiment passe le 25 octobre 1914 à Paris avant de rejoindre Reims où se déroulent les combats du Godât et de Loivre (première bataille de la Marne). Il est porté disparu dans la nuit du 28 au 29 octobre 1914 au lieu-dit de la Ferme du Luxembourg (Marne) ou Bois du Luxembourg selon les termes du jugement de disparition et aujourd’hui la Vendangerie du Luxembourg des Champagnes Raymond Boulard (2/8/2001) situé à Cauroy-lès-Hermonville, secteur de Reims. C’était pendant une attaque de nuit. (cf. Journal de Marche du 119ème RI) » Le père du contributeur né en 1904, Pierre-Auguste Laroche, avait 10 ans au décès de son père. Le 15 novembre 1940, ce dernier s’engage dans les Forces Françaises Libres et commande la 102e Cie de trains-autos, 2ème brigade, 1ère DFL. Il a participé à la libération de Mâcon en septembre 1944.Son petit-fils Jean-Patrick Laroche qui témoigne aujourd'hui est Premier Maître et a servi 17 ans dans la Marine Nationale.

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