Gaston Bouché est né le 3 décembre 1895 à Rosières. Lors de son incorporation au 10ème régiment d'infanterie, 2ème génie, il était domicilié à Bréviandes et était charpentier. Il fut blessé au bras gauche par un éclat d'obus, près de la ferme de Beauséjour. Après une permission de 9 jours, il part pour l'Orient le 17 mars 1918. Il arrive au dépôt du génie à Salonique le 8 avril 1918. || Récit du séjour en Orient - Une photographie de Gaston Bouché et ses compagnons à Aposkèpe.

Jean Thomas Ouillé est né à Bompas, le 8 déc 1892. Suite à une dispute avec son père, il s'engage volontairement dans l'armée dès le 2 janvier 1911. Soldat de 2e classe, caporal en sept 1911, caporal conducteur le 27 sept 1912 et sergent le 25 fév 1913. Le 3 janvier 1914 il est rétrogradé en chasseur de 3e classe. A nouveau sergent le 11 octobre 1914. Rétrogradé à nouveau en décembre. Il est légèrement blessé et fait prisonnier en Allemagne (Munster) et rapatrié le 22 déc 1918. Il reste dans l'armée puis démobilisé le 6 août 1919. Il s'est marié à Marie DEDIES en 1920 et a eu une fille unique, Jeanne. Jean Thomas OUILLE(é) est le grand père maternel de Mr Caixas, le contributeur. || Photographies militaires de J.T OUILLE. || || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Jean Thomas OUILLE en tenue militaire || Photograph || || Jean Thomas OUILLE en tenue militaire || Photograph || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || || Elèves caporaux || Photograph || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Élèves caporaux 1911 || || Section de Jean Thomas OUILLE à Épernay || 49.043411,3.9562419999999747 || Italian Front || Western Front

4 photographies de Macédoine (s.d.) ; 3 correspondances de Jean Beau à ses parents (1915-1916). || Jean Beau est né en 1894 à Ville-sur-Terre (Aube). Il est mobilisé en 1914, et, dans un courrier du 2 mai 1915 adressé à ses parents, il indique qu’il est dans un poste de secours à 1500 m des tranchées ennemies, prêt à faire la relève des blessés dès que les attaques le permettront. Son rôle consiste à transporter les blessés au poste de secours du régiment, à 2 km des tranchées allemandes, à les panser puis à les évacuer dans une ambulance. En fin d’année 1916, il part en Macédoine en tant que médecin et capitaine. Comme il le précise dans son courrier du 26 octobre 1916, il est très loin de Salonique, dans un village occupé par les Bulgares. A son retour dans l’Aube, il exercera comme médecin à Arcis-sur-Aube.