FRAD008_57 Charles Hector Linsart | un courageux soldat
Diplôme attribué au soldat Charles Hector Linsart.
Charles Hector Linsart était le premier mari de la grand-mère du contributeur, qui a fait don aux Archives départementales des Ardennes de trois documents le concernant : un diplôme de la médaille militaire ainsi que deux photographies de militaires non référencées.
Diplôme de la médaille militaire
Charles Hector Linsart
Official document
CONTRIBUTOR
Jocelyne Husson
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD059-030 Un prisonnier de guerre et un soldat courageux
6 Items
- Photographie de René Mersseman - Photographie et photographie/carte postale de Louis Triquet - Menu de Noël 1915 et liste des invités - Photographie de Louis triquet lieutenant au 365e RI à Confolens - Feuillet où est copié la nomination à la légion d’honneur de Louis Triquet || René MERSSEMAN est le grand oncle (frère de la grand-mère maternelle) de la contributrice. Prisonnier en Allemagne, il décédera des suites de sa captivité à 29 ans. (2 photos de 1913, une intéressante de 1918, peut-être prise pendant sa captivité). Son grand-père Louis Triquet (1885-1922) sous-chef de gare à Lille après la guerre, était pendant la guerre chef de gare à Confolens (Charente). Il est venu à Lille pour sauver le matériel de son régiment le 365e RI le 19 septembre 1914. Il était présent avec tous les officiers au repas de Noël 1915 donné en présence du sous-préfet de Confolens.
FRBMLY1-76 Armand Costabel : un mathématicien courageux-
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Armand Costabel, né à Milhaud (Gard) le 2 octobre 1884 de souche paysanne très modeste, est professeur agrégé de mathématiques au lycée de Draguignan dans le Var, au moment de la déclaration de guerre. Marié avec Marie-louise Guérin, ils ont un fils Pierre. Le père de Marie-Louise est professeur de lettres claissiques au lycée de Nimes et écrit parfois à son gendre ; Costabel rejoint l'armée dès les premiers jours de la guerre. Sa qualification de mathématicien le designe comme officier observateur, poste de responsabilité, mais où le danger est présent sans cesse. Grièvement blessé en 1915, il est soigné dans un hôpital de Contrexeville et vu la gravité de ses blessures, sa femme a l'autorisation de venir le voir. Puis, il peut enfin partir en permission pour achever sa guérison mais cette permission est écourtée. L'armée a besoin de tous pour livrer la bataille de Verdun. Armand ne peut pas mettre ses chaussures mais il doit repartir se battre. Envoyé en reconnaissance avec un groupe de soldats sous ses ordres, il doit vérifier les positions allemandes. Il porte avec lui le plan des tranchées françaises. Ce jour-là, le brouillard est épais et il s'avance trop loin vers les lignes ennemies. Il comprend le danger mais son premier souci est de détruire les plans qu'il a sur lui. Il veut les brûler, se dépêche et fait sauter son alliance que les troupes françaises retrouveront dans la boue. Quant à lui, il est introuvable et donc porté disparu. Marie-Louise, sa femme, est avisée de sa disparition. Elle ne veut pas y croire et entreprend, avec son père, des démarches, une recherche de la vérité. Ils rentrent alors en relation avec le lieutenant Oury, officier sous les ordres duquel se trouvait Armand Costabel. Mais Oury a été blessé dans le même combat et il écrit une lettre détaillée dans laquelle il ne peut rien dire sur le sort d'Armand. Ensuite, une seconde lettre du lieutenant Oury confirmera qu'Armand est prisonnier en Allemagne à Neuburg und Kammel. Il y restera jusqu'à la fin de la guerre en 1918. || Photographie d'un cours de maths dans un camp de prisonnier en Allemagne Lettre du lieutenat Oury, du 10 juillet 1916 Carte postale du lieutenant Oury du 28 juillet 1916 Caret ureau de secours aux prisonniers de guerre\n Lette d'Armand Costabel à sa femme - 10 mzi 1915 Photo 1915 sur le front Lettre du beau-père Pierre Guerin, octobre 1918
FRAN-PA-219 Eugène Dallier | un conducteur courageux
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Citation || Le 20 avril 1918, Eugène Dallier a été cité à l'ordre du 217ème régiment d'artillerie : Conducteur courageux et dévoué. Dans la nuit du 25 au 26 octobre 1917, pendant un ravitaillement sous un violent tir de l'artillerie ennemie, est tombé avec son attelage dans un trou d'obus. Est resté avec ses chevaux en dépit du bombardement et a réussi à les sauver. || || Official document || Eugène Dallier