FRAD062_021 - Arthur Mayeux | 1914.
- Une carte postale envoyé par Arthur Mayeux à Eugénie Loriot.
Documents recueillis auprès de Martine Gronier, dans le cadre de la collecte du 16 novembre 2013, concernant Arthur Éloi Mayeux, son grand-père. Arthur Mayeux était marié depuis le 28 février 1908 avec Rosali Bancourt. Arrivé au corps le 12 août 1914, il est incorporé au 18ème bataillon de chasseurs à pied. Arthur Mayeux disparaît à Servon (Marne). Le décès est fixé au 15 septembre 1914 d'après jugement. La déclaration de décès est rendu par le tribunal de Béthune le 18 juillet 1920.
CONTRIBUTOR
Martine Gronier
DATE
1914-08-12 - 1914-09-15
LANGUAGE
fra
ITEMS
2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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- Une photographie de groupe (sans date). - Une broderie réalisée par Jules Bancourt, sans doute lors de sa captivité (en 1916). || Documents recueillis auprès de Martine Gronier, dans le cadre de la collecte du 16 novembre 2013, concernant Jules Bancourt, son grand-père. Affecté au 145ème régiment d'infanterie, Jules Bancourt arrive au corps le 4 août 1914 en tant que caporal. Il est fait prisonnier par les Allemands et interné à Senne en Allemagne le 7 septembre 1914 (classe 1907, Béthune, feuillet 2982). Jules Bancourt était houilleur puis tailleur de métier.
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Suzanne Mayeux, née Brunet, habitante de Saint-Denis, était sans nouvelle de son mari, soldat au 46e RI. Elle contacte en janvier 1915 le commandant de ce régiment. Ce dernier enverra un courrier quelques semaines plus tard au maire de Saint-Denis pour qu’il prévienne son épouse de sa disparition « avec tous les ménagements qu’il convient », car « tout porte à croire que ce soldat a été fait prisonnier » et conseille à Mme Mayeux de se rapprocher du Comité international de la Croix-rouge à Genève. Son petit-fils a reçu ce document de sa grand-mère et a entrepris des recherches. Il retrouve dans les archives qu’Emile Mayeux a effectivement été fait prisonnier lors de la bataille du plateau de Bolante et a été emprisonné au camp n°46 à Meschede en Westphalie, comme annoncé par les Allemands dans la Gazette des Ardennes du 16 avril 1915, et aurait alors travaillé dans une mine de sel jusqu’à la fin de la guerre.