Convalescence de Georges Pichot
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Georges Pichot en convalescence à Espira-de-l'Agly, lors de sa première blessure à la main. sur la photographie, il se trouve debout à l'extrémité gauche.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Haute-Vienne
1
DATE
1915-12-19
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD087_095-Histoire de Georges Pichot
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Georges Pichot est né en Creuse au village de Presinat, sur la commune de Saint-Martin-Château. Conscrit en 1913 (matricule n° 2726), il est envoyé au front dès le 2 août 1914. Il est d'abord incorporé au 138ème régiment d'infanterie et est blessé par balle au fort de la Pompelle, à la fesse gauche. Il est ensuite incorporé au 165ème régiment d'infanterie, le 1er févier 1915, puis le 2 février 1915, il passe au 33ème bataillon de Marche du 33ème régiment d'infanterie. Le 21 mars 1915, il passe au 53ème régiment d'infanterie. Le 25 septembre 1915, il est blessé en Champagne : il est gazé et a une plaie au pignet droit par éclat d'obus. Georges Pichot est alors envoyé en convalescence à Espirat dans la région de Perpignan. Le 26 avril 1916, il passe au 162ème régiment d'infanterie. Le 20 mai 1916, il est blessé au Mort-Homme et est fait prisonnier. Georges Pichot devient une vraie gueule cassée :il présence une plaie du maxillaire inférieur gauche par balle. Le même jour, il est fait prisonnier à Verdun et est interné au camp de Lazarett d'Orhdruff) puis au camp de Langensalza (en Saxe). Les médecins du camp soignent ses blessures. Il est ensuite placé dans une ferme en Allemagne, dans laquelle sa captivité se passe très bien. Il est rapatrié par armistice le 29 décembre 1918. Lors d'une commémoration devant le monument aux morts de Saint-Martin-Château, il prononce un discours en tant que maire par intérim qui est un témoignage de guerre. || Photographie des conscrits de 1913 de Saint-Martin-Château. Photographie prise à Espirat lors de sa convalescence en 1915. Photographie prise par les médecins du camp de Langensalza en 1916. Discours prononcé lors d'une commémoration devant le monument aux morts de Saint-Martin-Château.
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Front || Photo-carte représentant Marcel Brunereau au sein d'un groupe de malade à Louviers (Eure, France) au Château de Notre-Dame du Vaudreuil. Cet hôpital auxiliaire 17 est géré par la croix rouge de Louviers. Marcel Brunereau est hospitalisé du 5 novembre au 4 décembre 1918 suite à une grippe espagnole. Il est assis à côté de l'infirmière et il porte un chien sur ses genoux.
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Congés de convalescence 18-12-1916 pour retour chez son épouse || Front