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Mourir en brave

Un jeune homme de 23 ans va partir à la guerre comme des millions de Français. Il a la prémonition de sa mort mais il va défendre le pays parce que celui-ci est attaqué
Photo de mon grand-père Maurice, Emile, Auguste QUERON

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CONTRIBUTOR

Dany Quéron

DATE

1914 - 1914-08-30

LANGUAGE

fra

ITEMS

4

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/c19a1d2b284a969696ff949e542868eb

Date

1914-08-30
1914

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1914-08-30

Language

mul

Agent

Maurice Emile Auguste QUERON | europeana19141918:agent/9313439d087867639124e7298ae720c9
Dany Quéron | europeana19141918:agent/c19a1d2b284a969696ff949e542868eb

Created

2019-09-11T08:14:15.224Z
2020-02-25T08:09:56.576Z
2013-12-28 14:02:03 UTC
2013-12-28 14:03:31 UTC
2013-12-28 14:05:14 UTC
2013-12-28 14:06:54 UTC
2013-12-28 14:07:39 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11582

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Avant de mourir

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Front || Lettre écrite à son épouse quelques jours ou quelques heures avant de décéder dans laquelle il fait ses adieux à sa famille et écrit qu'il sait qu'il va mourir.

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FRAD087_103. Jean Barbe | ou quatre mois pour mourir glorieusement.

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Jean Barbe est né le 18 octobre 1877 à Cheronnac en Haute-Vienne. Lui et ses parents sont agriculteurs. Il est marié à Marie et a deux enfants, Marguerite (5 ans) et Julien (12 ans). Lorsqu'il est mobilisé, Jean a déjà 37 ans. Il intègre le 89e Régiment d'Infanterie basé à Limoges et part pour la région de Paris le 7 août 1914. A partir de cette date et jusqu'à trois semaines avant sa mort, Jean entretient une correspondance assidue avec ses parents. Au début de sa correspondance, Jean est confiant. Il découvre la Beauce et ses champs de blé que l'on est en train de moissonner. Dès le 18 août, Il est là pour défendre les forts de Paris. Il est basé à Toussus-le-Noble (Yvelines) au sud de Versailles. Les conditions de cantonnement ne sont pas idéales puisqu'il dort sur de la paille et que les vivres sont chères. A partir de fin août, il est garde aux drapeaux. Ses lettres se succèdent au rythme d'une tous les 3 jours puis d'une par semaine. Jean, tout en se voulant rassurant pour sa famille, se soucie de leur quotidien et de la continuité de la vie à la ferme pendant son absence. Petit à petit, Jean perçoit une certaine aggravation de la situation. Mais c'est tout en délicatesse qu'il entrevoit l'idée d'un non retour et dans la lettre envoyée le 1er septembre 1914, Jean emploie alors la formule au cas où quelque chose de grave se passe, prenez soin de mes enfants. Jean est envoyé en Belgique le 7 octobre. Le 4 novembre, il demande à ce que ses parents aillent à la messe afin que le bon Dieu le garde. La lettre qu'il envoie le 19 novembre, annonce la mort d'un compagnon et la blessure d'un autre. Le 23 novembre, il a froid et le froid lui fait peur. Il envisage de ne pas être de retour pour avril et commence à considérer comme illusoire le fait de sauver sa vie. Il signal enfin, qu'il est blessé à l'épaule par un éclat d'obus. Sa correspondance s'arrête là. Jean est mort le 12 décembre 1914 à Langemarck en Belgique, mort pour la France. Il reçoit la médaille militaire à titre posthume, le 20 juin 1919. || Médaille militaire (20 juin 1919)et correspondance avec sa famille (7 août 1914 au 23 novembre 1914).

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Acte de décès du brave soldat Arthur Guillerme (11 novembre 1914)

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03-Acte de décès du brave soldat Arthur Guillerme validé le 2 octobre 1922 || Front

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