Transcribe

Taxe exceptionnelle de guerre

Taxe exceptionnelle de guerre

Show More
 
 
 
 

CONTRIBUTOR

Archives municipales de Lorient

DATE

1917

LANGUAGE

fra

ITEMS

2

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

Generating story statistics and calculating story completion status!

METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/e11d6b14ca532188d875ec5464916244

Date

1917

Type

Official document

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1917

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1917

End

1917

Language

mul

Agent

Archives municipales de Lorient | europeana19141918:agent/e11d6b14ca532188d875ec5464916244

Created

2019-09-11T08:33:30.459Z
2020-02-25T08:34:04.526Z
2014-02-25 08:03:34 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_13778_attachments_140503

Discover Similar Stories

 
 
 
 

Une famille exceptionnelle au Cayron (Aveyron)

10 Items

Cette famille exceptionnelle, installée au Cayrol, a donné un instituteur, un chanoine et un médecin, tous les 3 titulaires de la Légion d'Honneur. Urbain Clément CAMBOURNAC (06/06/1856 Paris II – 25/01/1945 Le Cayrol), fils de Laurent et Jeanne Rose LAPORTE, petit-fils de Pierre Jean et Anne CONSTANS, bien que né à Paris, se marie en Aveyron le 23/09/1880 à Montpey-roux avec Rose Marie de LAPARRA. Il décide de s'installer au Cayrol comme instituteur. Avec Rose Marie ils auront 6 enfants, 2 garçons et 4 filles, mais aucune postérité ensuite. Ses mérites lui ont valu d'être fait Chevalier de la Légion d'Honneur et Officier d'Académie. Urbain Clément CAMBOURNAC (22/01/1885 – 20/01/1970) était prêtre et chanoine (Consécration sacerdotale et premières messes les 23/12/1911 à Layrac et 25/12/1911 au Cayrol). Aumônier officiel des Chasseurs Alpins de France, son attitude extraordinaire pendant la Grande Guerre, où il œuvra comme aumônier et brancardier, lui a valu la Légion d'Honneur, la Médaille Militaire et la Croix de Guerre 1914-1918. 'SERVIR' a toujours été sa devise. Figure du monde sportif gymnique, il organisa de très nombreux rassemblements sportifs pour les jeunes. L'ensemble de ses carrières militaires, religieuses et sportives lui valurent d'être plus tard promu Officier de la Légion d'Honneur. Il termina sa vie à Villeneuve-sur-Lot. Ses dernières paroles : D'avance je vous offre mon bon maître tout ce que j'ai et ce que je suis. Disposez de moi à votre gré, que ce soit maintenant, que ce soit plus tard, peu m'importe Pourvu que je meure dans votre amour, je ne demande rien d'autre. Dans le baiser du Seigneur, c'est-à-dire en vous étreignant, ô mon bon maître. Et que ma mort soit mon dernier acte d'amour, le meilleur si possible de tous mes actes d'amour. Ainsi soit-il. et il s'éteignit …. Laurent Clément CAMBOURNAC (08/05/1892 – 21/12/1916), son frère, avait décidé de se vouer à la médecine quand la Guerre éclate. Il effectue une Guerre admirable qui lui vaudra décorations, citations et éloges. Médecin aide-major de 2ème classe à la 37ème division, il est blessé à Verdun (côte du Poivre) le 15 décembre 1916, et décède à Revigny le 21 décembre 1916, célibataire. Mort pour la France, il est titulaire de 4 citations à l'ordre du corps d'armée (16/6/1915, 15/11/1915, 20/7/1916 et 19/12/1916), de la Croix de guerre 1914-1918 (3 palmes et 1 étoile). Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur sur son lit de mort en présence de son père. Tout au long de la Guerre, il a tenu un carnet de route qui lui a survécu et qui a pu être récupéré il y a quelques années. Il a aussi laissé de nombreuses lettres qu'il adressait à ses parents, à son frère, le chanoine Urbain Clément, à sa sœur Laurentine et à ses camarades de l'Ecole de médecine. Son nom est porté sur le monument aux morts du Cayrol, à la faculté de médecine de Bordeaux et aussi à la faculté catholique de Lille. Grièvement atteint au cours d’une reconnaissance dans le secteur d’attaque le 15 décembre 1916, a rejoint le relais avancé du groupe et n’a consenti à se laisser évacuer que le 16 décembre . Conscient de sa mort prochaine, il écrit , le 21 décembre à 8h ½ à Revigny, sur son lit de mort , à sa sœur Laurentine : Votre Clément aura eu la plus belle mort que l’on puisse rêver, celle qui survient dans l’accomplissement du devoir ; mon sang aura été versé pour le soulagement des vaillants qui défendent notre sol … A vous tous, je donne rendez-vous au ciel où, je penserai à vous, je prierai pour vous. Deux jours plus tard, il s’éteint, emporté par une gangrène gazeuse. Lors de sa ré-inhumation au Cayrol, le 24 septembre 1922, parmi les nombreux discours, l'Abbé Desgranges, un des maîtres de la parole catholique et une des intelligences les plus vigoureuses qui se puissent rencontrer servie par une éducation littéraire de premier ordre, lui-même aumônier de la 34ème division, lui a rendu un vibrant hommage dont il est cité un court passage pour, en quelques lignes, dire qui était Laurent-Clément : … blessé le 15 décembre 1916, au cours d’une reconnaissance devant Verdun, un matin d’attaque, il refuse énergiquement de se laisser évacuer. Il n’abandonne pas ses zouaves sur le champ de bataille. Il continue de les assister, supportant avec un sourire calme, sa fièvre et sa souffrance. Il demeure ainsi deux jours et une nuit et c’est seulement lorsque le combat est achevé et que les blessés ont été évacués, qu’il consent à aller lui- même dans une ambulance. Imprudence héroïque ! Imprudence fatale ! Cette blessure négligée et ce surmenage provoquent la gangrène gazeuse, et il meurt le 21 décembre à l’ambulance de Revigny, victime consciente de son dévouement prémédité …

Go to:
 
 
 
 

Carnet de guerre

37 Items

Mon arriere grand-père

Go to:
 
 
 
 

Blessés de guerre

1 Item

Deux photos des blessés de guerre : l’aspirant Bielle (Montrésor) et le grand père Cattelar (Saint Benoit – Ain), blessés dans la Marne et Zargé Moise, 11e zouave (Chiche-Deux-Sèvres), blessé dans la Marne. || Front

Go to: