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Carte postale du neveu de Louis LECHANOINE

• Carte postale de son neveu Maurice qui le représente habillé en costume de soldat. « Mon cher oncle, je t'envoie ma photographie. Je voulais être soldat aussi alors maman m'a acheté un costume et je suis fort pour tuer les boches. Maurice »

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Archives Municipales de Sète

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-

LANGUAGE

fra

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2

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/1c11d7ee10c5e5d83da0e61fccd25135

Type

Postcard

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Archives Municipales de Sète | europeana19141918:agent/1c11d7ee10c5e5d83da0e61fccd25135

Created

2019-09-11T08:46:13.186Z
2020-02-25T08:51:04.496Z
2014-04-24 12:58:59 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_15210_attachments_158641

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carte postale de Louis Dubray

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carte postale de Louis Dubray, envoyée de Sofia trois jours après l'armistice, le 14 novembre. L'auteur ne semble avoir connaissance de l'armistice car dans son courrier, il s'étonne que l'on n'ait pas bombardé un train transportant des soldats allemands et il attribue ce fait à la présence éventuelle de Roumains (alliés de la France) à bord du train. || Back

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Carte postale de Louis Dubray

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Texte de Louis Dubray au dos de la carte postale envoyée de Salonique en février 1917 || Back

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Correspondance de Louis LECHANOINE Grand-père du contributeur

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• CP du 10 septembre 1914 . Après son départ du Mans, il écrit de Sète où il passe en train pour se rendre à Béziers. «Je t'écris ces mots dans un wagon à bestiaux car nous sommes tous là dedans, le jour nous ne sommes pas trop mal mais la nuit on est mal. Nous avons vu la mer à quelques mètres de nous et de ce moment nous n'en sommes pas encore loin.» • CP du 3 janvier 1915 « Le jour du 1er de l'an les boches qui en ont assez aussi eux se sont levés dans leurs tranchées qui sont à cet endroit qu'à 100 mètres des notres, ils ont levé les bras, agité leur mouchoir ou leur gamelle, alors nous autres nous en avons fait autant et si le lieutenant n'avait pas tiré nous aurions été des copains, aussi le lieutenant a été mal vu de notre part. ». • Lettre du 18 mars 1915 Ecrit depuis le sanatorium par l'intermédiare d'un voisin de chambre car il est trop faible. Il souffre de la thiphoïde. • Lettre du 24 avril 1916 où il dit qu'il est « rongé par la vermine » ce qui l'empêche de dormir. • Lettre du 23 juin 1916. Raconte la vie dans les tranchées et à l'arrière.

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