Carnet de mobilisation, carte de brancardier, carnet journalier de guerre, photographies, poèmes, bon pour envois de colis, livre sur son bataillon chasseurs alpins (1920, citation à l'ordre de l'Armée (1917, citations (1918 et 1916), diplôme d'honneur de porte-drapeau, Légion d'honneur (1973, diplôme de souvenir. || Helena Arnel nous fait partager l'héritage qu'elle a reçu de Victor Arnel parti au service militaire en 1910 pendant 3 ans. Blessé deux fois, il rentrera à Corbières en 1919. || || Photographie de Victor Arnel et première page de son carnet journalier de la campagne 1914-1915 recopié et fait à Ventron, Vosges en janvier et février 1915. || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Victor Arnel || Ventron (Vosges) || Victor Arnel brancardier || Photograph || Front

Le grand-père de Bernard Faure, Gaston Faure après avoir été mobilisé à la gare de Miramas, passe à Beuil dans les Alpes maritimes avant de rejoindre la Belgique en janvier 1915 où il combat sur le front jusqu'au 3 mars 1915, date à laquelle il est fait prisonnier. Il revient chez lui en Provence en 1919. Les documents apportés évoquent la vie en captivité, Gaston Faure reçoit régulièrement des colis envoyés par sa famille mais il souffre de la faim et du froid. La vie des prisonniers s'organisent, ils font du théâtre La presse à bourdes, participe au théâtre du camp de Celle près de Hanovre (Allemagne), du chant aussi. Il parcourt la Pologne à pied, raconte qu'il travaille en forêt puis il est dirigé sur Brémen... 3 ans et 10 mois de captivité. || Correspondance, cartes postales, photographies, morceau de pain noir conservé dans une enveloppe. || || Le théâtre en captivité || Hanovre || Guerre mondiale (1914-1918)-- Pièces de théâtre || Book || Théâtre en captivité || Front || Remembrance || Guerre mondiale (1914-1918) -- France

Boîte de cachous qui a sauvé la vie D'Eugène Berne, couteau suisse, chaines, broche avec photo d'Emile son fils, pipe, porte-monnaie, chevalière, fascicule de mobilisation, correspondance. || Madame Arlette Berne vient raconter l'histoire de son père mort à Dunkerque en mai 1916 à l'âge de 35 ans, la jambe emportée par un obus. Il avait frolé la mort une première fois mais la balle de fusil qui aurait pu l'abattre avait été déviée par une petite boîte de cachous L'Atlantide. Dans une correspondance qu'il entretient avec sa famille il confie ses enfants à son beau-frère. Longtemps après son décès son corps est rapatrié à Quinson.