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FRAM - Francis Guillory

1 photographie de Francis Guillory en uniforme
Mon grand-oncle maternel, Francis Guillory, était originaire d'Oudon-La Durandière (Loire-Atlantique). Il fut mobilisé au régiment du Maroc.

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Jeannine Audran

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-

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fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/9f037e8273ecafdb88cf5c82b7102e71

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Jeannine Audran | europeana19141918:agent/9f037e8273ecafdb88cf5c82b7102e71
Françis Guillory | europeana19141918:agent/c055f5e2020b82b0a080df279e3b7c36

Created

2019-09-11T08:15:43.101Z
2020-02-25T08:17:26.880Z
2013-12-12 15:22:24 UTC
2013-12-12 15:23:39 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11064

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Françis Guillory

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Françis Guillory en uniforem du régiment du Maroc

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FRAM - Paul Francis BOURRE

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- Photographie de Paul Francis BOURRE - Photographie de Paul Francis BOURRE avec sa femme Joséphine FLORENCE - Photographie des facteurs de Versailles devant l'ancienne poste - Extrait du livret matricule - Fiche de diagnostic Blessé évacuable et fiche de blessure de guerre attachées au cou de Paul Francis BOURRE || Paul Francis BOURRE (1886-1971) a été mobilisé le 3 septembre 1914 et incorporé dans le 91e régiment d'infanterie. Il est blessé par balle une première fois le 2 décembre 1914 et évacué sur l'hôpital de Rodez. De retour au front, il est blessé une seconde fois le 3 août 1915 et soigné à l'hôpital d'Albi. Il a participé, entre autres, à la bataille de la Marne où beaucoup de soldats de son régiment sont décédés. Du 25 mars au 18 mai 1916, il va suivre une instruction comme téléphoniste. Il compte plusieurs citations à l'ordre du régiment en tant que sergent à la 17e Compagnie du 338e régiment d'infanterie dont la teneur est la suivante : Excellent sous-officier, très courageux. Quoique intoxiqué, a tenu à rester à son poste montrant ainsi le plus bel exemple à ses hommes. A été un auxiliaire précieux pour son chef de section, Au cours des combats des 29-30-31 octobre 1918, s'est élancé à l'assaut de puissantes positions ennemies, avec une audace et un courage remarquable, a largement contribué à repousser plusieurs contre-attaques ardemment conduites. Il est démobilisé le 26 février 1919. Il a reçu la Médaille militaire et la Croix de guerre. Facteur de profession à Versailles, il a reprit son travail après le conflit. Il s'était marié le 2 août 1913 à Versailles avec Joséphine Pauline Mélanie FLORENCE, qui tenait une teinturerie, et dont il eut deux filles, nées respectivement le 6 mars 1918 et le 6 mars 1920. Ils habitaient au 19 de la rue Jouvencelles. Son père, qui faisait parti du même régiment, avait aussi été blessé. S'ils parlaient peu de la guerre, ils allaient ensemble boire un coup tous les 11 novembre. || || Western Front || Medical || Fiche de diagnostic Blessé évacuable et fiche de blessure de guerre attachées au cou de Paul Francis BOURRE || || Official document || Extrait du livret matricule de Paul Francis BOURRE || || Photograph || Photographie de Paul Francis BOURRE avec sa femme Joséphine FLORENCE || Versailles (Yvelines) || || Photograph || Versailles (Yvelines) || Photographie de Paul Francis BOURRE avec les autres facteurs devant l'ancienne poste de Versailles (Yvelines) || Paul Francis BOURRE est situé sur l'extérieur droit, à hauteur du deuxième rang. || || Photograph || Photographie de Paul Francis BOURRE au front || || Photograph || Photographie de Paul Francis BOURRE avec deux autres blessés de guerre médaillés || Western Front

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FRAM - Correspondance de Francis ROBLOT (1896-1918) | mort pour la France

1 Item

Mon oncle Francis Roblot est mort à l'âge de 22 ans pendant la Première Guerre mondiale. Nous conservons dans nos archives familiales 47 lettres envoyées à ses parents, sa soeur et son frère, 3 télégrammes, et une photographie en uniforme. Francis Roblot est né le 5 avril 1896 à Rennes, 22 rue d’Antrain. Ses parents, François Roblot et Marie Joseph Lelièvre, sont épiciers. Il fait partie de la classe de recrutement 1916, qui sera convoquée dès 1915. Par deux fois il est ajourné pour faiblesse, avant d’être déclaré « bon pour le service armé » le 4 juin 1917. D’après sa fiche matricule, il est employé de commerce, mesure 1 mètre 61, les cheveux châtains, les yeux bleu clair et le visage ovale. C’est à l’âge de 21 ans qu’il rejoint, le 3 septembre 1917, le 110e régiment d’artillerie lourde à Cherbourg pour une formation avant le départ pour le front. D’abord soldat de 2e classe, il est nommé 1er canonnier le 14 février 1918. Il change plusieurs fois de régiments au cours de l’année 1918 : au mois de juillet, il fait partie du 101e régiment d’artillerie lourde. Le 21 août 1918, la batterie est touchée par des gaz asphyxiants dans l'Aisne. Quelques jours plus tard, Francis Roblot est évacué vers l'hôpital complémentaire de Clermont-Ferrand. Sa dernière lettre se veut rassurante : le 29 août, il écrit à ses parents d'une main sûre : « je ne crois pas avoir été intoxiqué beaucoup … je tousse un peu et c'est tout ». Mais son état se dégrade. Un télégramme alarmant est envoyé peu après à la mairie afin d'avertir la famille. Francis Roblot meurt le 9 septembre 1918, à l'âge de 22 ans. || 1 photographie, 7 lettres, 2 télégrammes, des documents d'archives

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